Five idiot proof ways to Mobile Search Engine Optimise (Mobile SEO) your mobi site
Here is my no brainer list of how to instantly optimize (Mobile SEO) a .mobi site for beginners.
1. This is very important. If you have created your mobile site using a free tool or website creation service and then bought your dotmobi name separately. Contact your website creation company for its IP address so you can map the domain instead of forwarding it.
2. Create a simple site without using any type of frames.
3. Sometimes it is best to create a couple of sites in different languages and to point to search engines and users to them via metaTXT than to insert code to re-direct your site to different destinations. Re-direction can make a mobile site slow and often makes it harder for search engines to find correct mobile destinations.
4. Submit your site to mobile search engines – such as Mobiseer or Find.mobi – MCN, Medio, Jumptap or your images to Abphone or video to Truveo.
5. Use your “Alt-Tags” in images for extra-keyword possibilities. But if you use images – be careful and make sure you follow the MMA guidelines on image specifics.
In short – avoid forwarding of any kind.
Submit to pure mobile search engines
Ensure that no frames are present on the mobile site
Add metaTXT (www.metatxt.org or www.gomobileseo.com)
MOBI-GEEK où l'information devient utile pour le marketer mobile
Blog traitant de marketing mobile, évoquant l'écosystème mobile , relayant l'information sur le marketing mobile , ses leviers , ses innovations et les diffèrents services mobiles.
Traite désormais de l'affiliation mobile, de la monétisation de trafic internet mobile.
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Affichage des articles dont le libellé est agence marleting mobile. Afficher tous les articles
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22 déc. 2009
16 déc. 2009
marketing et mobile analytics BANGO
Bango Mobile Analytics V4... un petit air de Google Analytics !
Bango Mobile Analytics V4... un petit air de Google Analytics !La société Bango vient de sortir la version 4 de sa solution d'analyse de statistiques sur les services mobiles. Les principales évolutions permettent d'obtenir des données en temps réel tout en donnant aux propriétaires des mini-sites la possibilité de détecter le type de connexion (2G,3G, Wifi) des visiteurs), de différencier le nombre de visites des visiteurs uniques, de voir les audiences par terminaux...d'analyser la performance de campagnes réalisées sur le canal mobile....le tout avec des interfaces qui ressemblent beaucoup à Google Analytics pour le Web!
Voici quelques vidéos pour découvrir cette nouvelle version. Rappelons que dans ce domaine, il existe aussi la solution Mobile Analytics d'Admob mais qui me semble moins avancée que l'outil proposé par Bango. Vous pouvez essayer cette version pendant 30 jours après inscription sur le site Web.
Source Bango.Bango Mobile Analytics V4... un petit air de Google Analytics !
Publié le 26 avril 2009 par Davidmas
Bango Mobile Analytics V4... un petit air de Google Analytics !La société Bango vient de sortir la version 4 de sa solution d'analyse de statistiques sur les services mobiles. Les principales évolutions permettent d'obtenir des données en temps réel tout en donnant aux propriétaires des mini-sites la possibilité de détecter le type de connexion (2G,3G, Wifi) des visiteurs), de différencier le nombre de visites des visiteurs uniques, de voir les audiences par terminaux...d'analyser la performance de campagnes réalisées sur le canal mobile....le tout avec des interfaces qui ressemblent beaucoup à Google Analytics pour le Web!
Voici quelques vidéos pour découvrir cette nouvelle version. Rappelons que dans ce domaine, il existe aussi la solution Mobile Analytics d'Admob mais qui me semble moins avancée que l'outil proposé par Bango. Vous pouvez essayer cette version pendant 30 jours après inscription sur le site Web.
Source Bango.Bango Mobile Analytics V4... un petit air de Google Analytics !
Publié le 26 avril 2009 par Davidmas
mobile analytics : voilà un sujet qui devrait en intérrésser plus d'un !!!!
Tous les acteurs du mobile vous le dirons : le tracking en mobile n'est toujours pas au point ou du moins pas encore à 100% : c'est pourquoi , je vais tâcher de vous présenter tous ce qui se fait de mieux en mobile analytics. Allez suivez le guide...
Mobile Analytics : ce module permet de comprendre le rôle joué par les appareils et les opérateurs mobiles dans le succès des campagnes marketing en ligne. Les utilisateurs peuvent établir une corrélation entre les données et d'autres valeurs, telles que les pages vues, les produits achetés, les canaux marketing, la répartition géographique des visiteurs du site, etc.
voilà ce que l'on en disait il y a un an :
Malgré un potentiel impressionnant, le mobile peine à trouver sa place dans les plans media des annonceurs (1 milliard de dollars en 2012 pour l’Europe de l’Ouest – Emarketer).
Certains acteurs du marché considèrent que tant qu’une mesure fiable et standardisée de l’audience mobile ne sera pas disponible, les annonceurs ne franchiront pas le pas.
Dans le n°1490 de Stratégies, Patricia Levy de SFR Régie déclare : « en matière d’audience des sites mobiles, on ne peut pas se contenter du panel déclaratif existant ».
Nicolas Guieysse de l’AFMM : « À l’heure actuelle, s’il souhaite connaître l’audience mobile de sa campagne, un annonceur doit croire sur parole sa régie ou son agence. Ce n’est pas sain ».
C’est une problématique tout a fait légitime puisqu’elle se pose encore pour de nombreux annonceurs qui ne mesurent déjà pas ou de manière incomplète l’activité de leur dispositif web fixe.
Pourtant les solutions de mesure du web fixe ne manquent pas : Omniture, Webtrends, Coremetrics, Unica, Xiti, Google Analytics… (retrouvez notre livre blanc sur le web analytics). Et certains dispositifs mobile pourront être suivis grâce à ces solutions.
Mais dans certains cas, la technologie mobile va poser ses limites. Les terminaux acceptent mal les cookies et le javascript. Les fichiers de log serveur ne seront pas utilisables non plus puisque le seul moyen de différencier les visiteurs aurait été de se baser sur le modèle du téléphone et le fournisseur d’accès. Or les mobinautes provenant d’un même terminal et opérateur seraient donc considérés comme un visiteur unique.
On voit alors émerger des solutions de web analytics spécialisées dans le mobile :
* Amethon qui enregistre le trafic à partir du TCP/IP ce qui permet de suivre du HTML et du wap,
* Bango qui enregistre l’activité par l’intermédiaire de redirections des liens vers son service,
* et aussi Wapalizer et Mobilytics
Et pour ce qui est des KPI’s, tant que le marketing mobile n’invente pas des dispositifs qui nécessiteraient des indicateurs spécifiques, on pourra s’inspirer de ceux utilisés pour le web fixe (visiteurs uniques, pages vues, Click-through rate, taux de conversion…).
Des solutions existent donc déjà pour proposer une mesure fiable d’un dispositif marketing mobile.
Ce qui manque se sont les retours d’expérience et les ROI constatés qui finiront de convaincre les annonceurs. Et sur ce point cinq opérateurs dont Orange se sont regroupés en février 2007, pour mesurer l’efficacité de la publicité sur mobile.
Enfin, j’enfonce une porte ouverte en disant que la mesure de l’audience n’est pas tout et que l’évolution des terminaux vers le web mobile (taille d’écran, ergonomie de navigation, vitesse de connexion et offres data illimités) devra bien évidemment être au rendez-vous pour convaincre aussi les end-users (et ça commence à bouger : iphone, SFR Illimithycs…).
OR désormais , toutes ces portes ont bien été enfoncés et désormais les gros sont de la partie , on pensera notament à Google analytics
Google Analytics distingue désormais vos visiteurs mobiles
Un billet du blog Google Mobile et datant du 24 février annonce que Google Analytics permet désormais de connaitre le nombre de visiteurs qui arrivent sur un site par l’intermédiaire d’un téléphone portable.
Il s’agit d’un nouveau segment par défaut du célèbre outil statistique, dont l’objectif est de pouvoir intégrer les utilisateurs mobiles dans les types de visites à prendre en compte lors de la génération de données pour un rapport. On peut aussi afficher uniquement les visites sur mobiles, en créant par exemple un nouveau segment basé sur les systèmes d’exploitation mobiles (iPhone, Android, SymbianOS, PalmOS…).
Restent les téléphones mobiles qui fonctionnent sous Windows Mobile ou qui utilisent le navigateur Opera, et qui ne sont pas reconnus par Google Analytics. Mais certains semblent déjà avoir trouvé une solution de dépannage en créant un filtre sur la résolution de l’écran que l’on fixe alors à moins de 640×480 pixels.*
la suite au prochain episode...
Restait à lever les freins des metrics et benchmarks aupres des annonceurs
Mobile Analytics : ce module permet de comprendre le rôle joué par les appareils et les opérateurs mobiles dans le succès des campagnes marketing en ligne. Les utilisateurs peuvent établir une corrélation entre les données et d'autres valeurs, telles que les pages vues, les produits achetés, les canaux marketing, la répartition géographique des visiteurs du site, etc.
voilà ce que l'on en disait il y a un an :
Malgré un potentiel impressionnant, le mobile peine à trouver sa place dans les plans media des annonceurs (1 milliard de dollars en 2012 pour l’Europe de l’Ouest – Emarketer).
Certains acteurs du marché considèrent que tant qu’une mesure fiable et standardisée de l’audience mobile ne sera pas disponible, les annonceurs ne franchiront pas le pas.
Dans le n°1490 de Stratégies, Patricia Levy de SFR Régie déclare : « en matière d’audience des sites mobiles, on ne peut pas se contenter du panel déclaratif existant ».
Nicolas Guieysse de l’AFMM : « À l’heure actuelle, s’il souhaite connaître l’audience mobile de sa campagne, un annonceur doit croire sur parole sa régie ou son agence. Ce n’est pas sain ».
C’est une problématique tout a fait légitime puisqu’elle se pose encore pour de nombreux annonceurs qui ne mesurent déjà pas ou de manière incomplète l’activité de leur dispositif web fixe.
Pourtant les solutions de mesure du web fixe ne manquent pas : Omniture, Webtrends, Coremetrics, Unica, Xiti, Google Analytics… (retrouvez notre livre blanc sur le web analytics). Et certains dispositifs mobile pourront être suivis grâce à ces solutions.
Mais dans certains cas, la technologie mobile va poser ses limites. Les terminaux acceptent mal les cookies et le javascript. Les fichiers de log serveur ne seront pas utilisables non plus puisque le seul moyen de différencier les visiteurs aurait été de se baser sur le modèle du téléphone et le fournisseur d’accès. Or les mobinautes provenant d’un même terminal et opérateur seraient donc considérés comme un visiteur unique.
On voit alors émerger des solutions de web analytics spécialisées dans le mobile :
* Amethon qui enregistre le trafic à partir du TCP/IP ce qui permet de suivre du HTML et du wap,
* Bango qui enregistre l’activité par l’intermédiaire de redirections des liens vers son service,
* et aussi Wapalizer et Mobilytics
Et pour ce qui est des KPI’s, tant que le marketing mobile n’invente pas des dispositifs qui nécessiteraient des indicateurs spécifiques, on pourra s’inspirer de ceux utilisés pour le web fixe (visiteurs uniques, pages vues, Click-through rate, taux de conversion…).
Des solutions existent donc déjà pour proposer une mesure fiable d’un dispositif marketing mobile.
Ce qui manque se sont les retours d’expérience et les ROI constatés qui finiront de convaincre les annonceurs. Et sur ce point cinq opérateurs dont Orange se sont regroupés en février 2007, pour mesurer l’efficacité de la publicité sur mobile.
Enfin, j’enfonce une porte ouverte en disant que la mesure de l’audience n’est pas tout et que l’évolution des terminaux vers le web mobile (taille d’écran, ergonomie de navigation, vitesse de connexion et offres data illimités) devra bien évidemment être au rendez-vous pour convaincre aussi les end-users (et ça commence à bouger : iphone, SFR Illimithycs…).
OR désormais , toutes ces portes ont bien été enfoncés et désormais les gros sont de la partie , on pensera notament à Google analytics
Google Analytics distingue désormais vos visiteurs mobiles
Un billet du blog Google Mobile et datant du 24 février annonce que Google Analytics permet désormais de connaitre le nombre de visiteurs qui arrivent sur un site par l’intermédiaire d’un téléphone portable.
Il s’agit d’un nouveau segment par défaut du célèbre outil statistique, dont l’objectif est de pouvoir intégrer les utilisateurs mobiles dans les types de visites à prendre en compte lors de la génération de données pour un rapport. On peut aussi afficher uniquement les visites sur mobiles, en créant par exemple un nouveau segment basé sur les systèmes d’exploitation mobiles (iPhone, Android, SymbianOS, PalmOS…).
Restent les téléphones mobiles qui fonctionnent sous Windows Mobile ou qui utilisent le navigateur Opera, et qui ne sont pas reconnus par Google Analytics. Mais certains semblent déjà avoir trouvé une solution de dépannage en créant un filtre sur la résolution de l’écran que l’on fixe alors à moins de 640×480 pixels.*
la suite au prochain episode...
Restait à lever les freins des metrics et benchmarks aupres des annonceurs
25 nov. 2009
Marketing mobile : comment toucher les mobinautes ?
marketing mobile : Applications, sites Internet… :
23 novembre 2009
Le mobile est sans conteste le canal de communication de l’avenir, mais les questions demeurent : est-ce une solution adaptée aux problématiques des marques ? La multiplication des stores ne risque-t-elle pas de désorienter les usagers ?
Retouver cette tribune d’expert sur le Journaldunet en cliquant ici
Le mobile est sans conteste le canal de communication de l’avenir. Forrester le prédit, 41% des français seront utilisateurs d’Internet mobile en 2014. Ses débuts ont été difficiles, voire laborieux : des interfaces pas ou mal adaptées aux mobiles, des accès à Internet trop restreints ou trop lents, des coûts élevés, des contenus limités… qui ont engendré une expérience utilisateur souvent décevante. Mais aujourd’hui, avec l’émergence des applications, l’accès aux services mobiles ne semble plus être une utopie.
Ce nouvel écosystème s’est imposé massivement grâce à l’iPhone et son désormais mythique Apple Store, mais les questions demeurent : est-ce une solution adaptée aux problématiques des marques ? Permet-elle d’ouvrir l’accès à l’Internet mobile au plus grand nombre ? La multiplication des stores ne risque-t-elle pas de désorienter les usagers ?
Une chose est sûre, le nouvel écosystème défini par les applications a remis en question les solutions de marketing mobile existantes. En bons suiveurs, les opérateurs et constructeurs du marché se sont engouffrés dans la brèche initiée par Apple pour investir à leur tour le marché des applications en créant, chacun de leur côté, leur store et leur écosystème spécifique. Mais alors, pourquoi complexifier de nouveau le marché alors qu’il trouvera son avènement grâce à la simplification ?
Les marques qui veulent aujourd’hui investir le canal mobile sont amenées à faire un choix :
# suivre le mouvement en développant une application iPhone au risque de ne toucher qu’une cible restreinte d’usagers et de se retrouver perdues au milieu d’une multitude d’applications référencées dans l’Apple Store
# concevoir une application par opérateur et par constructeur pour s’adresser à une cible plus large au risque que cela soit très long et coûteux à mettre en oeuvre
# envisager une autre solution à la place ou en complément des applications en développant tout simplement un site Internet mobile.
Revenons sur l’application iPhone qui a révolutionné l’expérience utilisateur grâce à son ergonomie. Il est vrai qu’elle s’impose comme LA voie par excellence pour offrir une bonne expérience de navigation Internet sur mobile à la fois ludique et informative. Mais comme tout réseau spécialisé, la cible adressée est limitée aux seuls heureux possesseurs de l’iPhone à savoir, d’ici la fin de l’année un peu plus de 5% du marché. Qu’en est-il des 95% restant ?
Si développer son application iPhone semble être une démarche incontournable aujourd’hui, il convient d’admettre que ce n’est pas la seule solution quand l’objectif est de toucher une population large, soit environ 58 millions d’abonnés en France.
L’autre solution évoquée serait de concevoir une application par opérateur et par constructeur afin de multiplier sa couverture. Or, pour les marques, une telle démarche engendre des contraintes sur 3 niveaux :
1. technologique : il convient de faire appel à des experts qui ont les outils permettant de développer l’application selon des écosystèmes spécifiques.
2. financier : réaliser une application pour chacun des stores lancés par les opérateurs et constructeurs sous-entend une multiplication du temps passé à les créer et donc un budget d’autant plus important
3. marketing : dans la jungle des applications, il est nécessaire que les marques soient accompagnées et conseillées afin d’évaluer l’intérêt de développer des applications en plus de leur site Internet.
L’usager, quant à lui, se retrouve aujourd’hui totalement désorienté face à la multiplication des applications et des galeries.
En tout état de cause, cette solution n’est pas la meilleure ! En effet, alors que l’internet mobile commence à rentrer dans les habitudes d’usage, la multiplication des stores et des applications pourrait entrainer l’effet inverse. Très rapidement, il deviendra compliqué de se retrouver dans cette jungle !
Les prévisions sont là aussi très parlantes. Gartner voit une bagarre acharnée entre les différents OS d’ici 2012, avec des parts de marchés sensiblement équivalentes entre Apple, Androïd, Windows Mobile et RIM, toujours menées par Symbian :
Pour faire venir les marques, il faut donc gommer ces différentiations.
Ainsi, pour toucher une cible qui soit la plus large possible sans engendrer de surcoût, un modèle unique et universel s’impose en encourageant tout simplement les marques à développer leurs sites internet mobile. Rappelons que 97,4% des recherches mondiales se font par Google. Et le réflexe d’accéder à Internet en passant par un navigateur se confirme sur le mobile.
Adapter sa présence Internet au mobile est donc le meilleur moyen d’atteindre une cible large. Décliné automatiquement sur l’ensemble des terminaux mobiles » touch screen » et non « touch screen », un site Internet mobile offre une garantie d’accès et de lecture optimisée. Cette solution peut s’avérer d’autant plus payante que l’accès au site Internet mobile se fait à partir de l’url générique du site web et offre ainsi une convergence à la Marque.
En conclusion, chaque cas est unique. Pour les marques, mieux vaut développer dans un premier temps leur site Internet mobile et, dans un second temps, de compléter leur stratégie mobile en créant une application (le plus souvent iPhone pour le moment) sur un modèle différent. Autrement dit, si l’on pousse la comparaison avec la distribution, les marques doivent être attentives à leurs stratégies de référencement pour être certaines de rencontrer leurs publics, et ce dans les meilleures conditions
23 novembre 2009
Le mobile est sans conteste le canal de communication de l’avenir, mais les questions demeurent : est-ce une solution adaptée aux problématiques des marques ? La multiplication des stores ne risque-t-elle pas de désorienter les usagers ?
Retouver cette tribune d’expert sur le Journaldunet en cliquant ici
Le mobile est sans conteste le canal de communication de l’avenir. Forrester le prédit, 41% des français seront utilisateurs d’Internet mobile en 2014. Ses débuts ont été difficiles, voire laborieux : des interfaces pas ou mal adaptées aux mobiles, des accès à Internet trop restreints ou trop lents, des coûts élevés, des contenus limités… qui ont engendré une expérience utilisateur souvent décevante. Mais aujourd’hui, avec l’émergence des applications, l’accès aux services mobiles ne semble plus être une utopie.
Ce nouvel écosystème s’est imposé massivement grâce à l’iPhone et son désormais mythique Apple Store, mais les questions demeurent : est-ce une solution adaptée aux problématiques des marques ? Permet-elle d’ouvrir l’accès à l’Internet mobile au plus grand nombre ? La multiplication des stores ne risque-t-elle pas de désorienter les usagers ?
Une chose est sûre, le nouvel écosystème défini par les applications a remis en question les solutions de marketing mobile existantes. En bons suiveurs, les opérateurs et constructeurs du marché se sont engouffrés dans la brèche initiée par Apple pour investir à leur tour le marché des applications en créant, chacun de leur côté, leur store et leur écosystème spécifique. Mais alors, pourquoi complexifier de nouveau le marché alors qu’il trouvera son avènement grâce à la simplification ?
Les marques qui veulent aujourd’hui investir le canal mobile sont amenées à faire un choix :
# suivre le mouvement en développant une application iPhone au risque de ne toucher qu’une cible restreinte d’usagers et de se retrouver perdues au milieu d’une multitude d’applications référencées dans l’Apple Store
# concevoir une application par opérateur et par constructeur pour s’adresser à une cible plus large au risque que cela soit très long et coûteux à mettre en oeuvre
# envisager une autre solution à la place ou en complément des applications en développant tout simplement un site Internet mobile.
Revenons sur l’application iPhone qui a révolutionné l’expérience utilisateur grâce à son ergonomie. Il est vrai qu’elle s’impose comme LA voie par excellence pour offrir une bonne expérience de navigation Internet sur mobile à la fois ludique et informative. Mais comme tout réseau spécialisé, la cible adressée est limitée aux seuls heureux possesseurs de l’iPhone à savoir, d’ici la fin de l’année un peu plus de 5% du marché. Qu’en est-il des 95% restant ?
Si développer son application iPhone semble être une démarche incontournable aujourd’hui, il convient d’admettre que ce n’est pas la seule solution quand l’objectif est de toucher une population large, soit environ 58 millions d’abonnés en France.
L’autre solution évoquée serait de concevoir une application par opérateur et par constructeur afin de multiplier sa couverture. Or, pour les marques, une telle démarche engendre des contraintes sur 3 niveaux :
1. technologique : il convient de faire appel à des experts qui ont les outils permettant de développer l’application selon des écosystèmes spécifiques.
2. financier : réaliser une application pour chacun des stores lancés par les opérateurs et constructeurs sous-entend une multiplication du temps passé à les créer et donc un budget d’autant plus important
3. marketing : dans la jungle des applications, il est nécessaire que les marques soient accompagnées et conseillées afin d’évaluer l’intérêt de développer des applications en plus de leur site Internet.
L’usager, quant à lui, se retrouve aujourd’hui totalement désorienté face à la multiplication des applications et des galeries.
En tout état de cause, cette solution n’est pas la meilleure ! En effet, alors que l’internet mobile commence à rentrer dans les habitudes d’usage, la multiplication des stores et des applications pourrait entrainer l’effet inverse. Très rapidement, il deviendra compliqué de se retrouver dans cette jungle !
Les prévisions sont là aussi très parlantes. Gartner voit une bagarre acharnée entre les différents OS d’ici 2012, avec des parts de marchés sensiblement équivalentes entre Apple, Androïd, Windows Mobile et RIM, toujours menées par Symbian :
Pour faire venir les marques, il faut donc gommer ces différentiations.
Ainsi, pour toucher une cible qui soit la plus large possible sans engendrer de surcoût, un modèle unique et universel s’impose en encourageant tout simplement les marques à développer leurs sites internet mobile. Rappelons que 97,4% des recherches mondiales se font par Google. Et le réflexe d’accéder à Internet en passant par un navigateur se confirme sur le mobile.
Adapter sa présence Internet au mobile est donc le meilleur moyen d’atteindre une cible large. Décliné automatiquement sur l’ensemble des terminaux mobiles » touch screen » et non « touch screen », un site Internet mobile offre une garantie d’accès et de lecture optimisée. Cette solution peut s’avérer d’autant plus payante que l’accès au site Internet mobile se fait à partir de l’url générique du site web et offre ainsi une convergence à la Marque.
En conclusion, chaque cas est unique. Pour les marques, mieux vaut développer dans un premier temps leur site Internet mobile et, dans un second temps, de compléter leur stratégie mobile en créant une application (le plus souvent iPhone pour le moment) sur un modèle différent. Autrement dit, si l’on pousse la comparaison avec la distribution, les marques doivent être attentives à leurs stratégies de référencement pour être certaines de rencontrer leurs publics, et ce dans les meilleures conditions
10 sept. 2009
L'Extrême-Orient dynamise le secteur de la publicité mobile
Japon et Corée du sud affichent respectivement de fortes prévisions de croissance sur le marché de la publicité mobile. Le jeu et la recherche sur mobile sont pressentis comme les prochains vecteurs porteurs dans ce domaine.
Publié le 18 Décembre 2007
Les deux pays sont des fers de lance de la publicité sur mobile. Selon ABI Research, ce segment devrait peser plus d'un milliard de dollars en 2012 dont plus de la moitié réalisé par ces deux pays. "Le Japon et la Corée du sud présentent les mêmes structures de marché, chaînes de valeur, et applications de service. Cela s'explique par le fait que les opérateurs mobiles de chaque pays ont établi leurs propres agences publicitaires. Les relations entre les opérateurs et les entreprises de publicité mobile affiliées sont étroites, ce qui leur permet d'obtenir des résultats en terme de business", a déclaré Andy Bae, analyste pour ABI.
Exploiter les capacités multimédias
Et l'une des clés du dynamisme de ce secteur dans ces pays extrême-orientaux est la large diffusion des appareils mobiles compatibles 3G et HSDPA. Selon le cabinet d'analyse, les deux nations auraient déjà pris une certaine avance sur les autres régions du monde. Si la publicité via SMS est toujours d'actualité, les consommateurs japonais et coréens sont effectivement prêt à accepter de nouveaux formats publicitaires exploitant les capacités multimédia de leurs appareils. Parallèlement, ces derniers perçoivent de plus en plus la publicité par SMS comme du spamming. En conséquence, les acteurs de la publicité sur mobile se tourne progressivement vers d'autres vecteurs, comme le MMS par exemple.
Recherche et jeu, les futurs segments porteurs
"La recherche et le jeu sur mobile seront les segments les plus prometteurs de la prochaine phase de croissance du secteur pour ces régions. Les opérateurs mobiles estiment que les résultats de recherche associés à des publicités géolocalisées pourraient constituer de nouvelles sources de revenus notamment grâce à une croissance attendue de l'usage des souscripteurs. Google et Yahoo déploient déjà leurs activités dans ces régions en collaborant avec des opérateurs mobiles en Asie", ajoute Andy Bae. Les coupons mobiles, sonneries publicitaires ou encore la publicité via les services de navigation sont des techniques avec lesquelles il faudra également compter...
Publié le 18 Décembre 2007
Les deux pays sont des fers de lance de la publicité sur mobile. Selon ABI Research, ce segment devrait peser plus d'un milliard de dollars en 2012 dont plus de la moitié réalisé par ces deux pays. "Le Japon et la Corée du sud présentent les mêmes structures de marché, chaînes de valeur, et applications de service. Cela s'explique par le fait que les opérateurs mobiles de chaque pays ont établi leurs propres agences publicitaires. Les relations entre les opérateurs et les entreprises de publicité mobile affiliées sont étroites, ce qui leur permet d'obtenir des résultats en terme de business", a déclaré Andy Bae, analyste pour ABI.
Exploiter les capacités multimédias
Et l'une des clés du dynamisme de ce secteur dans ces pays extrême-orientaux est la large diffusion des appareils mobiles compatibles 3G et HSDPA. Selon le cabinet d'analyse, les deux nations auraient déjà pris une certaine avance sur les autres régions du monde. Si la publicité via SMS est toujours d'actualité, les consommateurs japonais et coréens sont effectivement prêt à accepter de nouveaux formats publicitaires exploitant les capacités multimédia de leurs appareils. Parallèlement, ces derniers perçoivent de plus en plus la publicité par SMS comme du spamming. En conséquence, les acteurs de la publicité sur mobile se tourne progressivement vers d'autres vecteurs, comme le MMS par exemple.
Recherche et jeu, les futurs segments porteurs
"La recherche et le jeu sur mobile seront les segments les plus prometteurs de la prochaine phase de croissance du secteur pour ces régions. Les opérateurs mobiles estiment que les résultats de recherche associés à des publicités géolocalisées pourraient constituer de nouvelles sources de revenus notamment grâce à une croissance attendue de l'usage des souscripteurs. Google et Yahoo déploient déjà leurs activités dans ces régions en collaborant avec des opérateurs mobiles en Asie", ajoute Andy Bae. Les coupons mobiles, sonneries publicitaires ou encore la publicité via les services de navigation sont des techniques avec lesquelles il faudra également compter...
22 juil. 2009
marketing mobile: Recommandations pour la création
Recommandations pour la création
Enfin, la Mobile Marketing Association fait plusieurs recommandations en matière de contenu et de création publicitaire :
Compte tenu des contraintes de poids qui limitent les créations à 7 Ko pour les bannières et 15 Ko pour les interstitiels, il faut restreindre le nombre de couleurs utilisées afin de conserver la qualité graphique de la création. Dans le même ordre d'idée, on réservera les dégradés de couleurs aux bannières les plus lourdes, à savoir entre 5 et 7 Ko.
L'espace publicitaire étant restreint de par la nature de son support, il faut s'astreindre à limiter le nombre de message à un seul par création.
La lisibilité du message publicitaire dépend d'une part de la longueur du texte (deux lignes maximum) et de la typographie qui doit demeurer simple et lisible sur les plus petits formats.
Le mobinaute passe certainement encore moins de temps sur une page Web mobile que lorsqu'il se trouve bien tranquillement installé devant son ordinateur. Autant dire qu'il est inutile de dépasser les trois écrans en ce qui concerne les bannières animées.
Contrairement à ce qui se produit sur Internet avec l'intégration des habillages sur les pages d'accueil de sites, il vaut mieux, sur mobile, créer une rupture avec la charte graphique de l'éditeur afin de s'en distinguer et d'attirer l'attention du mobinaute.
L'utilisation d'un call to action du type "Cliquez pour gagner..." ou encore "Découvrez le nouveau... ici." devrait inciter plus facilement le mobinaute à cliquer sur les liens. A ce propos, l'annonceur doit apporter ici une promesse simple et claire : réduction, offre scpéciale ou exclusive, dotation, etc.
Enfin, la Mobile Marketing Association fait plusieurs recommandations en matière de contenu et de création publicitaire :
Compte tenu des contraintes de poids qui limitent les créations à 7 Ko pour les bannières et 15 Ko pour les interstitiels, il faut restreindre le nombre de couleurs utilisées afin de conserver la qualité graphique de la création. Dans le même ordre d'idée, on réservera les dégradés de couleurs aux bannières les plus lourdes, à savoir entre 5 et 7 Ko.
L'espace publicitaire étant restreint de par la nature de son support, il faut s'astreindre à limiter le nombre de message à un seul par création.
La lisibilité du message publicitaire dépend d'une part de la longueur du texte (deux lignes maximum) et de la typographie qui doit demeurer simple et lisible sur les plus petits formats.
Le mobinaute passe certainement encore moins de temps sur une page Web mobile que lorsqu'il se trouve bien tranquillement installé devant son ordinateur. Autant dire qu'il est inutile de dépasser les trois écrans en ce qui concerne les bannières animées.
Contrairement à ce qui se produit sur Internet avec l'intégration des habillages sur les pages d'accueil de sites, il vaut mieux, sur mobile, créer une rupture avec la charte graphique de l'éditeur afin de s'en distinguer et d'attirer l'attention du mobinaute.
L'utilisation d'un call to action du type "Cliquez pour gagner..." ou encore "Découvrez le nouveau... ici." devrait inciter plus facilement le mobinaute à cliquer sur les liens. A ce propos, l'annonceur doit apporter ici une promesse simple et claire : réduction, offre scpéciale ou exclusive, dotation, etc.
M-pub : les recommandations de la Mobile Marketing Association
Formats, poids, contenu... La Mobile Marketing Association France, qui représente plus de 70 acteurs du marché, vient de mettre à jour ses recommandations en matière de publicité sur mobile. Détails.
mesure que les services mobiles se développent - certains sont payants et d'autres monétisés grâce à la publicité - le marché de la publicité sur ce support s'étoffe lui aussi. Selon une étude mondiale menée par Informa TM, les investissements publicitaires sur mobile s'élevaient à 1,72 milliard de dollars en 2008, année qui connut un véritable essor du marché, et pourraient atteindre 12 milliards en 2013.
Rien qu'en France, et suivant les informations fournies par les régies mobiles, le Journal du Net estimait en septembre 2008 que l'inventaire du Web mobile représentait 175 à 200 millions de PAP (pages vues avec publicités) en France (lire le dossier Publicité : le mobile est-il un média performant ?, du 25/09/2008). De 20 000 à 50 000 euros en moyenne en 2007, les budgets de marketing mobile des annonceurs en 2008 dépassaient plus fréquemment les 100 000 euros, selon des professionnels du marché.
Depuis quelques années déjà, les campagnes publicitaires sur mobile ne se cantonnent plus aux envois de SMS promotionnels. Elles revêtent les mêmes caractéristiques que les campagnes sur Internet, avec quelques années de retard et certaines spécificités propres au support.
C'est pourquoi, afin de structurer l'offre du marché, la Mobile Marketing Association, qui compte en France plus de 70 membres acteurs du marché, a publié de nouvelles recommandations en matière d'usage du mobile dans les campagnes publicitaires, mettant l'accent sur les formats et contenus des publicités.
mesure que les services mobiles se développent - certains sont payants et d'autres monétisés grâce à la publicité - le marché de la publicité sur ce support s'étoffe lui aussi. Selon une étude mondiale menée par Informa TM, les investissements publicitaires sur mobile s'élevaient à 1,72 milliard de dollars en 2008, année qui connut un véritable essor du marché, et pourraient atteindre 12 milliards en 2013.
Rien qu'en France, et suivant les informations fournies par les régies mobiles, le Journal du Net estimait en septembre 2008 que l'inventaire du Web mobile représentait 175 à 200 millions de PAP (pages vues avec publicités) en France (lire le dossier Publicité : le mobile est-il un média performant ?, du 25/09/2008). De 20 000 à 50 000 euros en moyenne en 2007, les budgets de marketing mobile des annonceurs en 2008 dépassaient plus fréquemment les 100 000 euros, selon des professionnels du marché.
Depuis quelques années déjà, les campagnes publicitaires sur mobile ne se cantonnent plus aux envois de SMS promotionnels. Elles revêtent les mêmes caractéristiques que les campagnes sur Internet, avec quelques années de retard et certaines spécificités propres au support.
C'est pourquoi, afin de structurer l'offre du marché, la Mobile Marketing Association, qui compte en France plus de 70 membres acteurs du marché, a publié de nouvelles recommandations en matière d'usage du mobile dans les campagnes publicitaires, mettant l'accent sur les formats et contenus des publicités.
MArketing mobile: Les agences mobiles se spécialisent
Marketing mobile : Les agences mobiles se spécialisent
Le marché se structure en deux types d'agences : d'une part, celles de marketing mobile, qui développent des stratégies médias mobiles pour les annonceurs ou des sites mobiles, d'autre part, les agences éditrices d'applications mobiles.
Parmi les premières, on trouve entre autres les sociétés Marvellous, Phone Valley ou Kassius. Elles sont là depuis la naissance du marketing mobile et sont la plupart du temps adossées à un grand groupe de communication. Marvellous est ainsi le pôle marketing de l'agence Isobar (elle même filiale du groupe Aegis), Phone Valley est devenue l'agence de communication mobile de Publicis Groupe, et Kassius a été rachetée en 2008 par Young & Rubicam Brands.
Dernier rapprochement en date : celui du réseau international SBW avec Group M, entité regroupant les agences médias du groupe WPP. «Group M ne possédait pas de réelle expertise mobile en interne. Mais si nous restons leur partenaire privilégié sur le mobile, nous travaillons pour beaucoup d'autres clients», explique Paul Amsellem, directeur général de SBW Paris.
Intense concurrence dans les applications
Certaines de ces agences de marketing mobile développent plus timidement des applications Iphone pour des marques mais, de ce côté, le marché s'agite déjà beaucoup et de nouveaux acteurs ont fait leur entrée. Ainsi, en France, se sont déjà positionnées sur le créneau des agences comme Visuamobile, Backelite (Fullsix) ou Novedia Agency. «Notre concurrence ne vient pas des agences marketing mobile, mais bien plus des développeurs expérimentés présents aux États-Unis», souligne Luc Veuillet, cofondateur de Visua Mobile.
Quant aux développeurs d'applications mobiles, la plupart travaillant en free-lance, ils sont désormais très recherchés et leur talent coûte très cher sur le marché. Aussi l'opérateur SFR, pour contourner en quelque sorte ces contraintes, a organisé le concours SFR Jeunes Talents Développeurs à l'occasion de la commercialisation du premier terminal sous Android (Google), le HTC Magic. Avec un certain succès : plus de 100 projets d'applications mobiles ont été déposés sur le site www.sfrjtd.fr entre le 10 mars et le 26 avril.
Le marché se structure en deux types d'agences : d'une part, celles de marketing mobile, qui développent des stratégies médias mobiles pour les annonceurs ou des sites mobiles, d'autre part, les agences éditrices d'applications mobiles.
Parmi les premières, on trouve entre autres les sociétés Marvellous, Phone Valley ou Kassius. Elles sont là depuis la naissance du marketing mobile et sont la plupart du temps adossées à un grand groupe de communication. Marvellous est ainsi le pôle marketing de l'agence Isobar (elle même filiale du groupe Aegis), Phone Valley est devenue l'agence de communication mobile de Publicis Groupe, et Kassius a été rachetée en 2008 par Young & Rubicam Brands.
Dernier rapprochement en date : celui du réseau international SBW avec Group M, entité regroupant les agences médias du groupe WPP. «Group M ne possédait pas de réelle expertise mobile en interne. Mais si nous restons leur partenaire privilégié sur le mobile, nous travaillons pour beaucoup d'autres clients», explique Paul Amsellem, directeur général de SBW Paris.
Intense concurrence dans les applications
Certaines de ces agences de marketing mobile développent plus timidement des applications Iphone pour des marques mais, de ce côté, le marché s'agite déjà beaucoup et de nouveaux acteurs ont fait leur entrée. Ainsi, en France, se sont déjà positionnées sur le créneau des agences comme Visuamobile, Backelite (Fullsix) ou Novedia Agency. «Notre concurrence ne vient pas des agences marketing mobile, mais bien plus des développeurs expérimentés présents aux États-Unis», souligne Luc Veuillet, cofondateur de Visua Mobile.
Quant aux développeurs d'applications mobiles, la plupart travaillant en free-lance, ils sont désormais très recherchés et leur talent coûte très cher sur le marché. Aussi l'opérateur SFR, pour contourner en quelque sorte ces contraintes, a organisé le concours SFR Jeunes Talents Développeurs à l'occasion de la commercialisation du premier terminal sous Android (Google), le HTC Magic. Avec un certain succès : plus de 100 projets d'applications mobiles ont été déposés sur le site www.sfrjtd.fr entre le 10 mars et le 26 avril.
9 juil. 2009
Quelques leviers pour réussir sa campagne de Marketing Mobile
bonjour à tous, voici un article qui pourrait vous intéresser
Les PME se lancent dans des campagnes de publicité sur mobile par SMS ou MMS. Voici quelques conseils avant de se lancer.
1 . Définir ses objectifs
Dans la constellation d'outils qu'offre le marketing mobile, pas facile de faire son choix. Doit-on immédiatement se lancer sur du MMS, voire de la vidéo ? Peut-on d'abord faire ses gammes sur le SMS ? En fait, tout dépend de la finalité de l'opération. Selon que l'annonceur voudra diriger son client vers un site Wap, vers des magasins, ou vers un centre d'appels, par exemple, il aura intérêt à se positionner sur l'un des supports. "En règle générale, le SMS est plus utilisé pour des opérations de marketing direct et le MMS pour des opérations de communication"
Adosser son dispositif mobile à la stratégie globale de communication reste donc la clé.
2.Définir sa cible
Autre facteur que l'annonceur doit garder à l'esprit : la cible à laquelle il souhaite s'adresser. Le marché a aujourd'hui à sa disposition une base de données de 4 millions de numéros en opt-in. Un peu moins de 10 % des abonnés mobiles ont donc accepté de recevoir des informations publicitaires et de figurer sur ces bases de données. Le parc de terminaux compatibles MMS étant un peu moins fourni, la base de clients sur laquelle des opérations multimédia sont réalisables est un peu moins forte. Elle serait aujourd'hui d'un million de personnes, mais le taux d'équipement augmentant rapidement dans ce domaine, la barre pourrait se situer à terme entre 2 et 3 millions.
Ensuite, il est toujours temps de cibler sa campagne, sur les 15 - 25 ans, les plus de 30 ans, les CSP+ ou encore les jeunes actifs parisiens. Ces critères peuvent être affinés avec les prestataires de SMS et MMS pour les professionnels . Contrairement à l'idée reçue, les jeunes ne sont pas forcément les seuls utilisateurs sensibles à ce média. Certaines campagnes, positionnées sur des cibles différentes, ont aussi obtenu des résultats jugés satisfaisants.
3 . Choisir un message
Le principal attrait du téléphone portable dans la stratégie marketing réside dans les taux d'ouverture des messages, plus élevés que sur le Web par exemple. Sur des campagnes SMS ou MMS, le taux de lecture est en effet compris entre 92 % et 95 %, apportant une visibilité accrue à l'annonceur. Encore faut-il bien préparer son message. Dans cette perspective, l'arrivée du MMS a complexifié le problème. Sur le SMS, il s'agit avant tout de choisir un message qui a de l'impact. Le MMS nécessite, lui, une vraie création graphique. Deux possibilités, donc, en MMS : la photo ou la vidéo. pour la photo une attention particulière à apporter à la première image, qui doit accrocher le regard. Pour les vidéos, la tendance est à des spots d'une vingtaine de secondes.
4 . Choisir le moment opportun
Le marketing mobile est un secteur extrêmement réglementé. Pour éviter le spam, les législateurs, en collaboration avec les opérateurs mobiles, ont mis des barrières assez élevées. Les annonceurs ne peuvent donc pas envoyer de SMS ou de MMS les dimanches et jours fériés, et les envois ne peuvent avoir lieu qu'entre 8h le matin et 21h le soir, ce qui laisse tout de même des marges relativement importantes. Mieux vaut toutefois réfléchir au moment le plus opportun pour déclencher ses envois.
Le marketing sms ou mobile est donc un levier fort pour les PME et fait parti de la communication multicanale.
Les PME se lancent dans des campagnes de publicité sur mobile par SMS ou MMS. Voici quelques conseils avant de se lancer.
1 . Définir ses objectifs
Dans la constellation d'outils qu'offre le marketing mobile, pas facile de faire son choix. Doit-on immédiatement se lancer sur du MMS, voire de la vidéo ? Peut-on d'abord faire ses gammes sur le SMS ? En fait, tout dépend de la finalité de l'opération. Selon que l'annonceur voudra diriger son client vers un site Wap, vers des magasins, ou vers un centre d'appels, par exemple, il aura intérêt à se positionner sur l'un des supports. "En règle générale, le SMS est plus utilisé pour des opérations de marketing direct et le MMS pour des opérations de communication"
Adosser son dispositif mobile à la stratégie globale de communication reste donc la clé.
2.Définir sa cible
Autre facteur que l'annonceur doit garder à l'esprit : la cible à laquelle il souhaite s'adresser. Le marché a aujourd'hui à sa disposition une base de données de 4 millions de numéros en opt-in. Un peu moins de 10 % des abonnés mobiles ont donc accepté de recevoir des informations publicitaires et de figurer sur ces bases de données. Le parc de terminaux compatibles MMS étant un peu moins fourni, la base de clients sur laquelle des opérations multimédia sont réalisables est un peu moins forte. Elle serait aujourd'hui d'un million de personnes, mais le taux d'équipement augmentant rapidement dans ce domaine, la barre pourrait se situer à terme entre 2 et 3 millions.
Ensuite, il est toujours temps de cibler sa campagne, sur les 15 - 25 ans, les plus de 30 ans, les CSP+ ou encore les jeunes actifs parisiens. Ces critères peuvent être affinés avec les prestataires de SMS et MMS pour les professionnels . Contrairement à l'idée reçue, les jeunes ne sont pas forcément les seuls utilisateurs sensibles à ce média. Certaines campagnes, positionnées sur des cibles différentes, ont aussi obtenu des résultats jugés satisfaisants.
3 . Choisir un message
Le principal attrait du téléphone portable dans la stratégie marketing réside dans les taux d'ouverture des messages, plus élevés que sur le Web par exemple. Sur des campagnes SMS ou MMS, le taux de lecture est en effet compris entre 92 % et 95 %, apportant une visibilité accrue à l'annonceur. Encore faut-il bien préparer son message. Dans cette perspective, l'arrivée du MMS a complexifié le problème. Sur le SMS, il s'agit avant tout de choisir un message qui a de l'impact. Le MMS nécessite, lui, une vraie création graphique. Deux possibilités, donc, en MMS : la photo ou la vidéo. pour la photo une attention particulière à apporter à la première image, qui doit accrocher le regard. Pour les vidéos, la tendance est à des spots d'une vingtaine de secondes.
4 . Choisir le moment opportun
Le marketing mobile est un secteur extrêmement réglementé. Pour éviter le spam, les législateurs, en collaboration avec les opérateurs mobiles, ont mis des barrières assez élevées. Les annonceurs ne peuvent donc pas envoyer de SMS ou de MMS les dimanches et jours fériés, et les envois ne peuvent avoir lieu qu'entre 8h le matin et 21h le soir, ce qui laisse tout de même des marges relativement importantes. Mieux vaut toutefois réfléchir au moment le plus opportun pour déclencher ses envois.
Le marketing sms ou mobile est donc un levier fort pour les PME et fait parti de la communication multicanale.
2 juil. 2009
Nexence lance Tagmanager : une plate-forme avant-gardiste de gestion globale d’opérations de TagMark, Nouveautés sur Nexence - Mobile Agency
Nexence lance Tagmanager : une plate-forme avant-gardiste de gestion globale d’opérations de TagMarketing ouverte à tous les codes barre 2D
Nexence, agence de communication Web et Marketing Mobile présente Tagmanager : un système d’édition et de gestion de campagnes marketing interactives par codes barres 2D.
La plate-forme Tagmanager développée par Nexence, permet l’accès à tout type de contenu sur les téléphones portables, PDA et Smartphones via l’édition et la gestion de codes barres 2D. Le système est complété par une console de management permettant une gestion intelligente de la campagne : statistiques précises sur le nombre de clic, informations sur les modèles et les marques des téléphones des utilisateurs etc. Après une lecture du code barre, Tagmanager permet à un mobinaute d’avoir accès à un site optimisé « sur mesure pour son mobile.
« Le tag 2D est une passerelle de connexion pour site mobile, il ne doit en aucun cas devenir une contrainte pour l’utilisateur. Accéder au site mobile le plus directement possible, par le plus grand nombre de solutions.» Déclare Vincent HERMAN - PDG de Nexence.
La société vient de finaliser le point d’entrée de sa plate-forme Tagmanager via mobile. L’utilisateur rentre le lien suivant http://2tag.fr sur son mobile puis Tagmanager prend le relai. Le système vérifie instantanément la compatibilité du téléphone grâce à une base de données qui rassemble tous les lecteurs de codes 2D existants sur le marché (300 téléphones référencés et classés par constructeur mobile). Une fois l’analyse terminée, le mobinaute est redirigé vers un lecteur de tag compatible.
Tagmanager repose sur les technologies DataMatrix et QRCode, normes ouvertes de génération de code. La plate-forme ajoute une couche serveur qui permet de proposer une gestion proactive et qualitative du contenu du site mobile en fonction du mobile de l’utilisateur.
Tagmanager comprend également trois modules complémentaires, Key Tag, Tag Manager Events et Tag Manager Analytics :
1) KeyTag permet d’accéder à un site mobile lisible par 100 % des téléphones du marché ayant un accès Wap ou Internet Mobile. KeyTag, est disponible pour les téléphones non compatibles ou pour les personnes ne désirant pas installer d’application Java sur leur portable. Tagmanager laisse le choix à l’utilisateur de saisir le code inscrit sous le tag 2D.
2) Tag Manager Events permet la gestion des flux d’enregistrements et l’optimisation des campagnes MMS/SMS grâce à la solution mCouponing et la solution MMS/SMS.
Solution mCouponing :
Tagmanager Events fournit une solution mCouponing via un code 2D. Après la validation du formulaire d’enregistrement pour un événement ou une réservation en ligne, l’utilisateur reçoit un SMS contenant une Url lui permettant de récupérer son invitation électronique. Il ne lui reste plus qu’à se présenter à l’accueil de l’événement et de scanner son code personnel sur les bornes disponibles.
Solution MMS/SMS :
Lors d’un envoi de MMS ou de WAP PUSH la liste de diffusion ne contient généralement que le numéro de téléphone. Tagmanager Events permet de déterminer quel est le téléphone utilisé afin d’obtenir un reporting du modèle exact, de sa taille d’écran, de sa compatibilité MMS, etc. Via une interface sécurisée en ligne le client peut suivre ses campagnes et ainsi exporter sa liste pour une optimisation lors de son prochain envoi.
3) Tag Manager Analytics permet de mesurer le trafic, l'audience et le suivi des campagnes marketing mobiles. Fréquentation du site, répartition du trafic, des opérateurs, des mobiles, etc.
18-juil.-2008
parut sur le blog de nexence
Nexence, agence de communication Web et Marketing Mobile présente Tagmanager : un système d’édition et de gestion de campagnes marketing interactives par codes barres 2D.
La plate-forme Tagmanager développée par Nexence, permet l’accès à tout type de contenu sur les téléphones portables, PDA et Smartphones via l’édition et la gestion de codes barres 2D. Le système est complété par une console de management permettant une gestion intelligente de la campagne : statistiques précises sur le nombre de clic, informations sur les modèles et les marques des téléphones des utilisateurs etc. Après une lecture du code barre, Tagmanager permet à un mobinaute d’avoir accès à un site optimisé « sur mesure pour son mobile.
« Le tag 2D est une passerelle de connexion pour site mobile, il ne doit en aucun cas devenir une contrainte pour l’utilisateur. Accéder au site mobile le plus directement possible, par le plus grand nombre de solutions.» Déclare Vincent HERMAN - PDG de Nexence.
La société vient de finaliser le point d’entrée de sa plate-forme Tagmanager via mobile. L’utilisateur rentre le lien suivant http://2tag.fr sur son mobile puis Tagmanager prend le relai. Le système vérifie instantanément la compatibilité du téléphone grâce à une base de données qui rassemble tous les lecteurs de codes 2D existants sur le marché (300 téléphones référencés et classés par constructeur mobile). Une fois l’analyse terminée, le mobinaute est redirigé vers un lecteur de tag compatible.
Tagmanager repose sur les technologies DataMatrix et QRCode, normes ouvertes de génération de code. La plate-forme ajoute une couche serveur qui permet de proposer une gestion proactive et qualitative du contenu du site mobile en fonction du mobile de l’utilisateur.
Tagmanager comprend également trois modules complémentaires, Key Tag, Tag Manager Events et Tag Manager Analytics :
1) KeyTag permet d’accéder à un site mobile lisible par 100 % des téléphones du marché ayant un accès Wap ou Internet Mobile. KeyTag, est disponible pour les téléphones non compatibles ou pour les personnes ne désirant pas installer d’application Java sur leur portable. Tagmanager laisse le choix à l’utilisateur de saisir le code inscrit sous le tag 2D.
2) Tag Manager Events permet la gestion des flux d’enregistrements et l’optimisation des campagnes MMS/SMS grâce à la solution mCouponing et la solution MMS/SMS.
Solution mCouponing :
Tagmanager Events fournit une solution mCouponing via un code 2D. Après la validation du formulaire d’enregistrement pour un événement ou une réservation en ligne, l’utilisateur reçoit un SMS contenant une Url lui permettant de récupérer son invitation électronique. Il ne lui reste plus qu’à se présenter à l’accueil de l’événement et de scanner son code personnel sur les bornes disponibles.
Solution MMS/SMS :
Lors d’un envoi de MMS ou de WAP PUSH la liste de diffusion ne contient généralement que le numéro de téléphone. Tagmanager Events permet de déterminer quel est le téléphone utilisé afin d’obtenir un reporting du modèle exact, de sa taille d’écran, de sa compatibilité MMS, etc. Via une interface sécurisée en ligne le client peut suivre ses campagnes et ainsi exporter sa liste pour une optimisation lors de son prochain envoi.
3) Tag Manager Analytics permet de mesurer le trafic, l'audience et le suivi des campagnes marketing mobiles. Fréquentation du site, répartition du trafic, des opérateurs, des mobiles, etc.
18-juil.-2008
parut sur le blog de nexence
1 juil. 2009
Les avantages du marketing mobile
Le marketing mobile est le parallèle du webmarketing sur mobile. Il se décline actuellement sous quatre grandes formes : les SMS-MMS publicitaires, le Bluetooth marketing, les codes-barres 2D et le marketing géolocalisé. Encore peu connu mais attractif et peu coûteux, le marketing mobile est en première ligne pour faire du cross média. Ce dernier consiste à conjuguer les différentes formes de publicités et ainsi de pouvoir facilement faire le lien. Par exemple, l'acheteur en supermarché peut, en passant près d'un stand, recevoir un message sur son terminal mobile lui permettant d'aller sur le site mobile de l'enseigne et de recevoir un code de réduction...
Le marketing mobile offre aux annonceurs un puissant support de communication grâce à ces quelques atouts. Tout d'abord, comme nous le disions dans l'introduction, le taux de pénétration du mobile, avec ces 87,6 %, est le plus élevé de tous les supports électroniques. L'Association Française du Multimédia Mobile (AFMM) les résume sous 5 initiales : les 5P.
Les 5P du Marketing Mobile
Puissant : Grâce à l'avancée de l'Internet Mobile, le consommateur reste disponible à tout moment. C'est justement sur ce point que le mobile est intéressant. La géolocalisation permet de réaliser des campagnes très pertinentes car parfaitement ciblées. En fonction du lieu, de l'heure ou du mode de vie, les messages peuvent être différents.
Pertinent : Les terminaux mobiles nous offrent aussi une accessibilité et une communication immédiate avec le prospect. Grâce à cet avantage, les messages peuvent être encore mieux personnalisés afin de favoriser le taux de transformation.
Personnel : Le terminal mobile est l'objet de communication le plus proche des Français dû en partie à cette « mobile dépendance » que nous avons évoquée dans l'introduction. L'avantage de cette proximité est donc de pouvoir être sûr de joindre le mobinaute en temps réel.
Profitable : Par rapport à des campagnes radios ou télés, la mise en place d'une campagne de marketing mobile est plus rapide et moins coûteuse car les bases de consommateurs se créent au fur et à mesure par l'annonceur.
Polyvalent : Le mobile n'est pas un objet comme les autres. En effet, en plus de sa fonction basique, à savoir téléphoner, les utilisateurs s'en servent pour de nombreuses fonctions supplémentaires qui peuvent servir pour réaliser des campagnes de marketing mobile. Par exemple, l'envoi d'un jeu au nom de l'annonceur, des dates d'ouverture ou de lancement mis directement dans l'agenda du mobinaute...
Ces 5P constituent, aujourd'hui, tout ce que les annonceurs demandent de posséder dans le but d'améliorer qualitativement leurs relations clients.
Ces 5P peuvent, par conséquent, remplir tous les objectifs du marketing et rendre l'Internet Mobile plus puissant que l'Internet fixe. En effet, grâce à l'Internet Mobile tous les objectifs marketing peuvent être atteints, à savoir :
Les objectifs marketing atteints par le mobile
* Séduire une nouvelle audience qui ne visite jamais les sites web classiques. Cela peut sembler opportuniste mais le nombre de terminaux mobiles dans le monde dépasse largement le nombre d'ordinateurs et donc d'internautes.
* Améliorer la relation client par de nouvelles formes d'interactions grâce aux applications mobiles.
* Dé-ringardiser une marque
* Créer du trafic dans les points de vente
Avant de relater les différents outils de marketing mobile, il est important de préciser que les règles juridiques sont très strictes concernant la réception de données sur mobile. Bien que les consommateurs restent perplexes quant à ces différentes dispositions, la constitution et la qualification de base de données sont régies par un opt-in très rigoureux. Toutes ces règles vont dans le sens de la protection du consommateur et par conséquent implicitement la démocratisation des campagnes de marketing mobile.
Le marketing mobile offre aux annonceurs un puissant support de communication grâce à ces quelques atouts. Tout d'abord, comme nous le disions dans l'introduction, le taux de pénétration du mobile, avec ces 87,6 %, est le plus élevé de tous les supports électroniques. L'Association Française du Multimédia Mobile (AFMM) les résume sous 5 initiales : les 5P.
Les 5P du Marketing Mobile
Puissant : Grâce à l'avancée de l'Internet Mobile, le consommateur reste disponible à tout moment. C'est justement sur ce point que le mobile est intéressant. La géolocalisation permet de réaliser des campagnes très pertinentes car parfaitement ciblées. En fonction du lieu, de l'heure ou du mode de vie, les messages peuvent être différents.
Pertinent : Les terminaux mobiles nous offrent aussi une accessibilité et une communication immédiate avec le prospect. Grâce à cet avantage, les messages peuvent être encore mieux personnalisés afin de favoriser le taux de transformation.
Personnel : Le terminal mobile est l'objet de communication le plus proche des Français dû en partie à cette « mobile dépendance » que nous avons évoquée dans l'introduction. L'avantage de cette proximité est donc de pouvoir être sûr de joindre le mobinaute en temps réel.
Profitable : Par rapport à des campagnes radios ou télés, la mise en place d'une campagne de marketing mobile est plus rapide et moins coûteuse car les bases de consommateurs se créent au fur et à mesure par l'annonceur.
Polyvalent : Le mobile n'est pas un objet comme les autres. En effet, en plus de sa fonction basique, à savoir téléphoner, les utilisateurs s'en servent pour de nombreuses fonctions supplémentaires qui peuvent servir pour réaliser des campagnes de marketing mobile. Par exemple, l'envoi d'un jeu au nom de l'annonceur, des dates d'ouverture ou de lancement mis directement dans l'agenda du mobinaute...
Ces 5P constituent, aujourd'hui, tout ce que les annonceurs demandent de posséder dans le but d'améliorer qualitativement leurs relations clients.
Ces 5P peuvent, par conséquent, remplir tous les objectifs du marketing et rendre l'Internet Mobile plus puissant que l'Internet fixe. En effet, grâce à l'Internet Mobile tous les objectifs marketing peuvent être atteints, à savoir :
Les objectifs marketing atteints par le mobile
* Séduire une nouvelle audience qui ne visite jamais les sites web classiques. Cela peut sembler opportuniste mais le nombre de terminaux mobiles dans le monde dépasse largement le nombre d'ordinateurs et donc d'internautes.
* Améliorer la relation client par de nouvelles formes d'interactions grâce aux applications mobiles.
* Dé-ringardiser une marque
* Créer du trafic dans les points de vente
Avant de relater les différents outils de marketing mobile, il est important de préciser que les règles juridiques sont très strictes concernant la réception de données sur mobile. Bien que les consommateurs restent perplexes quant à ces différentes dispositions, la constitution et la qualification de base de données sont régies par un opt-in très rigoureux. Toutes ces règles vont dans le sens de la protection du consommateur et par conséquent implicitement la démocratisation des campagnes de marketing mobile.
24 juin 2009
Les responsabilité d'une agence de marketing mobile
Dans ce nouveau monde de la communication sur mobile, on pourrait se demander quel est le rôle de ces nouvelles agences spécialisées dans le mobile. Est-ce un métier à part entière ou une agence de webmarketing pourrait l'exercer du fait de son expérience dans le web ?
Le rôle des agences de marketing mobile
L'agence spécialisée dans la mobilité intervient en première position dans la chaîne de réalisation d'une campagne de marketing mobile ou lors d'un projet de m-commerce. Elle agit en tant qu'experte du domaine en conseillant et préconisant les techniques les plus pertinentes et efficaces. En fonction de la cible, du produit ou du budget, les choix peuvent être différents et pas forcément clairs pour l'annonceur.
Une fois cette phase de conseil terminée, elle conçoit les projets mobiles aussi bien marketing que m-commerce et s'occupe des relations avec les opérateurs au niveau technique mais aussi administratif.
L'agence est aussi responsable des problèmes de versioning et de mise en forme qui pourraient exister entre les différents environnements mobiles (plateformes et terminaux). Pour terminer, le déploiement des applications qu'elle développe relève de sa responsabilité. Or cet aspect diffère d'une agence de webmarketing. En effet, sauf dans le cas d'un routage d'un mailing ou d'une mise en ligne, elle n'a pas à s'occuper d'un déploiement particulier.
On peut dire que l'agence de marketing mobile a un rôle identique comparé à celle d'une agence de webmarketing, à savoir du conseil, du développement et un suivi. Cependant le contenu de ces phases est différent et constitue une expertise bien particulière qui apporte une forte valeur ajoutée.
Selon une étude réalisée par Benchmark Group en 2007, le recours aux prestataires est très courant notamment pour la conception du site mobile mais aussi en termes de conseils
Comparées aux prestations fournies par les agences web, on remarque que les demandes des annonceurs se centrent beaucoup plus sur les conseils ou sur les démarches difficiles à mener si l'on n'a pas le réseau. Ces résultats montrent bien la nécessité d'être spécialisé dans le domaine.
Cependant, les agences de marketing interactif ont un avantage certain quant aux stratégies multicanales qu'elles peuvent apporter. Grâce à leurs expériences dans l'Internet fixe, elles peuvent mettre en place des plans de communication plus complets que les agences de marketing mobile.
Le rôle des agences de marketing mobile
L'agence spécialisée dans la mobilité intervient en première position dans la chaîne de réalisation d'une campagne de marketing mobile ou lors d'un projet de m-commerce. Elle agit en tant qu'experte du domaine en conseillant et préconisant les techniques les plus pertinentes et efficaces. En fonction de la cible, du produit ou du budget, les choix peuvent être différents et pas forcément clairs pour l'annonceur.
Une fois cette phase de conseil terminée, elle conçoit les projets mobiles aussi bien marketing que m-commerce et s'occupe des relations avec les opérateurs au niveau technique mais aussi administratif.
L'agence est aussi responsable des problèmes de versioning et de mise en forme qui pourraient exister entre les différents environnements mobiles (plateformes et terminaux). Pour terminer, le déploiement des applications qu'elle développe relève de sa responsabilité. Or cet aspect diffère d'une agence de webmarketing. En effet, sauf dans le cas d'un routage d'un mailing ou d'une mise en ligne, elle n'a pas à s'occuper d'un déploiement particulier.
On peut dire que l'agence de marketing mobile a un rôle identique comparé à celle d'une agence de webmarketing, à savoir du conseil, du développement et un suivi. Cependant le contenu de ces phases est différent et constitue une expertise bien particulière qui apporte une forte valeur ajoutée.
Selon une étude réalisée par Benchmark Group en 2007, le recours aux prestataires est très courant notamment pour la conception du site mobile mais aussi en termes de conseils
Comparées aux prestations fournies par les agences web, on remarque que les demandes des annonceurs se centrent beaucoup plus sur les conseils ou sur les démarches difficiles à mener si l'on n'a pas le réseau. Ces résultats montrent bien la nécessité d'être spécialisé dans le domaine.
Cependant, les agences de marketing interactif ont un avantage certain quant aux stratégies multicanales qu'elles peuvent apporter. Grâce à leurs expériences dans l'Internet fixe, elles peuvent mettre en place des plans de communication plus complets que les agences de marketing mobile.
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