MOBI-GEEK où l'information devient utile pour le marketer mobile

Blog traitant de marketing mobile, évoquant l'écosystème mobile , relayant l'information sur le marketing mobile , ses leviers , ses innovations et les diffèrents services mobiles.

Traite désormais de l'affiliation mobile, de la monétisation de trafic internet mobile.

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22 déc. 2009

Dailymotion se lance
sur 
iPhone
 et 
iPod Touch

Disponible
 sur
 l'App
Store 
depuis
 ce dimanche,
 Dailymotion 
pour 
iPhone
 et
i Pod
Touch
 donne accès à 
plus
 de
 12 
millions 
de 
vidéos,
réparties
 en 
14 
chaînes
 thématiques (Musique, Actu et
Politique,
Cinéma,
Comédie
et
Humour...).

La nouvelle application 
permet 
de profiter de toutes les 
fonctionnalités 
du 
site.
Les
 utilisateurs 
peuvent 
découvrir 
la
 sélection 
de 
vidéos
 stars
 ou
 les 
dernières
 vidéos
 qui
 font
le
buzz
 sur
Internet, partager 
leurs 
vidéos 
avec 
leurs 
amis
 et 
gérer 
leur
 compte
 Dailymotion
 depuis
 leur
 téléphone 
portable. 
Ceux
 qui
 possèdent
 un
 modèle
3Gs 
pourront
 filmer 
et 
envoyer 
directement 
leurs
 vidéos
 sur
 leur
 espace 
personnel.




L'application, développée
 avec 
le
 concours 
de
l'agence
 de
 conseil
 en 
communication
 digitale 
et 
marketing 
mobile SBW, 
est 
disponible
 en
 9 
langues
(Anglais,
français,
Allemand,
Espagnol,
Italien,
Néerlandais,
Portugais,
Polonais
et
Grec). Les 
utilisateurs
 ont
 le
choix
 entre deux
 versions
 : 
une
 gratuite 
et
l'autre
 payante,
sans 
publicité,
à
 4,99€. 
«
 Nos 
utilisateurs sont des adeptes de l'iPhone. Nous sommes heureux de pouvoir leur offrir une
 application qui permet de retrouver toute l'expérience de Dailymotion dans leur environnement 
mobile préféré.
Nous sommes certains qu'ils auront beaucoup de plaisir à découvrir
 cette
 application. 
»
 explique
 Cédric
Tournay ,
PDG
de
Dailymotion.

21 déc. 2009

Developing Mobile Friendly Websites using Architect

Mobile Web Design Tips

More Mobile Relations explains mobile marketing

Telecom Report - mobile marketing in practice

Le journal du mobile marketing

Marketing Mobile et Veille Stratégique

L'Internet mobile 2.0 maintenant entre les mains des jeunes.

L'Internet mobile 2.0 maintenant entre les mains des jeunes.

HP Esia Online (C6100): un téléphone rempli d'applications et une solution séduisante pour augmenter le revenu moyen par utilisateur.
Miyowa fournit l'accès unifié aux réseaux sociaux du HP Esia Online C1600.

Hong Kong, 8 Décembre 2009 – L'opérateur de téléphonie indonésien Bakrie Telecom (l'une des plus fortes croissances mondiales des opérateurs CDMA), en partenariat avec Huawei (un leader mondial fournisseur de solutions télécoms), Qualcomm Incorporated (le principal développeur de technologies de chipsets sans fil), Miyowa (le leader mondial dans l'agrégation de réseaux sociaux sur mobiles), Facebook® et Opera Software (un chef de file des browsers pour ordinateurs de bureau et les mobiles) annoncent le lancement du HP Esia Online (le C6100), l'un des terminaux les plus accessibles et les mieux fournis en fonctionnalités de messagerie, à destination des marchés émergents.
Le lancement a été annoncé au Sommet CDMA 2009 à Hong Kong, le 8 Décembre, 2009.

Le HP Esia Online (C6100) est un smartphone sur mesure ciblant le marché de masse. Mobile CDMA2000 (3G), stylé et élégant, équipé d'un clavier QWERTY complet et d'un écran de 2,4 pouces QVGA, le HP Esia Online est développé à partir de la plateforme Qualcomm QSC1110. Le téléphone possède un appareil photo numérique, un lecteur de carte micro-SD, peut lire les fichiers MP4/MP3/AAC et peut être utilisé comme modem d'accès à Internet.

Le HP Esia Online est unique et attrayant pour le marché de masse, car il est déjà préchargé avec des nouveaux services répondant aux besoins des jeunes utilisateurs : email, réseaux sociaux, messagerie instantanée, navigation Internet, divertissements et accès à l'information.
La suite d'applications comprend le micro-navigateur d'Opera Mini et une suite unifiée de messagerie électronique personnalisée et développée par Miyowa pour le C6100 : email POP3 / IMAP, Yahoo!® Messenger, Windows Live™ Messenger, Facebook et Google Talk™.

La suite de services est disponible dans un forfait ‘tout compris' par points, hebdomadaire ou quotidien, selon les services utilisés. Ce forfait à la carte innvove en redonnant le pouvoir au client, qui décide ce qu'il veut, quand il le veut et pour la durée qu'il a fixée. Ce mode de tarification est une stratégie éprouvée par Bakrie Telecom en Indonésie pour augmenter le revenu moyen par utilisateur.

Erik Meijer, Vice-Président de Bakrie Telecom a déclaré: “ Les besoins de base des jeunes sur le marché de masse évoluent au-delà de la voix et du SMS. L'émergence du Web 2.0 a été l'un des principaux moteurs de cette évolution, qui prend place dans tous les secteurs socio-économiques. HP Esia Online, avec un prix de vente bien en deçà de 100 $ US, fait partie de la nouvelle vague d'innovations en rupture de Bakrie Telecom, qui comble cette lacune et continue d'alimenter la croissance de l'entreprise. ”
“ Avec sa suite intégrée de services comprenant les meilleures applications du genre, ce téléphone va accroître les revenus opérateurs ainsi que nous permettre de fidéliser la clientèle grâce à des services communautaires, dans un marché principalement de services prépayés. Le HP Esia Online rend également la navigation, les réseaux sociaux et la messagerie accessibles à un public beaucoup plus large qu'auparavant ” fait remarquer Meijer.

Glory Cheung, porte-parole de Huawei, a expliqué : “ Ce nouveau smartphone reflète notre stratégie d'innovation centrée sur le client. Huawei est partenaire pour les terminaux de Bakrie Telecom depuis trois ans, et ensemble, nous avons lancé avec succès de nombreux téléphones thématiques tels que les téléphones musulmans les plus complets au monde, les téléphones chrétiens, hindous, chinois, groupes de rock, les téléphones musicaux et les téléphones de réseaux sociaux, spécialement pour le marché indonésien. Ce dernier modèle C6100 axé sur la messagerie combine les applications actuellement populaires avec la commodité d'un clavier QWERTY, pour offrir une expérience étonnante aux clients ”, a déclaré Glory Cheung.

“ Qualcomm est ravi de collaborer avec Bakrie Telecom pour ce nouveau C6100 ”, a déclaré Harry K. Nugraha, directeur et responsable Indonésie pour Qualcomm, “ Le C6100, un appareil 3G, tire parti de la solution à puce unique de Qualcomm, permettant un design plus fin et une meilleure gestion de l'alimentation. En outre, le dispositif est basé sur notre technologie Brew®, offrant aux abonnés de Bakrie un accès aux meilleurs applications et services dans le monde. ”

Pascal Lorne, CEO de Miyowa a ajouté: “ Ce premier déploiement de notre plate-forme InTouch 5™ pour Bakrie Telecom est une réalisation fantastique pour Miyowa, parce que c'est la première fois qu'un tel service mobile multi-communautés est commercialisé en Asie. Notre solution fournit aux opérateurs une offre tout-en-un, qui donne à la fois l'accès à Yahoo!® Messenger, Facebook, Windows Live™ Messenger, Google Talk™ ainsi qu'à l'email. Miyowa est le premier à fournir au choix un service multi-communautés ou unique pour les téléphones BREW® et Java™. Nous remercions tous nos partenaires, dont Bakrie Telecom, Qualcomm et Huawei de cette réussite partagée. ”

“ La mission de Facebook Mobile est de s'assurer que nos utilisateurs soient en mesure de partager et de se connecter, y compris quand ils sont loin de leur ordinateur ”, a déclaré Alison Rosenthal, Directrice du Business Development, Facebook Mobile. “ Travailler avec des chefs de file de l'industrie du mobile comme Qualcomm, permet à Bakrie Telecom d'offrir une expérience unique de Facebook pour le marché de l'Indonésie sur le mobile C6100. ”

“ Les capacités uniques de compression et de customisation d'Opera Mini offrent une des meilleures expériences de navigation mobile pour les utilisateurs et en font le browser mobile le plus populaire dans les marchés émergents, dont l'Indonésie ”, a déclaré James Wei, Président d' Opera Software pour l'Asie/Pacifique. “ L'engagement de Bakrie Telecom de précharger Opera Mini sur tous les mobiles compatibles est une étape clé pour offrir à tous les mobinautes une expérience unique, rapide, et économique. ”

“ Les services accessibles via les appareils mobiles sont un facteur clé de différentiation pour les opérateurs CDMA2000 en Indonésie ”, a déclaré Perry LaForge, directeur exécutif du CDMA Development Group (CDG). “ Bakrie fournit les applications souhaitées par les utilisateurs sur un smartphone abordable, en initiant les consommateurs de la région à des services de données sans fil et en augmentant les revenus de l'opérateur. ”

Bakrie Telecom est certain que ce terminal unifiant les services de messagerie et de réseaux sociaux sera charnière pour d'autres marchés CDMA à travers le monde, avec l'émergence de segments de orientés vers les jeunes.

Mardi, 08 Décembre 2009 18:19

16 déc. 2009

marketing et mobile analytics BANGO

Bango Mobile Analytics V4... un petit air de Google Analytics !

Bango Mobile Analytics V4... un petit air de Google Analytics !La société Bango vient de sortir la version 4 de sa solution d'analyse de statistiques sur les services mobiles. Les principales évolutions permettent d'obtenir des données en temps réel tout en donnant aux propriétaires des mini-sites la possibilité de détecter le type de connexion (2G,3G, Wifi) des visiteurs), de différencier le nombre de visites des visiteurs uniques, de voir les audiences par terminaux...d'analyser la performance de campagnes réalisées sur le canal mobile....le tout avec des interfaces qui ressemblent beaucoup à Google Analytics pour le Web!

Voici quelques vidéos pour découvrir cette nouvelle version. Rappelons que dans ce domaine, il existe aussi la solution Mobile Analytics d'Admob mais qui me semble moins avancée que l'outil proposé par Bango. Vous pouvez essayer cette version pendant 30 jours après inscription sur le site Web.

Source Bango.Bango Mobile Analytics V4... un petit air de Google Analytics !







Publié le 26 avril 2009 par Davidmas

marketing mobile : des signes de faiblesses : OneMedia : liquidée !

OneMedia : liquidée !

Fin de parcours pour OneMedia, une société introduite sur le Marché Libre en juillet 2008, qui a été liquidée par le Tribunal de Commerce. Les actions seront radiées d'Euronext Paris demain 15 décembre. La société avait été introduite en Bourse par Europe Finance et Industrie, société elle-même liquidée cette année.

OneMedia avait fait son apparition peu avant The Mighty Troglodytes, petit éditeur de jeux vidéo introduit par EFI et liquidé aussi fin 2008. Les deux sociétés étaient implantées à Strasbourg et avaient le même directeur administratif et financier !

Lors de sa mise en bourse, OneMedia avait été valorisée 7,5 ME! Le cours d'introduction avait en effet été établi à 6,74 Euros. Le dernier cours coté était de 0,22 Euro.

La société se disait spécialisée dans le "marketing mobile Bluetooth de proximité" et espèrait lever 1,1 Million d'Euros auprès d'investisseurs lors de sa venue sur les marchés.

(Boursier.com) --

marketing mobile Le mobile peut-il sauver la presse ?

Le mobile peut-il sauver la presse ?

Voici ci-dessous le texte de l’évènement de CB News, n°1036 paru le 30 novembre dernier. Le tout était également accompagné d’un banc d’essai des applications (En photo ci-dessus).

Le papier parie sur le mobile

” Le développement des applications et la meilleure tolérance du paiement sur mobile attire les éditeurs vers ce support. Essentiellement cantonnées à l’iPhone pour le moment, la presse espère que le marché va s’étendre. Et qu’il va être rentable”.

“Après avoir révolutionné le marché de la musique, mais surtout les usages de la musique, Apple avec son iPhone est-il en passe de modifier la consommation des médias et notamment celle de la presse ? Alors que la question pouvait paraître saugrenue il y a encore quelques mois, elle devient de plus en plus pertinente tant les éditeurs se tournent vers le mobile d’Apple pour monter dans le « magical mystery tour » des 100 000 applications dédiées. Mais les éditeurs de presse ne se tourneraient-ils pas vers cette nouvelle technologique comme vers un eldorado putatif, énième béquille d’une industrie vivant une crise structurelle. Comme le furent avant le mobile, le minitel ou l’internet.

“Le modèle économique de la presse imprimée a été fortement ébranlé parce que son champs de développement s’est fortement restreint puisque bien des motifs d’achat n’existent plus, en tout cas pour la presse quotidienne. Elle a donc une obligation de trouver un modèle économique“, souligne Jean-Marie Charon, sociologue au Centre d’étude des mouvements sociaux et spécialiste de la presse. “En ce sens, le téléphone mobile est effectivement une opportunité et non pas une bouée de sauvetage. Ce n’est que l’une des cartes à la disposition de la presse, une carte importante, à côté du micro paiement sur Internet ou des initiatives telles que celle de Murdoch pour fédérer les éditeurs vers le payant“, poursuit-il.

« Ce n’est pas un feu de paille, déclarait Arnaud de Saint-Simon, éditeur à Psychologies Magazine, lors du colloque organisé par le SPMI sur les marques de presse et le mobile le 10 novembre dernier. « Pour que la sauce ne prenne sur l’internet mobile, il fallait les ingrédients et l’iPhone est l’un de ceux-là », renchérissait d’ailleurs Catherine Le Drogo directrice des offres multimédias mobiles chez Orange France. Ainsi, les chiffres donneraient raison aux éditeurs de croire dans la « pomme » aux œufs d’or. Selon les données fournies lors du colloque du SPMI, la réponse semble plutôt positive puisque si 31 % des possesseurs de téléphone activent leur internet mobile, ils sont plus de 85 % lorsqu’ils ont dans la poche un iPhone ou un Blackberry. Les applications mobiles, synonymes de contact avec les marques de presse venant s’ajouter à cela.
Contact avec la marque, voilà une maxime qui sonne agréablement à l’oreille des différents éditeurs. « Sur le marché de l’internet, c’est le search qui domine, a contrario sur le mobile, c’est la marque de presse qui s’impose comme prescripteur d’info », souligne Arnaud de Saint-Simon.
Ainsi, en plus de permettre –peut-être – des revenus supplémentaires, les applications iPhone (ou plus largement smartphone) permettraient aux éditeurs de se défaire quelque peu de l’emprise de Google sur le search. Que demander de plus pour voir la presse se ruer vers le développement d’applications dédiées ? Le Monde fut le premier à dégainer. Depuis, L’Equipe, 20 Minutes, Le Figaro, Marianne, Le Point, le Parisien, Télé7Jours, ou encore tout récemment Libération et La Tribune ont suivi. « La presse dans son ensemble a bien compris l’opportunité très forte que constituaient les applications tant en termes de business qu’en termes d’image », note Dimitri Dautel, directeur d’Havas Digital Mobile qui ajoute que « le mobile est un intégrateur qui permet une convergence inédite entre les atouts du print et les atouts du web ».
En clair, la presse étant un support de mobilité puisque l’on lit son journal dans le café, le métro ou chez le coiffeur, a un compagnon tout trouvé avec le mobile. En ce sens, “le mobile peut aussi bien être la bouée de sauvetage que le fossoyeur de la presse puisqu’il lui prend son dernier atout qu’est la mobilité“, remarque non sans ironie Philippe Jannet, président du Monde Interactif, qui fut le premier, lorsqu’il était aux Echos à lancer une édition française de quotidien sur papier électronique.
«L’iPhone et tous les autres systèmes similaires nous permettent de partir dans la poche de nos lecteurs chaque jour », souligne Ludovic Blécher, directeur du multimédia à Libération. Voilà donc une bien belle raison de se lancer dans les applis. Toutefois, comme sur le web hier, un débat sur le modèle économique est en train de surgir. Payant ? Gratuit ou mixte ? « Ceux qui ont dégainé les premiers ont mis à l’ordre du jour du mobile le dogme du gratuit », note Ludovic Blécher. Et pour cause, selon différents experts, le rapport du nombre de téléchargement est de 1 à 10 selon que l’application est payante ou gratuite.

Les lecteurs lisent les articles en intégralité

Heureusement, Apple qui a bien compris les attentes de ses clients - notamment éditeurs – a fait évoluer son système pour permettre désormais grâce à « l’In App Purchase », de faire cohabiter zone gratuite et zone payante au sein d’une même application. C’est ainsi le cas de l’offre de Libération qui est gratuite au téléchargement mais intègre des services payants comme l’accès à l’ensemble des Unes de Libération depuis 1973 ou au journal du jour (soit 24 h d’accès pour 0,79 centimes d’euros, soit 3,99 euros pour 7 jours). C’est également ce qu’a décidé de faire La Tribune. Les deux quotidiens ayant aussi pour objectif de recruter des abonnés en plus. Par exemple, l’appli Libé propose de s’abonner à l’offre payante du site internet du quotidien, pour pouvoir ainsi profiter de toute la palette des services présents sur l’iPhone. De même, Le Monde qui fut le premier à se lancer sur l’iPhone en gratuit, va-t-il progressivement enrichir son offre avec des options payantes à commencer par la possibilité de télécharger l’intégralité l’édition papier. Quant à la question du confort de lecture, elle n’est pas forcément pertinente, puisque, comme le remarque Philippe Jannet, “nos lecteurs lisent majoritairement l’intégralité des articles sur iPhone“. Et bientôt sur Androïd, puisque Le Monde lance ce lundi l’application dédiée à la plate forme Google avec l’avoir fait cet été pour le Nokia N97.

A l’Equipe, le choix du payant est justifié, selon Xavier Spender, président de l’Equipe 24/24, par le fait que “l’information exclusive a un coût“. Or “comme il n’y a pas encore de marché publicitaire sur mobile, la seule solution est en effet de faire payer l’application. L’accès est facturé 0,79€ auxquels ont peut ajouter la même somme pour personnaliser l’appli. Celle de France Football, qui propose un système d’alertes personnalisées est vendue 1,59€. “Cela reste des sommes très modestes puisque l’on paye une fois pour toute, remarque Xavier Spender. Pour autant, sa religion n’est pas faite : “quand nous aurons une mesure d’audience et si le marché publicitaire est au rendez-vous, nous reconsidérerons la question de la gratuité“, prévoit le patron de la filiale numérique de l’Equipe. Une pub, qui a en croire Philippe Jannet commence à monter en puissance, puisque Le Monde annonce avoir vendu tous ses espaces mobile sur les deux derniers moins de l’année. Au Figaro on a opté d’emblée pour le gratuit. « Le but était de développer la marque et de lui fournir un maximum de contacts, explique Bertrand Gié, directeur des nouveaux médias du Groupe Figaro. Par contre, nous envisageons à terme d’y intégrer quelques services payants ».

Mais outre l’apport financier que peuvent constituer les achats à l’acte ou les téléchargements d’applis payantes pour les éditeurs, l’aspect commercialisation publicitaire n’est évidemment pas à négliger. « Comme le phénomène des applications va se développer chez tous les fournisseurs, la question de sa commercialisation se pose forcément », juge Emmanuel Vacher directeur marketing et commercialisation des activités numériques de Lagardère Active. Surtout, « pour l’annonceur, comme pour l’éditeur, l’application est de fait un rendez-vous avec le consommateur ». Ainsi, chez Lagardère Active qui a lancé onze applications, dont cinq émanant de marques de presse, le chiffre d’affaires généré par l’ensemble pourrait bien en 2010 « être à sept chiffres », analyse Emmanuel Vacher qui prépare les applis « Paris Match » et Europe 1 pour le début 2010.
« De fait, ce marché a un véritable potentiel. Et ce pour deux raisons majeures, note Dimitri Dautel. D’abord, parce que la marge générée peut être assez rapidement significative pour rentabiliser par exemple d’autres activités numériques et ensuite car la cible des possesseurs d’iPhone est très intéressante publicitairement parlant ». D’ailleurs, le CPM s’en ressent puisqu’il est - selon nos informations – de 15 euros nets en moyenne pour les applications. Avec un autre avantage : le contact direct et rare puisque une seule pub par page consultée est présente au sein de la majorité des applications de presse.
Finalement, à travers ce nouvel Eldorado, les éditeurs de presse tentent de récupérer l’argent perdu sur le web. Avec l’apparition réelle de ce nouveau marché, ils sont animés par deux convictions fortes les poussant à ne pas réitérer les erreurs passées: renforcer la valeur de leur marque et trouver un modèle économique. Salutaire. Pourtant, la profession n’a pas réussi uniformiser son discours sur le modèle économique de ses applications. Dommage.

David Medioni et Frédéric Roy
08 décembre 2009

22 juil. 2009

marketing mobile: Recommandations pour la création

Recommandations pour la création

Enfin, la Mobile Marketing Association fait plusieurs recommandations en matière de contenu et de création publicitaire :

Compte tenu des contraintes de poids qui limitent les créations à 7 Ko pour les bannières et 15 Ko pour les interstitiels, il faut restreindre le nombre de couleurs utilisées afin de conserver la qualité graphique de la création. Dans le même ordre d'idée, on réservera les dégradés de couleurs aux bannières les plus lourdes, à savoir entre 5 et 7 Ko.

L'espace publicitaire étant restreint de par la nature de son support, il faut s'astreindre à limiter le nombre de message à un seul par création.

La lisibilité du message publicitaire dépend d'une part de la longueur du texte (deux lignes maximum) et de la typographie qui doit demeurer simple et lisible sur les plus petits formats.

Le mobinaute passe certainement encore moins de temps sur une page Web mobile que lorsqu'il se trouve bien tranquillement installé devant son ordinateur. Autant dire qu'il est inutile de dépasser les trois écrans en ce qui concerne les bannières animées.

Contrairement à ce qui se produit sur Internet avec l'intégration des habillages sur les pages d'accueil de sites, il vaut mieux, sur mobile, créer une rupture avec la charte graphique de l'éditeur afin de s'en distinguer et d'attirer l'attention du mobinaute.

L'utilisation d'un call to action du type "Cliquez pour gagner..." ou encore "Découvrez le nouveau... ici." devrait inciter plus facilement le mobinaute à cliquer sur les liens. A ce propos, l'annonceur doit apporter ici une promesse simple et claire : réduction, offre scpéciale ou exclusive, dotation, etc.

Marketing mobile : Quatre types de campagnes publicitaires sur mobile

Quatre types de campagnes publicitaires sur mobile

La Mobile Marketing Association a recensé les différents usages du mobile en matière de campagnes publicitaires, au nombre de quatre :

Les campagnes de notoriété et d'image. Bannières, interstitiels, publicités dans les jeux, vidéos... ne sont ici pas forcément cliquables mais permettent au mobinaute de découvrir par exemple la nouvelle offre d'un annonceur.

La création de trafic. Le format publicitaire est cliquable et renvoie directement vers le site mobile de l'annonceur.

La création de trafic vers le call center de l'annonceur. En cliquant sur la publicité, le mobinaute active un dispositif de "clic to call". Autrement dit, il déclenche automatiquement un appel téléphonique vers le call center.

Le recrutement de prospects. En cliquant sur la publicité, le mobinaute est renvoyé sur un formulaire où il est invité à renseigner des informations personnelles (nom, âge, coordonnées mobiles, e-mail, etc.).

Suivant les objectifs de la campagne, le plan média doit être rigoureux. La Mobile Marketing Association recommande ainsi le ciblage publicitaire. Il n'est pas question pour le moment de ciblage comportemental mais, comme pour n'importe quel média, il faut prendre soin de choisir les sites éditeurs les plus pertinents. "Le ciblage est possible par segmentation CSP, par localisation, ou encore par type de téléphone, fait remarquer Jamil Hijazi, PDG de la régie mobile EGS Media et administrateur au sein de l'association. Même si cela va en s'estompant, certains annonceurs comme les éditeurs de jeux développent des applications pour un type de téléphone portable en particulier et ont tout intérêt à faire de la publicité auprès des détenteurs de ce type de téléphone."

9 juil. 2009

Quelques leviers pour réussir sa campagne de Marketing Mobile

bonjour à tous, voici un article qui pourrait vous intéresser

Les PME se lancent dans des campagnes de publicité sur mobile par SMS ou MMS. Voici quelques conseils avant de se lancer.

1 . Définir ses objectifs

Dans la constellation d'outils qu'offre le marketing mobile, pas facile de faire son choix. Doit-on immédiatement se lancer sur du MMS, voire de la vidéo ? Peut-on d'abord faire ses gammes sur le SMS ? En fait, tout dépend de la finalité de l'opération. Selon que l'annonceur voudra diriger son client vers un site Wap, vers des magasins, ou vers un centre d'appels, par exemple, il aura intérêt à se positionner sur l'un des supports. "En règle générale, le SMS est plus utilisé pour des opérations de marketing direct et le MMS pour des opérations de communication"

Adosser son dispositif mobile à la stratégie globale de communication reste donc la clé.

2.Définir sa cible

Autre facteur que l'annonceur doit garder à l'esprit : la cible à laquelle il souhaite s'adresser. Le marché a aujourd'hui à sa disposition une base de données de 4 millions de numéros en opt-in. Un peu moins de 10 % des abonnés mobiles ont donc accepté de recevoir des informations publicitaires et de figurer sur ces bases de données. Le parc de terminaux compatibles MMS étant un peu moins fourni, la base de clients sur laquelle des opérations multimédia sont réalisables est un peu moins forte. Elle serait aujourd'hui d'un million de personnes, mais le taux d'équipement augmentant rapidement dans ce domaine, la barre pourrait se situer à terme entre 2 et 3 millions.

Ensuite, il est toujours temps de cibler sa campagne, sur les 15 - 25 ans, les plus de 30 ans, les CSP+ ou encore les jeunes actifs parisiens. Ces critères peuvent être affinés avec les prestataires de SMS et MMS pour les professionnels . Contrairement à l'idée reçue, les jeunes ne sont pas forcément les seuls utilisateurs sensibles à ce média. Certaines campagnes, positionnées sur des cibles différentes, ont aussi obtenu des résultats jugés satisfaisants.

3 . Choisir un message

Le principal attrait du téléphone portable dans la stratégie marketing réside dans les taux d'ouverture des messages, plus élevés que sur le Web par exemple. Sur des campagnes SMS ou MMS, le taux de lecture est en effet compris entre 92 % et 95 %, apportant une visibilité accrue à l'annonceur. Encore faut-il bien préparer son message. Dans cette perspective, l'arrivée du MMS a complexifié le problème. Sur le SMS, il s'agit avant tout de choisir un message qui a de l'impact. Le MMS nécessite, lui, une vraie création graphique. Deux possibilités, donc, en MMS : la photo ou la vidéo. pour la photo une attention particulière à apporter à la première image, qui doit accrocher le regard. Pour les vidéos, la tendance est à des spots d'une vingtaine de secondes.

4 . Choisir le moment opportun

Le marketing mobile est un secteur extrêmement réglementé. Pour éviter le spam, les législateurs, en collaboration avec les opérateurs mobiles, ont mis des barrières assez élevées. Les annonceurs ne peuvent donc pas envoyer de SMS ou de MMS les dimanches et jours fériés, et les envois ne peuvent avoir lieu qu'entre 8h le matin et 21h le soir, ce qui laisse tout de même des marges relativement importantes. Mieux vaut toutefois réfléchir au moment le plus opportun pour déclencher ses envois.

Le marketing sms ou mobile est donc un levier fort pour les PME et fait parti de la communication multicanale.

4 juil. 2009

Le canal mobile, une solution marketing efficace et économique à privilégier en temps de crise

Le difficile contexte économique que les entreprises traversent aujourd’hui doit, comme toute période de crise, inciter les acteurs à développer de nouveaux schémas de pensée, et pour ce qui est de la communication, à imaginer de nouvelles solutions d’adressage et de séduction, avec la préoccupation bien naturelle de l’optimisation des investissements. Les canaux traditionnels de communication ne sont bien entendu pas remis en cause, mais il parait pertinent d’étudier de nouvelles alternatives pour répondre à leurs objectifs.
Dans de telles circonstances, les entreprises doivent pouvoir trouver dans le canal mobile une solution précise, parce que personnalisée, et accessible, parce que présentant des tickets d’entrée très abordables, qui font émerger de très beaux atouts dans l’univers des moyens de communication.

Avec une pénétration de 90% de la population française et des usages très personnels, le mobile a désormais un rayonnement qui permet de le considérer comme le seul canal de mass marketing individuel. A ce titre, il mérite qu’on lui accorde la même attention que les canaux de communication plus traditionnellement utilisés par les entreprises pour lui donner les moyens de participer à tous types d’objectifs marketing ou de communication.

Or malgré de tels chiffres, les entreprises n’ont pas encore conscience des atouts prépondérants du mobile pour accompagner le développement de leur activité :

* personnalisation :
le mobile permet de diffuser une information ciblée et impliquante grâce à l’attachement que les usagers ont pour leur téléphone.

* instantanéité
continuellement connecté (peut-on parler de dépendance…), le mobile permet une relation Marque-Consommateur à tout moment et en tout lieu !

* praticité et d’utilité
L’objectif premier du mobile est de rendre service à l’usager. Une telle fonction, grâce au développement des technologies, s’exploite parfaitement aujourd’hui commercialement, que ces solutions soient Internet mobiles pour trouver un produit, ou bien de géolocalisation pour se rendre dans un magasin, ou encore promotionnelles pour profiter d’une offre.


Le mobile possède une capacité unique d’interaction avec le consommateur final. Il peut intervenir dans le cycle de vie d’une marque (lancement, recrutement, trafic, fidélisation, promotion, satisfaction, vente…) dans la mesure où la stratégie mise en œuvre est adaptée aux habitudes d’usages et aux conditions d’équipement des cibles, et surtout, quand le canal mobile est envisagé dès l’amont des réflexions : pour que l’utilisation du canal mobile soit efficace, les entreprises doivent définir avec précision ses objectifs et son périmètre. En effet, ses caractéristiques très personnelles, voire intimes, font du mobile un « outil » efficace dès qu’il permet de répondre à une attente et/ou à un besoin : cela s’anticipe et se construit. Si le mobile est utilisé de manière appropriée, il peut devenir un canal très performant de fidélisation du client en créant un climat de confiance et de considération avec la marque.

Dans une stratégie de communication, l’exploitation d’outils associés aux services mobiles tels que le SMS ou le MMS, le Flashcode, le Bluetooth propose des prolongements d’action vers le consommateur final inégalées. Sans prétendre devenir un canal de substitution, le mobile doit pouvoir être appréhendé comme relai de campagnes medias réalisées. il s’en construira ainsi un lien entre la Marque et le consommateur final, souvent à l’initiative de ce dernier, qui en fera un formidable levier de réactivité instantanée, puis dans la durée si la relation est entretenue…

Le canal mobile constitue donc une solution très pertinente pour entretenir et développer la relation avec le consommateur. Dans le contexte économique actuel, il présente l’avantage d’afficher des arguments déterminants dans la stratégie des entreprises.

Ces bénéfices reposent sur 3 facteurs clés :

* des « tickets d’entrée » très accessibles

* une exploitation ROIste forte grâce à des capacités de tracking importantes.

* des coûts de réalisation de campagne très compétitifs

L’intérêt des annonceurs pour le canal commence à se révéler. Mais à l’heure où les entreprises avouent des difficultés à entrer en contact avec leurs consommateurs, le mobile leur donne la possibilité de pénétrer, et d’exister, dans la poche de leurs clients et de leurs prospects. Il devient donc opportun de transformer cette « curiosité » en « solution » !

Mercredi 13 Mai 2009
Par Pierre Gaymard, Président Directeur Général de WAYMA

2 juil. 2009

Nexence lance Tagmanager : une plate-forme avant-gardiste de gestion globale d’opérations de TagMark, Nouveautés sur Nexence - Mobile Agency

Nexence lance Tagmanager : une plate-forme avant-gardiste de gestion globale d’opérations de TagMarketing ouverte à tous les codes barre 2D


Nexence, agence de communication Web et Marketing Mobile présente Tagmanager : un système d’édition et de gestion de campagnes marketing interactives par codes barres 2D.

La plate-forme Tagmanager développée par Nexence, permet l’accès à tout type de contenu sur les téléphones portables, PDA et Smartphones via l’édition et la gestion de codes barres 2D. Le système est complété par une console de management permettant une gestion intelligente de la campagne : statistiques précises sur le nombre de clic, informations sur les modèles et les marques des téléphones des utilisateurs etc. Après une lecture du code barre, Tagmanager permet à un mobinaute d’avoir accès à un site optimisé « sur mesure pour son mobile.

« Le tag 2D est une passerelle de connexion pour site mobile, il ne doit en aucun cas devenir une contrainte pour l’utilisateur. Accéder au site mobile le plus directement possible, par le plus grand nombre de solutions.» Déclare Vincent HERMAN - PDG de Nexence.

La société vient de finaliser le point d’entrée de sa plate-forme Tagmanager via mobile. L’utilisateur rentre le lien suivant http://2tag.fr sur son mobile puis Tagmanager prend le relai. Le système vérifie instantanément la compatibilité du téléphone grâce à une base de données qui rassemble tous les lecteurs de codes 2D existants sur le marché (300 téléphones référencés et classés par constructeur mobile). Une fois l’analyse terminée, le mobinaute est redirigé vers un lecteur de tag compatible.

Tagmanager repose sur les technologies DataMatrix et QRCode, normes ouvertes de génération de code. La plate-forme ajoute une couche serveur qui permet de proposer une gestion proactive et qualitative du contenu du site mobile en fonction du mobile de l’utilisateur.

Tagmanager comprend également trois modules complémentaires, Key Tag, Tag Manager Events et Tag Manager Analytics :

1) KeyTag permet d’accéder à un site mobile lisible par 100 % des téléphones du marché ayant un accès Wap ou Internet Mobile. KeyTag, est disponible pour les téléphones non compatibles ou pour les personnes ne désirant pas installer d’application Java sur leur portable. Tagmanager laisse le choix à l’utilisateur de saisir le code inscrit sous le tag 2D.


2) Tag Manager Events permet la gestion des flux d’enregistrements et l’optimisation des campagnes MMS/SMS grâce à la solution mCouponing et la solution MMS/SMS.

Solution mCouponing :
Tagmanager Events fournit une solution mCouponing via un code 2D. Après la validation du formulaire d’enregistrement pour un événement ou une réservation en ligne, l’utilisateur reçoit un SMS contenant une Url lui permettant de récupérer son invitation électronique. Il ne lui reste plus qu’à se présenter à l’accueil de l’événement et de scanner son code personnel sur les bornes disponibles.

Solution MMS/SMS :
Lors d’un envoi de MMS ou de WAP PUSH la liste de diffusion ne contient généralement que le numéro de téléphone. Tagmanager Events permet de déterminer quel est le téléphone utilisé afin d’obtenir un reporting du modèle exact, de sa taille d’écran, de sa compatibilité MMS, etc. Via une interface sécurisée en ligne le client peut suivre ses campagnes et ainsi exporter sa liste pour une optimisation lors de son prochain envoi.
3) Tag Manager Analytics permet de mesurer le trafic, l'audience et le suivi des campagnes marketing mobiles. Fréquentation du site, répartition du trafic, des opérateurs, des mobiles, etc.


18-juil.-2008
parut sur le blog de nexence

1 juil. 2009

Les avantages du marketing mobile

Le marketing mobile est le parallèle du webmarketing sur mobile. Il se décline actuellement sous quatre grandes formes : les SMS-MMS publicitaires, le Bluetooth marketing, les codes-barres 2D et le marketing géolocalisé. Encore peu connu mais attractif et peu coûteux, le marketing mobile est en première ligne pour faire du cross média. Ce dernier consiste à conjuguer les différentes formes de publicités et ainsi de pouvoir facilement faire le lien. Par exemple, l'acheteur en supermarché peut, en passant près d'un stand, recevoir un message sur son terminal mobile lui permettant d'aller sur le site mobile de l'enseigne et de recevoir un code de réduction...

Le marketing mobile offre aux annonceurs un puissant support de communication grâce à ces quelques atouts. Tout d'abord, comme nous le disions dans l'introduction, le taux de pénétration du mobile, avec ces 87,6 %, est le plus élevé de tous les supports électroniques. L'Association Française du Multimédia Mobile (AFMM) les résume sous 5 initiales : les 5P.
Les 5P du Marketing Mobile

Puissant : Grâce à l'avancée de l'Internet Mobile, le consommateur reste disponible à tout moment. C'est justement sur ce point que le mobile est intéressant. La géolocalisation permet de réaliser des campagnes très pertinentes car parfaitement ciblées. En fonction du lieu, de l'heure ou du mode de vie, les messages peuvent être différents.

Pertinent : Les terminaux mobiles nous offrent aussi une accessibilité et une communication immédiate avec le prospect. Grâce à cet avantage, les messages peuvent être encore mieux personnalisés afin de favoriser le taux de transformation.

Personnel : Le terminal mobile est l'objet de communication le plus proche des Français dû en partie à cette « mobile dépendance » que nous avons évoquée dans l'introduction. L'avantage de cette proximité est donc de pouvoir être sûr de joindre le mobinaute en temps réel.

Profitable : Par rapport à des campagnes radios ou télés, la mise en place d'une campagne de marketing mobile est plus rapide et moins coûteuse car les bases de consommateurs se créent au fur et à mesure par l'annonceur.

Polyvalent : Le mobile n'est pas un objet comme les autres. En effet, en plus de sa fonction basique, à savoir téléphoner, les utilisateurs s'en servent pour de nombreuses fonctions supplémentaires qui peuvent servir pour réaliser des campagnes de marketing mobile. Par exemple, l'envoi d'un jeu au nom de l'annonceur, des dates d'ouverture ou de lancement mis directement dans l'agenda du mobinaute...

Ces 5P constituent, aujourd'hui, tout ce que les annonceurs demandent de posséder dans le but d'améliorer qualitativement leurs relations clients.

Ces 5P peuvent, par conséquent, remplir tous les objectifs du marketing et rendre l'Internet Mobile plus puissant que l'Internet fixe. En effet, grâce à l'Internet Mobile tous les objectifs marketing peuvent être atteints, à savoir :
Les objectifs marketing atteints par le mobile

* Séduire une nouvelle audience qui ne visite jamais les sites web classiques. Cela peut sembler opportuniste mais le nombre de terminaux mobiles dans le monde dépasse largement le nombre d'ordinateurs et donc d'internautes.
* Améliorer la relation client par de nouvelles formes d'interactions grâce aux applications mobiles.
* Dé-ringardiser une marque
* Créer du trafic dans les points de vente

Avant de relater les différents outils de marketing mobile, il est important de préciser que les règles juridiques sont très strictes concernant la réception de données sur mobile. Bien que les consommateurs restent perplexes quant à ces différentes dispositions, la constitution et la qualification de base de données sont régies par un opt-in très rigoureux. Toutes ces règles vont dans le sens de la protection du consommateur et par conséquent implicitement la démocratisation des campagnes de marketing mobile.

24 juin 2009

Les responsabilité d'une agence de marketing mobile

Dans ce nouveau monde de la communication sur mobile, on pourrait se demander quel est le rôle de ces nouvelles agences spécialisées dans le mobile. Est-ce un métier à part entière ou une agence de webmarketing pourrait l'exercer du fait de son expérience dans le web ?

Le rôle des agences de marketing mobile

L'agence spécialisée dans la mobilité intervient en première position dans la chaîne de réalisation d'une campagne de marketing mobile ou lors d'un projet de m-commerce. Elle agit en tant qu'experte du domaine en conseillant et préconisant les techniques les plus pertinentes et efficaces. En fonction de la cible, du produit ou du budget, les choix peuvent être différents et pas forcément clairs pour l'annonceur.

Une fois cette phase de conseil terminée, elle conçoit les projets mobiles aussi bien marketing que m-commerce et s'occupe des relations avec les opérateurs au niveau technique mais aussi administratif.

L'agence est aussi responsable des problèmes de versioning et de mise en forme qui pourraient exister entre les différents environnements mobiles (plateformes et terminaux). Pour terminer, le déploiement des applications qu'elle développe relève de sa responsabilité. Or cet aspect diffère d'une agence de webmarketing. En effet, sauf dans le cas d'un routage d'un mailing ou d'une mise en ligne, elle n'a pas à s'occuper d'un déploiement particulier.

On peut dire que l'agence de marketing mobile a un rôle identique comparé à celle d'une agence de webmarketing, à savoir du conseil, du développement et un suivi. Cependant le contenu de ces phases est différent et constitue une expertise bien particulière qui apporte une forte valeur ajoutée.

Selon une étude réalisée par Benchmark Group en 2007, le recours aux prestataires est très courant notamment pour la conception du site mobile mais aussi en termes de conseils

Comparées aux prestations fournies par les agences web, on remarque que les demandes des annonceurs se centrent beaucoup plus sur les conseils ou sur les démarches difficiles à mener si l'on n'a pas le réseau. Ces résultats montrent bien la nécessité d'être spécialisé dans le domaine.

Cependant, les agences de marketing interactif ont un avantage certain quant aux stratégies multicanales qu'elles peuvent apporter. Grâce à leurs expériences dans l'Internet fixe, elles peuvent mettre en place des plans de communication plus complets que les agences de marketing mobile.