MOBI-GEEK où l'information devient utile pour le marketer mobile

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16 déc. 2009

How to track mobile phone users with Google Analytics

Designing a web site for a mobile audience with a 3 inch screen and potentially slower data connection is clearly very different from other users. Therefore studying this segment of visitors can have important implications for your web development.

Visits from older generations of Internet enabled mobile phones cannot be tracked by web analytics tools that use page tags – including Google Analytics – as they do not execute JavaScript or cookies. The traditional solution to this was to use a Log analyzer such as Urchin. However the lack of cookie and JavaScript support was precisely the reason so few people used their phone for web access. In many cases sites just failed to work, so tracking the few mobile visitors out there was never a priority – until now.

The newer generation of Smartphones (iPhone, Blackberry etc.) have driven the recent proliferation of web usage via mobile devices by supporting cookies and JavaScript. Therefore visitors accessing your site from a Smartphone can now be tracked – in the exact same way as a desktop or laptop user.

Mobile Web audience statistics

* Mobile web browsing as a proportion of total web browsing is currently very small at 0.72 percent, though growing. [NetMarketingShare via Econsultancy.com blog, March 2009]

* US Smartphone users spent an average of 4.6 hours per month on mobile Internet sites. [M:Metrics via Marketing Charts, May 2008]

* In the US, 63.2m people used their mobiles to find news and information in January 2009, more than double that of January 2008. [comScore, March 2009]

* Of 182 million people in China with Web-enabled mobile phones, 102 million (56 percent) use the devices to connect to the Web. [Netpop Research via Clickz, April 2009]

How to track mobile visitors

As stated, by default Smartphone mobile visitors are tracked just as any other visitor to your website – you don’t have to do anything! However, the caveat is that these are a relatively small proportion of traffic, so are be buried deep in your reports.

In order to bubble these up to the top, you need to create an advanced segment. (If this means nothing to you, take a look at the advanced segment article on the GA Help Centre). The Figure below shows how to create an advanced segment in Google Analytics to highlight your mobile visitors. It detects either the visitor’s operating system or browser type and matches it against a known lookup list. Just as for profile filters, it uses the regular expression pipe character “|” to separate multiple possible matches for the same metric or dimension.

mobile-adv-segment.jpg

Figure 1 – custom segment to highlight mobile phone visits

Expanded from screenshot: OS and Browser type match:

android|black|HTC|iphone|ipod|lg|nokia|palm|samsung|sony|symbian|vodafone|treo|xda|netfront

Copy & paste this line into the two value fields (Browser and Operating System) for your advanced segment.

The same lookup list is used for both operating system and browser type fields as not all Smartphones set these logically. For example, many do not broadcast their operating system name when viewing websites, while others identify their browsers as regular types e.g. Safari (Symbian, Andriod), which cannot be distinguished from ordinary desktop or laptop users. The use of both fields combined with an “or” statement therefore ensures you capture most mobile visitors.

With your Advanced Segment define, you can then view mobile visits at a click as the following screenshot shows.

mobile visitors

Note: The mobile lookup list for the advanced segment example was compiled by analyzing the browser and operating system combinations of over 10 million visits during July-August 2009 from five independent websites. These were publisher websites i.e. those most likely to receive mobile visitors with a targeted audience of US (1), UK (2) and Swedish (2) visitors.

marketing mobile Le mobile peut-il sauver la presse ?

Le mobile peut-il sauver la presse ?

Voici ci-dessous le texte de l’évènement de CB News, n°1036 paru le 30 novembre dernier. Le tout était également accompagné d’un banc d’essai des applications (En photo ci-dessus).

Le papier parie sur le mobile

” Le développement des applications et la meilleure tolérance du paiement sur mobile attire les éditeurs vers ce support. Essentiellement cantonnées à l’iPhone pour le moment, la presse espère que le marché va s’étendre. Et qu’il va être rentable”.

“Après avoir révolutionné le marché de la musique, mais surtout les usages de la musique, Apple avec son iPhone est-il en passe de modifier la consommation des médias et notamment celle de la presse ? Alors que la question pouvait paraître saugrenue il y a encore quelques mois, elle devient de plus en plus pertinente tant les éditeurs se tournent vers le mobile d’Apple pour monter dans le « magical mystery tour » des 100 000 applications dédiées. Mais les éditeurs de presse ne se tourneraient-ils pas vers cette nouvelle technologique comme vers un eldorado putatif, énième béquille d’une industrie vivant une crise structurelle. Comme le furent avant le mobile, le minitel ou l’internet.

“Le modèle économique de la presse imprimée a été fortement ébranlé parce que son champs de développement s’est fortement restreint puisque bien des motifs d’achat n’existent plus, en tout cas pour la presse quotidienne. Elle a donc une obligation de trouver un modèle économique“, souligne Jean-Marie Charon, sociologue au Centre d’étude des mouvements sociaux et spécialiste de la presse. “En ce sens, le téléphone mobile est effectivement une opportunité et non pas une bouée de sauvetage. Ce n’est que l’une des cartes à la disposition de la presse, une carte importante, à côté du micro paiement sur Internet ou des initiatives telles que celle de Murdoch pour fédérer les éditeurs vers le payant“, poursuit-il.

« Ce n’est pas un feu de paille, déclarait Arnaud de Saint-Simon, éditeur à Psychologies Magazine, lors du colloque organisé par le SPMI sur les marques de presse et le mobile le 10 novembre dernier. « Pour que la sauce ne prenne sur l’internet mobile, il fallait les ingrédients et l’iPhone est l’un de ceux-là », renchérissait d’ailleurs Catherine Le Drogo directrice des offres multimédias mobiles chez Orange France. Ainsi, les chiffres donneraient raison aux éditeurs de croire dans la « pomme » aux œufs d’or. Selon les données fournies lors du colloque du SPMI, la réponse semble plutôt positive puisque si 31 % des possesseurs de téléphone activent leur internet mobile, ils sont plus de 85 % lorsqu’ils ont dans la poche un iPhone ou un Blackberry. Les applications mobiles, synonymes de contact avec les marques de presse venant s’ajouter à cela.
Contact avec la marque, voilà une maxime qui sonne agréablement à l’oreille des différents éditeurs. « Sur le marché de l’internet, c’est le search qui domine, a contrario sur le mobile, c’est la marque de presse qui s’impose comme prescripteur d’info », souligne Arnaud de Saint-Simon.
Ainsi, en plus de permettre –peut-être – des revenus supplémentaires, les applications iPhone (ou plus largement smartphone) permettraient aux éditeurs de se défaire quelque peu de l’emprise de Google sur le search. Que demander de plus pour voir la presse se ruer vers le développement d’applications dédiées ? Le Monde fut le premier à dégainer. Depuis, L’Equipe, 20 Minutes, Le Figaro, Marianne, Le Point, le Parisien, Télé7Jours, ou encore tout récemment Libération et La Tribune ont suivi. « La presse dans son ensemble a bien compris l’opportunité très forte que constituaient les applications tant en termes de business qu’en termes d’image », note Dimitri Dautel, directeur d’Havas Digital Mobile qui ajoute que « le mobile est un intégrateur qui permet une convergence inédite entre les atouts du print et les atouts du web ».
En clair, la presse étant un support de mobilité puisque l’on lit son journal dans le café, le métro ou chez le coiffeur, a un compagnon tout trouvé avec le mobile. En ce sens, “le mobile peut aussi bien être la bouée de sauvetage que le fossoyeur de la presse puisqu’il lui prend son dernier atout qu’est la mobilité“, remarque non sans ironie Philippe Jannet, président du Monde Interactif, qui fut le premier, lorsqu’il était aux Echos à lancer une édition française de quotidien sur papier électronique.
«L’iPhone et tous les autres systèmes similaires nous permettent de partir dans la poche de nos lecteurs chaque jour », souligne Ludovic Blécher, directeur du multimédia à Libération. Voilà donc une bien belle raison de se lancer dans les applis. Toutefois, comme sur le web hier, un débat sur le modèle économique est en train de surgir. Payant ? Gratuit ou mixte ? « Ceux qui ont dégainé les premiers ont mis à l’ordre du jour du mobile le dogme du gratuit », note Ludovic Blécher. Et pour cause, selon différents experts, le rapport du nombre de téléchargement est de 1 à 10 selon que l’application est payante ou gratuite.

Les lecteurs lisent les articles en intégralité

Heureusement, Apple qui a bien compris les attentes de ses clients - notamment éditeurs – a fait évoluer son système pour permettre désormais grâce à « l’In App Purchase », de faire cohabiter zone gratuite et zone payante au sein d’une même application. C’est ainsi le cas de l’offre de Libération qui est gratuite au téléchargement mais intègre des services payants comme l’accès à l’ensemble des Unes de Libération depuis 1973 ou au journal du jour (soit 24 h d’accès pour 0,79 centimes d’euros, soit 3,99 euros pour 7 jours). C’est également ce qu’a décidé de faire La Tribune. Les deux quotidiens ayant aussi pour objectif de recruter des abonnés en plus. Par exemple, l’appli Libé propose de s’abonner à l’offre payante du site internet du quotidien, pour pouvoir ainsi profiter de toute la palette des services présents sur l’iPhone. De même, Le Monde qui fut le premier à se lancer sur l’iPhone en gratuit, va-t-il progressivement enrichir son offre avec des options payantes à commencer par la possibilité de télécharger l’intégralité l’édition papier. Quant à la question du confort de lecture, elle n’est pas forcément pertinente, puisque, comme le remarque Philippe Jannet, “nos lecteurs lisent majoritairement l’intégralité des articles sur iPhone“. Et bientôt sur Androïd, puisque Le Monde lance ce lundi l’application dédiée à la plate forme Google avec l’avoir fait cet été pour le Nokia N97.

A l’Equipe, le choix du payant est justifié, selon Xavier Spender, président de l’Equipe 24/24, par le fait que “l’information exclusive a un coût“. Or “comme il n’y a pas encore de marché publicitaire sur mobile, la seule solution est en effet de faire payer l’application. L’accès est facturé 0,79€ auxquels ont peut ajouter la même somme pour personnaliser l’appli. Celle de France Football, qui propose un système d’alertes personnalisées est vendue 1,59€. “Cela reste des sommes très modestes puisque l’on paye une fois pour toute, remarque Xavier Spender. Pour autant, sa religion n’est pas faite : “quand nous aurons une mesure d’audience et si le marché publicitaire est au rendez-vous, nous reconsidérerons la question de la gratuité“, prévoit le patron de la filiale numérique de l’Equipe. Une pub, qui a en croire Philippe Jannet commence à monter en puissance, puisque Le Monde annonce avoir vendu tous ses espaces mobile sur les deux derniers moins de l’année. Au Figaro on a opté d’emblée pour le gratuit. « Le but était de développer la marque et de lui fournir un maximum de contacts, explique Bertrand Gié, directeur des nouveaux médias du Groupe Figaro. Par contre, nous envisageons à terme d’y intégrer quelques services payants ».

Mais outre l’apport financier que peuvent constituer les achats à l’acte ou les téléchargements d’applis payantes pour les éditeurs, l’aspect commercialisation publicitaire n’est évidemment pas à négliger. « Comme le phénomène des applications va se développer chez tous les fournisseurs, la question de sa commercialisation se pose forcément », juge Emmanuel Vacher directeur marketing et commercialisation des activités numériques de Lagardère Active. Surtout, « pour l’annonceur, comme pour l’éditeur, l’application est de fait un rendez-vous avec le consommateur ». Ainsi, chez Lagardère Active qui a lancé onze applications, dont cinq émanant de marques de presse, le chiffre d’affaires généré par l’ensemble pourrait bien en 2010 « être à sept chiffres », analyse Emmanuel Vacher qui prépare les applis « Paris Match » et Europe 1 pour le début 2010.
« De fait, ce marché a un véritable potentiel. Et ce pour deux raisons majeures, note Dimitri Dautel. D’abord, parce que la marge générée peut être assez rapidement significative pour rentabiliser par exemple d’autres activités numériques et ensuite car la cible des possesseurs d’iPhone est très intéressante publicitairement parlant ». D’ailleurs, le CPM s’en ressent puisqu’il est - selon nos informations – de 15 euros nets en moyenne pour les applications. Avec un autre avantage : le contact direct et rare puisque une seule pub par page consultée est présente au sein de la majorité des applications de presse.
Finalement, à travers ce nouvel Eldorado, les éditeurs de presse tentent de récupérer l’argent perdu sur le web. Avec l’apparition réelle de ce nouveau marché, ils sont animés par deux convictions fortes les poussant à ne pas réitérer les erreurs passées: renforcer la valeur de leur marque et trouver un modèle économique. Salutaire. Pourtant, la profession n’a pas réussi uniformiser son discours sur le modèle économique de ses applications. Dommage.

David Medioni et Frédéric Roy
08 décembre 2009

21 juil. 2009

Débat iPhone : Application ou Web Application ?

Quelques heures après la présentation du nouvel iPhone 3 GS par Apple, retour sur un débat agitant le monde du Marketing Mobile quand on parle d’iPhone : vaut il mieux faire développer une Application, ou une WebApplication ?

Alors même qu’Apple a longuement vanté les avantages des nouvelles applications lors de la keynote d’hier , les nouveautés présentées dans le nouvel OS 3.0 vont également permettre d’aller plus loin avec les Web Applications.

Pour preuve, l’abandon par Google de son Application Latitude pour la remplacer par une Web Application (notre article), grâce à la prise en compte maintenant possible du GPS à travers le navigateur de l’iPhone.

L’article ci dessous est une version mise à jour de la tribune Bemobee publiée sur le Journal du Net .

Petit rappel des faits, si vous ne savez pas très bien quelle est la différence entre les 2 (car vous êtes entourés de conseillers qui vous vendent des applications d’office les bougres !!) :

1. Une application (le st graal du marketing mobile n’est ce pas depuis quelques mois) est un petit logiciel, sur le modèle des widgets que l’on trouvait sur ordinateur, à installer sur son iphone, après l’avoir téléchargé sur l’AppStore, le magasin en ligne d’applications d’Apple.
2. Une webapp, est un site internet parfaitement adapté à l’iPhone (oui, on peut également utiliser le terme site internet mobile, mais que voulez vous c’est moins glamour).

Présenté ainsi, on se dit rapidement que le débat va vite être clos : l’expérience offerte par une application est tellement forte que jamais, au grand jamais, nous ne saurions la retrouver avec un site internet mobile ! (la déroute du WAP est passée par là)

Et pourtant.

Il suffit de regarder la web app Gmail et l’application Gmail pour ne plus jamais toucher à l’application. Plus simple, plus rapide, plus belle, et plus fonctionnelle, la web app écrase l’application, qui peine à se mettre à niveau aussi rapidement.

Car c’est là la principale différence : alors qu’une application est développée en Objective C, une web app est basée sur le HTML (pour simplifier) des familles, au coût de développement largement moindre, et surtout, déjà utilisé sur le WEB (vous connaissez ? un petit réseau sympa)

Du coup, il est plus facile de faire des modifications sur une web app que sur une application.

En résumé,

* une application est un formidable outil de buzz, au potentiel graphique/wahoo effect très important, parfaite pour une vitrine spectaculaire de votre activité. Inconvénients : un développement onéreux dans un environnement totalement fermé et totalement contrôlé par Apple.

* une web app permet un développement rapide et souple, pour des capacités graphiques très intéressantes - une réflexion plus globale peut de plus la rendre compatible avec les 99 % de téléphones du marché restants (et surtout, les smartphones type Blackberry ou Androïd)- pour une accessibilité maximale via les outils de recherche web classique. Et qui vous permet de maîtriser totalement votre image, et de garder l’essentiel des revenus générés pour vous. Inconvénient : difficile de faire un jeu 3D en web application.

Au niveau du service (et non du divertissement, la nuance est de taille) apporté au client , bien souvent le recours aux applications est abusif.

En prenant un exemple volontairement excessif, proposer à des lecteurs d’un magazine une application au lieu d’une web application , reviendrait ( si l’on transpose l’exemple sur un ordinateur) à leur demander d’aller acheter un logiciel à installer sur leur pc pour accéder au contenu en ligne, au lieu de leur proposer de se connecter au web, tout simplement.

A vous de juger quels sont vos besoins, et surtout à quel dispositif votre cible sera-t-elle plus réceptive.

Mais force est de constater que bon nombre d’applications lancées ces derniers mois (infos ou présentation de produit) auraient pu être réalisées en Web Application.

Rédigé le 9 juin 2009
par BEEMOBEE.com

1 juil. 2009

Mobile Analytics d’Openwave® permet aux opérateurs de gérer et de surveiller le trafic Internet mobile pour les iPhones et autres téléphones intellige

Openwave Systems Inc. (Nasdaq: OPWV), l’un des plus grands innovateurs de logiciel au monde permettant des services personnalisés générateurs de revenus qui convergent l’expérience mobile et large bande, a annoncé aujourd'hui la sortie d’Openwave Mobile Analytics, un service qui allie l’expertise des services professionnels de la société aux riches capacités d’analyse et de production de rapports de la solution Mobile Analytics d’Openwave. Openwave Mobile Analytics comprend le module Mobile Business Intelligence (MBI), qui caractérise le trafic Internet mobile, y compris l’accès des abonnés aux URL, la durée des visites de sites web et la fréquence à laquelle les abonnés accèdent aux sites de réseautage social tels que Facebook et Twitter. Mobile Analytics comprend également le module Openwave Behavioral Targeting qui corrèle les données des caractéristiques sociodémographiques des abonnés d’un opérateur et classifie le trafic des sites web pour créer des catégories comportementales des abonnés qui sont alors utilisées pour créer des campagnes de marketing et de publicité ciblées.

Le service Openwave Mobile Analytics fonctionne de pair avec le proxy transparent d’Openwave Integra, ce qui permet aux opérateurs de surveiller, gérer et monétiser tout le trafic Internet mobile. En outre, le service Openwave Mobile Analytics aide les opérateurs à comprendre comment le trafic de réseautage social influence les revenus SMS, qui monétise le trafic smartphone et de quelle manière, et l’impact qu’exercent les plans de service données sur les taux de trafic des abonnés.

« La veille stratégique est un élément clé dans la monétisation de l’Internet mobile, » a déclaré Sean MacNeill, vice-président et directeur général de la gestion des services et des services mondiaux d’Openwave. « En comprenant mieux les tendances d’usage des données mobiles, les opérateurs peuvent identifier et livrer des services générateurs de revenus pertinents. Openwave Mobile Analytics crée une fenêtre permettant aux opérateurs d’obtenir une vue à 360 degrés de leurs abonnés, individuellement ou dans leur ensemble. Le service fournit une carte claire du contenu accédé et des audiences qui l’utilisent, des renseignements critiques qui peuvent aider les opérateurs à surveiller, gérer et monétiser l’Internet mobile. »

Le service Openwave Mobile Analytics est disponible dès maintenant par le biais des services mondiaux Openwave.

À propos d’Openwave

Openwave Systems Inc. (NASDAQ: OPWV) est une entreprise mondiale dont le siège est situé à Redwood City, en Californie. Pour de plus amples informations, veuillez consulter www.openwave.com.

Openwave et le logo Openwave sont des marques de commerce d’Openwave Systems Inc. Toutes les autres marques de commerce appartiennent à leurs propriétaires respectifs.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Contacts :

Openwave Systems Inc.
Paula Holland, +1-650-480-5640
paula.holland@openwave.com

Les avantages du marketing mobile

Le marketing mobile est le parallèle du webmarketing sur mobile. Il se décline actuellement sous quatre grandes formes : les SMS-MMS publicitaires, le Bluetooth marketing, les codes-barres 2D et le marketing géolocalisé. Encore peu connu mais attractif et peu coûteux, le marketing mobile est en première ligne pour faire du cross média. Ce dernier consiste à conjuguer les différentes formes de publicités et ainsi de pouvoir facilement faire le lien. Par exemple, l'acheteur en supermarché peut, en passant près d'un stand, recevoir un message sur son terminal mobile lui permettant d'aller sur le site mobile de l'enseigne et de recevoir un code de réduction...

Le marketing mobile offre aux annonceurs un puissant support de communication grâce à ces quelques atouts. Tout d'abord, comme nous le disions dans l'introduction, le taux de pénétration du mobile, avec ces 87,6 %, est le plus élevé de tous les supports électroniques. L'Association Française du Multimédia Mobile (AFMM) les résume sous 5 initiales : les 5P.
Les 5P du Marketing Mobile

Puissant : Grâce à l'avancée de l'Internet Mobile, le consommateur reste disponible à tout moment. C'est justement sur ce point que le mobile est intéressant. La géolocalisation permet de réaliser des campagnes très pertinentes car parfaitement ciblées. En fonction du lieu, de l'heure ou du mode de vie, les messages peuvent être différents.

Pertinent : Les terminaux mobiles nous offrent aussi une accessibilité et une communication immédiate avec le prospect. Grâce à cet avantage, les messages peuvent être encore mieux personnalisés afin de favoriser le taux de transformation.

Personnel : Le terminal mobile est l'objet de communication le plus proche des Français dû en partie à cette « mobile dépendance » que nous avons évoquée dans l'introduction. L'avantage de cette proximité est donc de pouvoir être sûr de joindre le mobinaute en temps réel.

Profitable : Par rapport à des campagnes radios ou télés, la mise en place d'une campagne de marketing mobile est plus rapide et moins coûteuse car les bases de consommateurs se créent au fur et à mesure par l'annonceur.

Polyvalent : Le mobile n'est pas un objet comme les autres. En effet, en plus de sa fonction basique, à savoir téléphoner, les utilisateurs s'en servent pour de nombreuses fonctions supplémentaires qui peuvent servir pour réaliser des campagnes de marketing mobile. Par exemple, l'envoi d'un jeu au nom de l'annonceur, des dates d'ouverture ou de lancement mis directement dans l'agenda du mobinaute...

Ces 5P constituent, aujourd'hui, tout ce que les annonceurs demandent de posséder dans le but d'améliorer qualitativement leurs relations clients.

Ces 5P peuvent, par conséquent, remplir tous les objectifs du marketing et rendre l'Internet Mobile plus puissant que l'Internet fixe. En effet, grâce à l'Internet Mobile tous les objectifs marketing peuvent être atteints, à savoir :
Les objectifs marketing atteints par le mobile

* Séduire une nouvelle audience qui ne visite jamais les sites web classiques. Cela peut sembler opportuniste mais le nombre de terminaux mobiles dans le monde dépasse largement le nombre d'ordinateurs et donc d'internautes.
* Améliorer la relation client par de nouvelles formes d'interactions grâce aux applications mobiles.
* Dé-ringardiser une marque
* Créer du trafic dans les points de vente

Avant de relater les différents outils de marketing mobile, il est important de préciser que les règles juridiques sont très strictes concernant la réception de données sur mobile. Bien que les consommateurs restent perplexes quant à ces différentes dispositions, la constitution et la qualification de base de données sont régies par un opt-in très rigoureux. Toutes ces règles vont dans le sens de la protection du consommateur et par conséquent implicitement la démocratisation des campagnes de marketing mobile.

24 juin 2009

Le CRM mobile s'impose dans les entreprises françaises

Les applications mobiles de relation client trouvent leur place dans les smartphones. Et la crise pousse les entreprises à déployer ce type de solution métier qui améliore les cycles de vente et la productivité. Mais il s'agit de bien préparer le terrain.

51% des entreprises européennes estiment qu'elles ont raté des opportunités à cause du manque d'outils CRM mobile (relation client). Ce résultat, issu d'une étude menée par Forrester pour le compte de RIM, illustre l'importance croissante de ce type de solution au sein des entreprises.

Les bénéfices des outils de relation client sont bien connus (amélioration de la productivité, hausse du volume des ventes, réduction des coûts, amélioration de la satisfaction client). Et ils sont amplifiés en situation de mobilité puisque les forces de vente peuvent les exploiter en temps réel.

Avantage compétitif

"L'accès à l'information client est déterminante pour conclure une affaire", explique Christophe Lefort, responsable des relations avec les opérateurs de RIM, le fabricant du BlackBerry, lors d'une table ronde organisée sur la question.

"L'accès en temps réel à l'information constitue un avantage compétitif de taille", renchérit Patrick Reboul, directeur des opérations de Sage dont 50 commerciaux ont été équipés d'une solution mobile dédiée. "La connaissance du client en temps réel est un bénéfice incontestable du CRM mobile", ajoute Thomas Husson, senior analyst pour Forrester.

Avec des smartphones et des réseaux haut débit sans fil qui supportent de mieux en mieux ce type d'application, le CRM mobile commence donc à s'imposer dans les entreprises. Ainsi, toujours selon l'étude de Forrester (1000 personnes dans cinq pays), 58% des entreprises interrogées estiment "important ou très important" de 'mobiliser' le CRM.

D'ailleurs, 49% des entreprises françaises interrogées ont déjà déployé ce type de solution (contre 41% en Europe). Pour autant, les déploiements concernent d'abord les grands comptes, les entreprises de moins de 500 salariés n'étant que 33% à déclarer avoir mis en place un projet CRM mobile.

ROI en 8 semaines

Il faut également dire que le contexte économique difficile pousse les entreprises, à la recherche de leviers pour réduire leurs coûts, à accélérer leurs décisions en la matière. Et le ROI du CRM mobile est rapide : entre 4 et 8 semaines avance Forrester. "La crise renforce le besoin de proximité avec le client", souligne Claude Cordier, directeur marketing de Sage qui propose un package CRM mobile avec RIM et SFR.

Pour autant, l'étude met également en avant certaines inquiétudes. Les coûts associés effraient 71% des entreprises qui envisagent de déployer une solution. 40% des sondés estiment par ailleurs manquer de compétences internes suffisantes pour assurer le support. Et une majorité pointe les problèmes liés à la sécurité des données.

"D'où l'importance du travail en amont à réaliser, des actions de formation, de l'accompagnement", souligne Thomas Husson de Forrester. Des conseils qui s'appliquent à n'importe quel projet d'application métier mobile.

Et visiblement, c'est l'aspect humain qui demande le plus de travail.

"La principale difficulté n'a pas résidé dans le déploiement du projet, ça a pris 15 jours, ni dans le ROI, il a été quasiment instantané, mais dans l'adoption de nos commerciaux" explique Xavier Vallée, DSI du groupe Akeyris, un promoteur immobilier.

Après avoir déployé une solution permettant notamment de pusher les rendez-vous des vendeurs et d'accéder au stock des locaux vacants, l'entreprise a observé une certaine méfiance de la part des utilisateurs.

Aspect humain crucial

"Certains ont assez vite compris l'intérêt de la chose en termes de potentiel sur les ventes et donc sur leurs commissions. D'autres, environ 30%, ont considéré l'outil comme de la surveillance. La conduite du changement est cruciale car certains professionnels sont hostiles aux sauts technologiques. Il faut donc y aller en douceur", explique-t-il.

L'objectif d'une entreprise est donc de prouver que ce qui peut apparaître comme un outil de monitoring peut être perçu comme un outil de création de valeur. Un constat partagé par Patrick Reboul de Sage. "Il faut accompagner les collaborateurs qui très vite le côté intrusion dans la vie privée de ces outils".

Autre écueil largement commenté lors de cette table ronde : le choix du terminal. Smartphone, PDA, netbook voire laptop connectés en 3G : la décision est souvent un casse-tête. "Le nombre d'équipements explose, cela dépend vraiment des applications à mettre en oeuvre, des objectifs. Certains se focaliseront sur la taille du terminal ou son ergonomie, d'autres auront besoin de plus de fonctions. Le but étant d'éviter les double usages", souligne Thomas Husson de Forrester.

Reste que les bénéfices semblent être au rendez-vous puisque 65% des entreprises françaises se disent prêtes à recommander ce type de solution.

merci à Olivier Chicheportiche
businessMOBILE.fr le 23 juin 2009

19 juin 2009

L'internet des objets

Il y a déja quelque moi je lisais un article dans un quotidien qui evoquait l'apparition d'une nouvelle tendance qu'ils ont appelé L'internet des objets, naturellement ils ont parlé du fameuw naztzabag ce petit lapin dont l'interet est plus de satisfaire les geek que de réellement apporté un V.A (enfin à mon sens) Cependat la société VIOLET concetrice de ce lapin intelligent à ouvert la porte au monde de l'ubiquité de l'internet. EN effet , l'internet des objets est en marche voyons qu'est ce c'est , ce que ça peut vous apporter et enfin la capacité d'adhésion des utilisateurs.



comme un shéma vaut mieux qu'un long discours. Ce dernier montre l'evolution de l'internet des objets.

mais concretement qu'est ce c'est ?

Il s'agit d'objets ayant des identités et des personnalités virtuelles, opérant dans des espaces intelligents et utilisant des interfaces intelligentes pour se connecter et communiquer au sein de contextes d’usages variés

Mais encore: un réseau de réseaux qui permet, via des systèmes d’identification électronique normalisés et unifiés, et des dispositifs mobiles sans fil, d'identifier directement et sans ambiguïté des entités numériques et des objets physiques et ainsi de pouvoir récupérer, stocker, transférer et traiter, sans discontinuité entre les mondes physiques et virtuels, les données s’y rattachant


A quoi ça sert ?


Cela peut servir via un dispositif tel que la RFID à détecter des produits périmés dans le réfrigérateur et ainsi assurer automatiquement le lancement d’une nouvelle commande auprès du distributeur.

Les éditeurs des guides Lonely Planet distribuent des flèches jaunes avec un de leurs guides et encouragent les voyageurs à laisser des étiquettes de leurs histoires et commentaires partout où ils vont.

Siemens voit son système d'étiquetage virtuel être utilisé pour étiqueter les emplacements touristiques, et ainsi laisser des messages pour des amis. Siemens propose également que des étiquettes virtuelles puissent être employées pour lier des annonces (p.ex. publicitaires) avec des lieux. Geominder offre également un service d'étiquetage virtuel.

vous l'aurez compris l'internet des objets sert à rendre des objets sans vie " intelligents"

« Nombre des objets connectés à l'Internet fixe ou mobile sauront où ils se trouvent, d'un point de vue à la fois géographique et logique... Une fois activés, les objets découvriront tout naturellement les autres appareils situés à proximité... Si vous le souhaitez, votre téléphone portable se souviendra des endroits où vous vous êtes rendu et gardera la trace des objets dotés d'une étiquette RFID, tels que votre porte-documents, vos clés de voiture et vos lunettes. Vous n'aurez qu'à demander : « Où sont mes lunettes ? » Votre téléphone portable ou votre ordinateur vous répondront alors « La dernière fois que le système RFID les a repérées, vous vous trouviez dans le salon. »



en savoir plus:
un blog consacré à l'internet des objets:http//www.i-o-t.org/
mais également un rapport tres détaillé que vous trouverez sur le liens ci dessous.

27 avr. 2009

MobiLead optimise l'engagement de la marque en augmentant les points d'accès au contenu en ligne

Les professionnels du marketing vont bénéficier des dernières technologies pour
relier les objets et les produits aux marques à travers « l’Internet des Objets » !

Paris le 27 avril, mobiLead, fournisseur mondial de solutions marketing, annonce aujourd’hui la disponibilité de ses solutions présentées l’occasion du WIMA 2009 qui s’est déroulé du 22 au 24 avril. Ces solutions sont destinées à mettre en relation les entreprises avec les utilisateurs, les consommateurs ou les patients, via les objets, grâce aux systèmes d’identification par lecture optique ou radiofréquence NFC. Pour les utilisateurs, cette solution fonctionne comme une clé d’accès universelle aux informations de la marque. Pour les professionnels du marketing, il s’agit d’une solution permettant d’augmenter les moyens d’interaction avec les utilisateurs.

mobiLead à conçu un service interactif unique en intégrant sur une même plateforme un ensemble de technologies différentes et complémentaires : codes à lecture optique, identificateurs et liens radio NFC. Cette solution innovante fournit aux consommateurs un maximum de canaux pour accéder aux informations relatives à un produit ou une marque, à travers les objets. La solution s’inscrit dans l’« Internet des Objets » en permettant d’identifier, de gérer et de fournir des informations disponibles en ligne et relatives à chaque objet individualisé.

« L’avenir de la communication sera dirigé par les utilisateurs désireux de recevoir des informations actualisées sur les produits et les marques à partir des objets eux-mêmes. Le succès de cette approche repose sur un accès simplifié, non intrusif et contextuel aux services et aux contenus disponibles en ligne. L’accélération du développement de l’« Internet des objets », réside dans la manière de gérer les identificateurs d’objets et l’accès au contenu de façon cohérente, que ce soit à son domicile depuis son ordinateur, en déplacement depuis son téléphone portable ou son assistant personnel connecté, ou sur un lieu de vente. Pour mobiLead, la maîtrise de la résolution de ces problématiques est notre priorité. », affirme Laurent Tonnelier, co-fondateur de mobiLead.

Conçues en partenariat avec Paragon Id, des cartes de fidélités nouvelle génération NFC mobiLead sont disponibles sur simple demande. Une démonstration de l’accès simplifié et unifié au contenu en ligne via la lecture de codes optiques (EAN/UPC, Datamatrix ou, QR-Code) et de la lecture radiofréquence NFC (Violet mir:ror, Alcatel-Lucent Touchatag, Airtag, Nokia 6212 Classic) seront possible à partir du 4 mai prochain.

À propos de mobiLead
mobiLead a été créé en avril 2008 par Laurent Tonnelier (précédent Responsable produits pour Oracle Corporation – Division Mobiles et Solutions Embarquées) et par Ludovic Lebas (précédent Architecte logiciels pour Oracle France – Division Nouvelles Technologies). mobiLead est membre du Programme Partenaires de GS1 France et membre du groupe de travail Commerce Mobile et Packaging Etendu de GS1 Global. mobiLead est membre du Forum Nokia Developer Program.

17 févr. 2009

What’s a Mobile Mashup?

At Mashup Camp 2006 I hosted a session on Mobile Mashups. The attendance was very high and the discussions were very good. There were, however, some serious misconceptions about what a mobile mashup was, how it gets consumed by the user, and what tools you can use to develop them.

Misconception #1. What is a Mashup?
Mashup is a very general term for an application that incorporates realtime data and services (APIs) from 3rd party sources over the Internet. A Mashup is often very focused and task oriented. Due to the overwhelming popularity of Google’s Mapping API, many of the Mashups at the camp in some way leveraged mapping as an element of their mashup. Mapping, however, is NOT a requirement for a Mashup.

Misconception #2. Mashups are always browser applications
This was by far the biggest misconception at the event. Although the browser is the most accessible platform for developing and distributing a Mashup it is by no means the only platform, and arguably not always the most appropriate from an end-user perspective. mWorks, for example, provides a platform for creating mashups that run as an application on your mobile phone, Apple Widgets and Yahoo! Konfabulator both provide a platform for creating a mashups that run as Widgets on your desktop, and the list goes on. The important thing to remember about a Mashup is that it is an application that leverages realtime data and / or services accessed over the Internet. The delivery mechanism for the Mashup is completely independent. In fact, many mashups are available in mobile, widget, and browser versions.

Misconception #3. Mobile Mashups are not as useful as Mashups that run on the desktop
The notion that a Mashup can only be valuable on the Desktop is silly. In fact many of the mashups that are available would be better served by running on mobile phones because they present information that is more relevant when you are NOT near a computer.

Misconception #4. The mobile browser is the only platform “open” to the developer
I think that many in attendance were surprised to find out that you could create a mashup using SMS and Java in addition to the browser on a device. The unfortunate truths about both SMS and Java is that they are not that easy to use … but thats what mWorks is for!

Misconception #5. Well, is it a Mobile Mashup or Not?
The truth of the matter is that Mobile can just as easily be an aspect to a larger mashup that has a desktop aspect to the experience as well as a mobile. SMS is ideal for sending notification which may be best setup and configured via the Web. Conversely, some information that is also available on the browser may be ideally suited for the device because the data is more relevant while away from the computer. And finally, some mashups benefit from enabling a user to contribute information while away from their computers but consume the information while at the desktop (think photo uploads).
http://www.mobuser.com/

visitez ce site c'est vraiment très intéressant
http://www.mashupcamp.com/wiki/index.php/Main_Page

Un business model pas tres clair ?

Brozengo lève 500 000 euros pour renforcer sa force commerciale
Le moteur de recherche des bonnes affaires locales, lancé en juin, vient de lever 500 000 euros auprès d'investisseurs privés. Il veut référencer 200 000 marchands physiques d'ici la fin de l'année.


Trois mois après avoir ouvert son service, Brozengo vient de boucler un tour de table d'amorçage de 500 000 euros auprès de business angels et d'investisseurs privés. Lancé en juin dernier, ce moteur de recherche des bonnes affaires locales veut désormais profiter de cette levée de fonds pour croître rapidement et s'imposer sur le marché du référencement des bons plans des commerces de proximité (lire Guidedespromos et Brozengo mettent le commerce offline sur le Web, du 24/06/08).

Brozengo veut devenir la vitrine Web des magasins physiques. Fonctionnant sur le principe d'un moteur de recherche géolocalisé, il permet de trouver les différents commerçants proposant un produit donné dans un rayon de cinq kilomètres autour du lieu de connexion de l'internaute. Le service référence aussi bien les petits commerçants que les franchisés ou les grosses enseignes.

Aux commerçants, Brozengo vend de la visibilité auprès d'une cible qualifiée d'internautes résidant près de leur point de vente, à la manière des prospectus, catalogues ou journaux gratuits. Selon son PDG, Grégory Ogorek, 58 % des internautes français surfent sur Internet en vue d'un achat en magasin physique. Le site se rémunère au coût par clic (variable en fonction du nombre de clics) et propose également une offre forfaitaire, davantage adaptée aux petits commerçants soucieux de garder des coûts fixes.

Le tour de table que vient de boucler Brozengo doit lui permettre de renforcer de sa force commerciale. L'entreprise veut étoffer son équipe de commerciaux de terrain ainsi que son centre d'appel pour recruter de nouveaux commerçants. Une équipe commerciale dédiée aux "grands comptes" sera tout spécialement chargée de démarcher les grandes enseignes. "Au début du mois de juin, nous comptions 80 000 commerces référencés, assure Grégory Ogorek. D'ici la fin du mois de septembre nous aurons passé le cap des 100 000 vendeurs."

A travers le nombre de vendeurs, Brozengo cherche également à augmenter le nombre de produits proposés sur sa plate-forme. Lors du lancement du service, 2 000 références étaient disponibles. Grégory Ogorek en revendique désormais près de 10 000. "Le nombre de produits référencés constitue une priorité, car si l'internaute ne trouve pas celui qu'il recherche, il ne reviendra pas", note le fondateur de Brozengo.

En parallèle, Brozengo veut développer d'autres services, comme la création de pages d'accueil propres à certaines villes. 160 pages d'accueil dédiées à autant de villes de plus de 30 000 habitants sont en cours de développement. Le site veut également développer une offre de location de bases de données pour permettre à ses clients-commerçants de diversifier leurs leviers marketing.

En savoir plus


* Société : Brozengo
* Carnet : Grégory Ogorek


Depuis son lancement, Brozengo revendique un trafic cumulé de 40 000 visiteurs uniques. Son fondateur se fixe un objectif de 300 000 visiteurs uniques mensuels d'ici avril 2009, dont 20 % d'internautes inscrits. Pour cela, le site compte communiquer, mais pas avant d'avoir atteint une taille critique en termes de vendeurs et produits référencés. Grégory Ogorek se donne jusqu'à la fin de l'année pour tripler le nombre de produits disponibles et doubler le nombre de vendeurs recensés.

BROZENGO : PROMOTION SUR MOBILE

Une stratégie pull and act!

Le moteur de recheche shopping en mode géolocalisés.
gagnez du temps et de l'argent !

CE service dépend princialement du contenu fournit ? LEs grandes enseignes sont elles pretes , je le pense, pouvoir mener des actions commerciales ciblés en controle temps réel des flux de marchandise.

UNE tres bonne idée , vraiment à developper. avis a tous les investisseurs!
Et aux ménagères!!!

Il reste à developper les cibles...

IPOKI:la video du service



A vos mobiles !!!

Ipoki - Localisation Mobile Sociale 14 avril 2008

Ipoki.j'adore vraiment ce service.

Ipoki est une application embarquée sur un Smatphone ou un PDA connecté et disposant d'un GPS. Elle vous permet de suivre les déplacement en temps réel de vos amis grâce à un mashup Google Maps.

Lorsque vous vous déplacer l'application transmet en temps réel votre localisation au serveur qui se charge de l'afficher et de la partager à qui de droit. Assez impressionnant question effet visuel : vous voyez le curseur se déplacer sur votre écran sans rien faire avec un fond de carte ou une photo aérienne comme sur la photo ci-contre.

J'ai essayé sur un Nokia N95, hyper simple d'installation et d'utilisation, un effet waouhh assez extraordinaire le plus long c'est finalement d'attendre que le mobile trouve les satellites. En plus vous avez la possibilité de coller la carte dynamique sur votre Blog ou sur votre site Web. Vous y trouverez quelques services et outils sympas d'alertes liés à la localisation d'autres utilisateurs. Vous pouvez exposer votre localisation à tout le monde ou la rendre privée, à vous de choisir.

Pour information sur un Nokia N95 avec une batterie quasi neuve un envoi de coordonnée GPS par le réseau toutes les 20 secondes durera environ 4h15 minutes avant la mort de la batterie.

Pourvu que Google n'investisse pas dans des satellites sinon on va pouvoir vous suivre et vous regarder en temps réel du ciel !!! Je suis sûr qu'ils y ont pensé !!! Laissons leur...combien...8/10 ans ?!

on parlait du nuviphone. prochaine géneration ?


Garmin lance le Nüvifone goût pomme

Garmin NüvifoneGarmin se prépare à lancer un appareil ressemblant fortement à l’iPhone d’Apple. Le Nüvifone est effectivement un téléphone disposant d’un grand écran tactile de 3,5 pouces. Garmin promet une navigation sur internet similaire à ce qui se fait sur PC via le WiFi et un navigateur complet. Mais ce quadribande va nettement plus loin puisqu’il intègre une puce GPS et une connectivité quadribande HSDPA.

Un objectif phtographique est intégré. Il géolocalise les clichés réalisés, ce qui permet d’exploiter le service Google Panoramio. Dans l’autre sens, il est possible de chercher des photos proche de sa position.

Bien entendu, l’activité principale de Garmin étant la localisation GPS, le Nüvifone comporte l’ensemble des fonctionnalités d’un appareil de navigation mobile classique. Par exemple, les points d’intérêts sont automatiquement mis à jour via Garmin Online.

Le Nüvifone sera disponible en automne. Son prix n’a pas été communiqué.

16 févr. 2009

Les services mobiles, stars du Mobile World Congress 2009

Les services mobiles, stars du Mobile World Congress 2009

Lundi 16 février 2009, 14h53

Le plus important rassemblement des professionnels de la téléphonie mobile s'ouvre à Barcelone sur fond de crise et de bouleversement du marché.

"Malgré la récession économique, les consommateurs ont l'intention d'augmenter fortement leur utilisation des services multimédias" sur mobile. Voilà de quoi rassurer équipementiers, opérateurs, fabricants et acteurs de la téléphonie mobile, alors que s'est ouvert lundi 16 janvier le Mobile World Congress, le plus important rassemblement des professionnels du secteur.

Selon une étude réalisée par Nielsen pour l'équipementier américain Tellabs, "plus de la moitié des utilisateurs actuels de multimédia mobile (58 % aux Etats-Unis, 55 % en Europe, ndlr.) augmenteront leur consommation dans les deux prochaines années". Parmi ceux qui ne l'utilisent pas encore, "l'intention de s'y mettre est en moyenne de 25 % sur les différents services étudiés", note Nielsen.

Pas étonnant donc, que l'arrivée de nouveaux acteurs issus de l'informatique ou de l'Internet comme Google ou Apple bouleverse quelque peu le marché. Ils ne sont pas les seuls à avoir pris conscience de l'opportunité que représente la convergence entre Web et mobile. Les fabricants d'ordinateurs vont aussi faire leur entrée sur le marché du smartphone, comme Asustek, Acer ou Dell.

Côté services, la mode est aux places de marché des applications mobiles. Après l'App Store d'Apple, qui a popularisé le concept, Google et Microsoft ont lancé leur propre plate-forme de téléchargement d'applications conçues pour leur système d'exploitation respectifs (Android ou Windows Mobile). Dernier en date, le scandinave Nokia, propriétaire de l'OS Symbian, qui a justement annoncé qu'il lancerai en mai sa propre place de marché, Ovi Store, dotée notamment de services géolocalisés.