MOBI-GEEK où l'information devient utile pour le marketer mobile

Blog traitant de marketing mobile, évoquant l'écosystème mobile , relayant l'information sur le marketing mobile , ses leviers , ses innovations et les diffèrents services mobiles.

Traite désormais de l'affiliation mobile, de la monétisation de trafic internet mobile.

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14 juin 2010

Les chiffres de l'Internet Mobile français à mars 2010

mobilité GroupM et SFR Régie viennent de publier la seconde édition de l'observatoire de l'Internet Mobile issue d'une étude réalisée auprès d'un échantillon représentatif de la population française de 16 à 65 ans.

Les éléments que je retiens :

* Le mobile devient un "outil média" au quotidien
o des terminaux de plus en plus connectés : voix, sms, musique, vidéo et navigateur HTML
o des usages liés aux équipements: 56% des français possèdent un mobile permettant de se connecter à Internet, 18% un Smartphone, 42% à un abonnement Internet dont 75% possédant un Smartphone et 23% se connectent hebdomadairement à l'internet dont 72% ont un Smartphone
o 45% des possesseurs de mobiles ont changé de terminal au cours de 12 derniers mois dont 50% pour s'équiper de nouvelles fonctionnalités
o 22,3 millions des 16-65 ans possèdent un téléphone capable de se connecter à Internet
o Forte percée des spécialistes du Smartphone Apple, HTC et Blackberry qui représentent 10% des équipements mobiles
o +62 % de progression des options Internet sur 1 an
o L'Internet mobile est devenu le 3ème usage au quotidien après téléphoner et échanger des sms
* L'essor des Smartphones contribue à la croissance des usages
o Des possesseurs plutôt masculins et CSP+
o Une fréquence de connexion plus élevée
o 55% des mobinautes utilisent des services de géo-localisation
o 84% des possesseurs de Smartphone disposent d'au moins une application : Facebook en tête des applications utilisées
* La consommation du média mobile est complémentaire avec les autres médias
o Une consommation complémentaire et simultanée aux médias de flux
o Des mobinautes hyper consommateurs de médias traditionnels
o Des mobinautes en demande d'informations commerciales adaptées au contexte et géo-localisées
o Un levier puissant au service des marques : un média d'exposition et d'interaction

22 déc. 2009

Pub mobile : SFR croque une partie de Sofialys et se lance dans les adservers

SFR a lancé en juin dernier sa propre régie publicitaire mobile. L'objectif est désormais de rentabiliser les près de 35 millions de pages vues avec publicités affichées chaque mois sur le portail Vodafone Live, véritable porte d'entrée de tous les mobiles et Smartphones commercialisés avec un abonnement associé auprès de l'opérateur.

Mais si les grands noms du secteur sont SmartAdServer, DoubleClick ou 24/7 RealMedia pour l'internet fixe, la situation est nettement plus ambiguë s'agissant des adservers pour mobiles. En effet, c'est une petite dizaine de sociétés qui tentent actuellement par tous les moyens de devenir l'un des leaders du secteur, fusion et acquisition par des grands groupes à l'appui. En effet, il est possible de citer entre autre ScreenTonic (racheté par Microsoft), Yahoo! Mobile Publisher, Third Screen Media (racheté par AOL), Nokia Ad Service, CellCast ou encore Sofialys.

Et c'est ce dernier acteur qui nous intéresse aujourd'hui, notamment depuis une récente prise de participation (minoritaire) dans le groupe par « SFR Développement » et l'utilisation exclusive et logique de l'adserver par SFR. Cet outil permet en effet de bénéficier de statistiques en temps réel et d'être intégré dans le SI de l'opérateur. « nous avons choisi l'adserver Sofialys après l'avoir mis à l'épreuve durant plusieurs mois. Nous pouvons aujourd'hui confirmer ses performances sur tous les formats du marketing mobile », a ajouté Patricia Levy, directrice de la Régie SFR.

La plateforme Sofialys gère aujourd'hui plus de 1000 emplacements par mois. La société gère le service Promoslive de SFR depuis sa création en 2004 qui réunit 800 000 clients SFR en opt in. Sofialys a enfin conçu les services mobiles de Marmara, Budget, Gemey Maybelline, du Groupe Pierre et Vacances, du 118 000.

16 déc. 2009

How to track mobile phone users with Google Analytics

Designing a web site for a mobile audience with a 3 inch screen and potentially slower data connection is clearly very different from other users. Therefore studying this segment of visitors can have important implications for your web development.

Visits from older generations of Internet enabled mobile phones cannot be tracked by web analytics tools that use page tags – including Google Analytics – as they do not execute JavaScript or cookies. The traditional solution to this was to use a Log analyzer such as Urchin. However the lack of cookie and JavaScript support was precisely the reason so few people used their phone for web access. In many cases sites just failed to work, so tracking the few mobile visitors out there was never a priority – until now.

The newer generation of Smartphones (iPhone, Blackberry etc.) have driven the recent proliferation of web usage via mobile devices by supporting cookies and JavaScript. Therefore visitors accessing your site from a Smartphone can now be tracked – in the exact same way as a desktop or laptop user.

Mobile Web audience statistics

* Mobile web browsing as a proportion of total web browsing is currently very small at 0.72 percent, though growing. [NetMarketingShare via Econsultancy.com blog, March 2009]

* US Smartphone users spent an average of 4.6 hours per month on mobile Internet sites. [M:Metrics via Marketing Charts, May 2008]

* In the US, 63.2m people used their mobiles to find news and information in January 2009, more than double that of January 2008. [comScore, March 2009]

* Of 182 million people in China with Web-enabled mobile phones, 102 million (56 percent) use the devices to connect to the Web. [Netpop Research via Clickz, April 2009]

How to track mobile visitors

As stated, by default Smartphone mobile visitors are tracked just as any other visitor to your website – you don’t have to do anything! However, the caveat is that these are a relatively small proportion of traffic, so are be buried deep in your reports.

In order to bubble these up to the top, you need to create an advanced segment. (If this means nothing to you, take a look at the advanced segment article on the GA Help Centre). The Figure below shows how to create an advanced segment in Google Analytics to highlight your mobile visitors. It detects either the visitor’s operating system or browser type and matches it against a known lookup list. Just as for profile filters, it uses the regular expression pipe character “|” to separate multiple possible matches for the same metric or dimension.

mobile-adv-segment.jpg

Figure 1 – custom segment to highlight mobile phone visits

Expanded from screenshot: OS and Browser type match:

android|black|HTC|iphone|ipod|lg|nokia|palm|samsung|sony|symbian|vodafone|treo|xda|netfront

Copy & paste this line into the two value fields (Browser and Operating System) for your advanced segment.

The same lookup list is used for both operating system and browser type fields as not all Smartphones set these logically. For example, many do not broadcast their operating system name when viewing websites, while others identify their browsers as regular types e.g. Safari (Symbian, Andriod), which cannot be distinguished from ordinary desktop or laptop users. The use of both fields combined with an “or” statement therefore ensures you capture most mobile visitors.

With your Advanced Segment define, you can then view mobile visits at a click as the following screenshot shows.

mobile visitors

Note: The mobile lookup list for the advanced segment example was compiled by analyzing the browser and operating system combinations of over 10 million visits during July-August 2009 from five independent websites. These were publisher websites i.e. those most likely to receive mobile visitors with a targeted audience of US (1), UK (2) and Swedish (2) visitors.

Goojet et FrancePari s'allient pour proposer des paris sur mobile

marketing mobile et application mobile : perspectives, l'avenir est au pari en ligne

Goojet et FrancePari viennent d'officialiser leur partenariat dans le domaine des paris sportifs.
Depuis quelques jours, les utilisateurs de Goojet ont accès, via le Goojet Sportnco, à une version optimisée pour l'Internet mobile de Sportnco, le site de paris édité par FrancePari.

Goojet est un portail pour l'Internet mobile qui compterait plus de 500 000 utilisateurs.
Les deux sociétés souhaitent anticiper l'ouverture prochaine du marché des paris en ligne en France, ainsi que la montée en puissance attendue de l'usage de l'Internet mobile, notamment pour les paris effectués pendant les événements sportifs.

04/12/2009

marketing mobile : des signes de faiblesses : OneMedia : liquidée !

OneMedia : liquidée !

Fin de parcours pour OneMedia, une société introduite sur le Marché Libre en juillet 2008, qui a été liquidée par le Tribunal de Commerce. Les actions seront radiées d'Euronext Paris demain 15 décembre. La société avait été introduite en Bourse par Europe Finance et Industrie, société elle-même liquidée cette année.

OneMedia avait fait son apparition peu avant The Mighty Troglodytes, petit éditeur de jeux vidéo introduit par EFI et liquidé aussi fin 2008. Les deux sociétés étaient implantées à Strasbourg et avaient le même directeur administratif et financier !

Lors de sa mise en bourse, OneMedia avait été valorisée 7,5 ME! Le cours d'introduction avait en effet été établi à 6,74 Euros. Le dernier cours coté était de 0,22 Euro.

La société se disait spécialisée dans le "marketing mobile Bluetooth de proximité" et espèrait lever 1,1 Million d'Euros auprès d'investisseurs lors de sa venue sur les marchés.

(Boursier.com) --

1 déc. 2009

Marketing mobile : une plateforme pour la visibilité des actions marketing mobile



Un nouveau site internet pour tout savoir sur le marketing mobile
L’AFMM (association française du multimédia mobile) qui regroupe les principaux acteurs et opérateurs du secteur vient de mettre en ligne son nouveau site institutionnel.

Cette nouvelle plateforme BtoB tend à présenter l’ensemble des solutions disponibles aujourd’hui sur le marché du marketing mobile et de mettre en relation annonceurs et prestataires.

Une nouvelle adresse qui peut donc s’avérer utile pour tout ceux qui s’interrogent sur cette nouvelle forme de marketing.

25 nov. 2009

Marketing mobile : comment toucher les mobinautes ?

marketing mobile : Applications, sites Internet… :
23 novembre 2009

Le mobile est sans conteste le canal de communication de l’avenir, mais les questions demeurent : est-ce une solution adaptée aux problématiques des marques ? La multiplication des stores ne risque-t-elle pas de désorienter les usagers ?

Retouver cette tribune d’expert sur le Journaldunet en cliquant ici

Le mobile est sans conteste le canal de communication de l’avenir. Forrester le prédit, 41% des français seront utilisateurs d’Internet mobile en 2014. Ses débuts ont été difficiles, voire laborieux : des interfaces pas ou mal adaptées aux mobiles, des accès à Internet trop restreints ou trop lents, des coûts élevés, des contenus limités… qui ont engendré une expérience utilisateur souvent décevante. Mais aujourd’hui, avec l’émergence des applications, l’accès aux services mobiles ne semble plus être une utopie.

Ce nouvel écosystème s’est imposé massivement grâce à l’iPhone et son désormais mythique Apple Store, mais les questions demeurent : est-ce une solution adaptée aux problématiques des marques ? Permet-elle d’ouvrir l’accès à l’Internet mobile au plus grand nombre ? La multiplication des stores ne risque-t-elle pas de désorienter les usagers ?

Une chose est sûre, le nouvel écosystème défini par les applications a remis en question les solutions de marketing mobile existantes. En bons suiveurs, les opérateurs et constructeurs du marché se sont engouffrés dans la brèche initiée par Apple pour investir à leur tour le marché des applications en créant, chacun de leur côté, leur store et leur écosystème spécifique. Mais alors, pourquoi complexifier de nouveau le marché alors qu’il trouvera son avènement grâce à la simplification ?

Les marques qui veulent aujourd’hui investir le canal mobile sont amenées à faire un choix :
# suivre le mouvement en développant une application iPhone au risque de ne toucher qu’une cible restreinte d’usagers et de se retrouver perdues au milieu d’une multitude d’applications référencées dans l’Apple Store
# concevoir une application par opérateur et par constructeur pour s’adresser à une cible plus large au risque que cela soit très long et coûteux à mettre en oeuvre
# envisager une autre solution à la place ou en complément des applications en développant tout simplement un site Internet mobile.

Revenons sur l’application iPhone qui a révolutionné l’expérience utilisateur grâce à son ergonomie. Il est vrai qu’elle s’impose comme LA voie par excellence pour offrir une bonne expérience de navigation Internet sur mobile à la fois ludique et informative. Mais comme tout réseau spécialisé, la cible adressée est limitée aux seuls heureux possesseurs de l’iPhone à savoir, d’ici la fin de l’année un peu plus de 5% du marché. Qu’en est-il des 95% restant ?
Si développer son application iPhone semble être une démarche incontournable aujourd’hui, il convient d’admettre que ce n’est pas la seule solution quand l’objectif est de toucher une population large, soit environ 58 millions d’abonnés en France.

L’autre solution évoquée serait de concevoir une application par opérateur et par constructeur afin de multiplier sa couverture. Or, pour les marques, une telle démarche engendre des contraintes sur 3 niveaux :

1. technologique : il convient de faire appel à des experts qui ont les outils permettant de développer l’application selon des écosystèmes spécifiques.
2. financier : réaliser une application pour chacun des stores lancés par les opérateurs et constructeurs sous-entend une multiplication du temps passé à les créer et donc un budget d’autant plus important
3. marketing : dans la jungle des applications, il est nécessaire que les marques soient accompagnées et conseillées afin d’évaluer l’intérêt de développer des applications en plus de leur site Internet.

L’usager, quant à lui, se retrouve aujourd’hui totalement désorienté face à la multiplication des applications et des galeries.

En tout état de cause, cette solution n’est pas la meilleure ! En effet, alors que l’internet mobile commence à rentrer dans les habitudes d’usage, la multiplication des stores et des applications pourrait entrainer l’effet inverse. Très rapidement, il deviendra compliqué de se retrouver dans cette jungle !

Les prévisions sont là aussi très parlantes. Gartner voit une bagarre acharnée entre les différents OS d’ici 2012, avec des parts de marchés sensiblement équivalentes entre Apple, Androïd, Windows Mobile et RIM, toujours menées par Symbian :

Pour faire venir les marques, il faut donc gommer ces différentiations.
Ainsi, pour toucher une cible qui soit la plus large possible sans engendrer de surcoût, un modèle unique et universel s’impose en encourageant tout simplement les marques à développer leurs sites internet mobile. Rappelons que 97,4% des recherches mondiales se font par Google. Et le réflexe d’accéder à Internet en passant par un navigateur se confirme sur le mobile.

Adapter sa présence Internet au mobile est donc le meilleur moyen d’atteindre une cible large. Décliné automatiquement sur l’ensemble des terminaux mobiles » touch screen » et non « touch screen », un site Internet mobile offre une garantie d’accès et de lecture optimisée. Cette solution peut s’avérer d’autant plus payante que l’accès au site Internet mobile se fait à partir de l’url générique du site web et offre ainsi une convergence à la Marque.

En conclusion, chaque cas est unique. Pour les marques, mieux vaut développer dans un premier temps leur site Internet mobile et, dans un second temps, de compléter leur stratégie mobile en créant une application (le plus souvent iPhone pour le moment) sur un modèle différent. Autrement dit, si l’on pousse la comparaison avec la distribution, les marques doivent être attentives à leurs stratégies de référencement pour être certaines de rencontrer leurs publics, et ce dans les meilleures conditions

24 juil. 2009

La reconnaissance vocale va révolutionner le marketing mobile ?

La reconnaissance vocale va révolutionner le marketing mobile ?
La reconnaissance vocale va révolutionner le marketing mobile, c'est ce qui ressort d'une étude de GigaOM Pro et immr. Nous allons voir un changement extraordinaire dans le mobile, comment la parole va redevenir un élément essentiel dans des dispositifs innovateurs, Google est surement l'un des premiers à avoir lancé de nombreux services : Advances in speech recognition, speech-to-text et text-to-speech

Sur Android pour les langues anglaises vous pouvez faire votre recherche en parlant à votre mobile, la technologie va redonner à la voix (formidable technologie humaine) sa place ! et Mme Michu en est heureuse, plus de clavier, ou si peut... plus de menu interminable, plus de navigation fastidieuse....

Le rapport montre qu'à ce jour, aucun OEM ou opérateur a pleinement capitalisé sur les technologies vocales pour permettre des applications fonctionnelles, faciles à utiliser, bien intégrées. Le marché du smartphone est très concurrentiel, la reconnaissance vocale pourrait être la prochaine technologie perturbatrice sur les appareils mobiles pour nous aider à différencier les constructeurs et opérateurs !

Du clavier QWERTY à l'écran tactile, qui a été une percée importante pour rendre l'interface plus intuitive et utilisable pour une plus grande partie de la population, la reconnaissance vocale apportera aussi sa pierre à l'édifice. Vlingo et SpinVox ont été parmi les premiers à permettre que la voix soit utilisée dans des services mobiles, nous avons de beaux fleuron en Europe sur ce sujet avec entre autre Acapela, lire les post ici

Apple aussi la bien compris et travaille avec Google dans ce sens, des applications devrait voir le jour très bientôt, Vocalia est aussi un bon exemple d'application avec la reconnaissance vocale


Et le marketing Mobile : plusieurs usages possibles, l'un est pour l'information sur les produits et les services, fait à base de renseignements, les consommateurs recherchent des magasins, la disponibilité des produits et des informations, s'il y a des endroits ouverts pour un ren©ous.......

Dans les requêtes sur un site Web mobile, elles sont généralement dans un format XML ce qui permet de faire usage de ces données, par exemple,en posant des questions à l'interface. La voix pourrait être donc développée davantage dans des interfaces conviviales qui leur permettent non seulement de répondre à une question, mais de fournir cette information en utilisant la synthèse de parole.

Dans la mesure où vous pouvez personnaliser l'information fondée sur la connaissance d'un individu ou d'une personne habituelle, pour les annonceurs les résultats sont susceptibles d'être supérieur : imaginer que la voix qui vous réponde dans les différentes campagnes marketing soit une voix familière ( je prend l'exemple des personnes qui font les pub à la radio pour les centres Leclerc, reconnu par des dizaines de millions de personnes)

D'autres technologies vont permettre de détecter le bruit ambiant pour déterminer l'emplacement d'un individu, les annonces et les offres peuvent être de plus en plus localisées avec plus de précision en fonction du bruit, bref l'imagination humaine est sans fin..... l'une des populations qui devrait aimer cela : les Senior bien souvent delaisser sur mobile. Source mobilemarketer.com

22 juil. 2009

marketing mobile: Recommandations pour la création

Recommandations pour la création

Enfin, la Mobile Marketing Association fait plusieurs recommandations en matière de contenu et de création publicitaire :

Compte tenu des contraintes de poids qui limitent les créations à 7 Ko pour les bannières et 15 Ko pour les interstitiels, il faut restreindre le nombre de couleurs utilisées afin de conserver la qualité graphique de la création. Dans le même ordre d'idée, on réservera les dégradés de couleurs aux bannières les plus lourdes, à savoir entre 5 et 7 Ko.

L'espace publicitaire étant restreint de par la nature de son support, il faut s'astreindre à limiter le nombre de message à un seul par création.

La lisibilité du message publicitaire dépend d'une part de la longueur du texte (deux lignes maximum) et de la typographie qui doit demeurer simple et lisible sur les plus petits formats.

Le mobinaute passe certainement encore moins de temps sur une page Web mobile que lorsqu'il se trouve bien tranquillement installé devant son ordinateur. Autant dire qu'il est inutile de dépasser les trois écrans en ce qui concerne les bannières animées.

Contrairement à ce qui se produit sur Internet avec l'intégration des habillages sur les pages d'accueil de sites, il vaut mieux, sur mobile, créer une rupture avec la charte graphique de l'éditeur afin de s'en distinguer et d'attirer l'attention du mobinaute.

L'utilisation d'un call to action du type "Cliquez pour gagner..." ou encore "Découvrez le nouveau... ici." devrait inciter plus facilement le mobinaute à cliquer sur les liens. A ce propos, l'annonceur doit apporter ici une promesse simple et claire : réduction, offre scpéciale ou exclusive, dotation, etc.

M-pub : les recommandations de la Mobile Marketing Association

Formats, poids, contenu... La Mobile Marketing Association France, qui représente plus de 70 acteurs du marché, vient de mettre à jour ses recommandations en matière de publicité sur mobile. Détails.

mesure que les services mobiles se développent - certains sont payants et d'autres monétisés grâce à la publicité - le marché de la publicité sur ce support s'étoffe lui aussi. Selon une étude mondiale menée par Informa TM, les investissements publicitaires sur mobile s'élevaient à 1,72 milliard de dollars en 2008, année qui connut un véritable essor du marché, et pourraient atteindre 12 milliards en 2013.

Rien qu'en France, et suivant les informations fournies par les régies mobiles, le Journal du Net estimait en septembre 2008 que l'inventaire du Web mobile représentait 175 à 200 millions de PAP (pages vues avec publicités) en France (lire le dossier Publicité : le mobile est-il un média performant ?, du 25/09/2008). De 20 000 à 50 000 euros en moyenne en 2007, les budgets de marketing mobile des annonceurs en 2008 dépassaient plus fréquemment les 100 000 euros, selon des professionnels du marché.

Depuis quelques années déjà, les campagnes publicitaires sur mobile ne se cantonnent plus aux envois de SMS promotionnels. Elles revêtent les mêmes caractéristiques que les campagnes sur Internet, avec quelques années de retard et certaines spécificités propres au support.

C'est pourquoi, afin de structurer l'offre du marché, la Mobile Marketing Association, qui compte en France plus de 70 membres acteurs du marché, a publié de nouvelles recommandations en matière d'usage du mobile dans les campagnes publicitaires, mettant l'accent sur les formats et contenus des publicités.
14/05/2009 - Dans le sillage de l’Iphone, Apple révolutionne le marché des applications mobiles, donnant l’opportunité aux annonceurs et aux médias d’apporter un service aux consommateurs. Un marché publicitaire se dessine.

Le 23 avril, Connor Mulcahey, un jeune adolescent du Connecticut, télécharge Bump, la milliardième application disponible sur l'App Store, le magasin d'application en ligne d'Apple. La marque à la pomme a de quoi avoir le sourire : ce milliard d'applications a été téléchargé en neuf mois seulement !

Aujourd'hui, l'App Store en propose plus de 35 000 dans 77 pays à destination des dizaines de millions d'utilisateurs d'Iphone et d'Ipod touch. Un peu partout, des développeurs imaginent de multiples programmes (jeux, services et médias). En France, les dernières applications Iphone lancées concernent le quotidien 20 Minutes, le magazine Télé poche (Mondadori) ou le jeune chanteur Slimmy (Warner Music). Certaines sont gratuites, d'autres payantes (voir les tableaux des applications les plus téléchargées).

Ces programmes mis au point par des développeurs indépendants sont commercialisés par Apple, qui ponctionne 30% des recettes perçues, le reste revenant à l'éditeur. La vente de ces applications se fait directement via Itunes, le magasin en ligne de la firme californienne.

Mais l'objectif est aussi de «fidéliser le consommateur à la marque en rendant prohibitif le changement vers un autre environnement mobile car le client perdrait alors toutes les applications téléchargées», souligne Thomas Husson, analyste chez Forrester Research.

Côté marques, l'engouement est grand vis-à-vis de ces petites applications, dont le coût de développement oscille entre 10 000 et 90 000 euros. Certains prestataires de services y sont allés d'emblée, comme Pages jaunes et la RATP.

Les marques médias poursuivent la même stratégie. Lagardère Active, par exemple, a lancé l'application Première, du nom de son magazine cinéma, en décembre 2008. «C'est un guide des horaires et des salles de cinéma les plus proches de l'endroit où vous vous trouvez via le GPS», explique Emmanuel Vacher, directeur marketing et commercialisation de Lagardère Active. Cette application gratuite, développée en interne, a été téléchargée 150 000 fois.

Toujours chez Lagardère, une application Elle à table, qui propose plus de 5 000 recettes en ligne, a également été lancée le 7 mai. Celle-ci est payante cette fois (3,99 euros). Une tendance «cuisine» que l'on retrouve déjà sur la console Nintendo DS, mais en beaucoup plus onéreux…

Vrai relais de croissance pour les fabricants

Cette vision très marketing des applications pour Iphone vient tout droit d'Apple. La marque a en effet posé l'antienne «à chaque question, une application». Pourtant, certaines fois, la firme californienne, qui valide chacune des applications, fait la fine bouche.

Ainsi, l'opérateur Orange, pourtant distributeur exclusif en France du terminal d'Apple jusqu'à il y a peu, a eu toutes les peines du monde à faire accepter son application gratuite de télévision, aujourd'hui l'une des plus téléchargées en France.

L'opérateur SFR, qui a également lancé sa TV sur Iphone, compte proposer une dizaine d'applications mobiles dans l'année, «dont l'essentiel sera gratuit», précise Jean-François Caillard, directeur de l'écosystème innovation de SFR.

Si le nombre d'utilisateurs d'Iphone est encore limité [COMBIEN EN FRANCE ?], ce terminal prouve que le mobile peut devenir un vrai relais de croissance pour les fabricants. Ceux-ci s'investissent donc tous dans la commercialisation d'applications mobiles.

En juin, Nokia lancera ainsi sa boutique, baptisée Ovistore. «Pour 2011, nous visons 300 millions d'utilisateurs et un chiffre d'affaires d'un milliard d'euros», confie Xavier des Horts, directeur de la communication de Nokia France. Le fabricant canadien RIM, lui, a mis en route son Blackberry Appworld depuis le 1er avril aux États-Unis.

On s'en doute, Google ne reste pas inactif face à ce phénomène. Via son système d'exploitation mobile Android, il se positionne, mais avec une stratégie différente, qui est de créer à terme un marché publicitaire. En sortant un Android «ouvert» aux développeurs et aux fabricants, Google a d'emblée proposé un Android Market. Mais si les téléphones équipés d'Android débarquent seulement maintenant en France, Google table sur du long terme en opérant ainsi. «Le géant du Net cherche à atteindre une masse critique de terminaux Android où les services Google seront mis en avant pour pouvoir atteindre une audience massive qui permette de monétiser à terme tout l'inventaire mobile de Google : Google Search, Google Maps, Gmail, Google Latitude ou You Tube mobile», explique Thomas Husson de Forrester Research.

Son succès sur la publicité en ligne pourrait ainsi se prolonger sur le mobile, d'autant que Google a dans son écurie la régie Double Click, qui a déjà pour partenaires les régies mobiles Admob et Millennial Media.

Monétiser par la bande passante ou la publicité

Dans ce nouvel écosystème, quelle sera la place des opérateurs mobiles ? La marque à la pomme les a déjà zappés : le paiement des applications s'effectue directement via Itunes. Du côté de Nokia, des négociations sont en cours. Ainsi, le fabricant finlandais a déjà signé un accord avec T-Mobile : les applications payantes qui seront téléchargées sur l'Ovistore seront facturées directement par l'opérateur mobile mondial.

En France, les choses paraissent plus difficiles à mettre en place. Ainsi, chez Nokia, on émet des réserves quant aux «opérateurs gourmands prêts à prélever jusqu'à 40% des revenus générés par une application». Côté opérateurs, on souligne à l'inverse «être plutôt dans des logiques de micropaiement. Une application coûtant 90 euros, c'est bien au-delà de ce qu'on veut facturer à nos clients», estime Catherine Le Drogo Ferrari, directrice marketing des offres multimédias chez Orange.

«La carte à jouer des opérateurs mobiles est plutôt dans la fourniture du réseau. Eux seuls, en effet, ont la maîtrise des tuyaux. Ils pourraient ainsi commercialiser des applications vidéo qui sont pour l'instant refusées par Apple car elles “mangent” trop de bande passante», estime Antoine Levêque, directeur général de l'agence Marvellous (Aegis).

Autre levier de monétisation : la publicité. Il est en effet tout à fait envisageable d'insérer de la publicité dans ces applications. Lagardère Publicité commence ainsi à commercialiser des espaces publicitaires sur ses propres applications. Deux formats sont mis en avant : un écran publicitaire d'ouverture qui s'affiche pendant le téléchargement des données ou des bannières traditionnelles. Le troisième stade est bien évidemment celui de l'e-commerce, notamment via Itunes.

Au rythme où se développent les applications mobiles - Apple et concurrents compris -, n'y aura-t-il pas un effet de saturation ? Comment l'utilisateur pourra s'y retrouver dans tous ces nouveaux programmes ? «Des métamoteurs vont voir le jour, à l'instar d'un “Google du mobile” qui référencera les applications mobiles», souligne Paul Amsellem, directeur général de SBW Paris. Google, via Android, pourrait alors recycler ses bonnes vieilles recettes de référencement sur le Web.

Mais, du coup, se pose la question de la visibilité de son application pour une marque. «Aujourd'hui, pour avoir une application visible, il ne faut déjà pas oublier d'ajouter à son budget, un budget de communication off-line !», rappelle Thomas Husson (Forrester Research). En effet, à moins d'être parmi les 20 premières applications téléchargées sur l'App Store, on bascule très vite dans l'oubli.

Marketing mobile :Les 5 canaux de diffusion d'une campagne de Marketing Mobile :

Les 5 canaux de diffusion d'une campagne de Marketing Mobile :

- Campagne SMS/MMS opt-in

Pour toucher directement une communauté sur mobile, en s'assurant d'avoir toujours l'accord des personnes pour recevoir un SMS et en les informant de tous coûts éventuels.

- Référencement Mobile (naturel et payant)

Pour être trouvé dans les annuaires, guides moteurs pour mobile (Google Mobile, Yahoo Mobile, Live Mobile) en référencement naturel.

Pour des campagnes de liens sponsorisés sur les supports search et réseaux sociaux mobiles.

- Widgets, contenu pour mobile et applications pour Iphone 3G

Pour proposer un service, un jeu, une application (gratuite ou payante) à télécharger directement sur son mobile.

- QR Code le code-barre du web

Les marqueurs QR Code sont des codes-barres pouvant donc être imprimés sur tous supports. Ils permettent de créer un lien vers le Web, depuis le papier ! Requiert un mobile équipé d’un appareil photo numérique.

- Bluetooth, Wifi et Marketing sans fil

Les technologies de diffusion de contenus et de connexion sans fil tels que le Bluetooth, le Wifi offrent de nouvelles possibilités de téléchargement de contenus multimédia. Requiert un mobile équipé Bluetooth, Wifi, et dans un proche avenir RFID.

21 juil. 2009

L’avenir des Applications mobiles sera sur le WEB

Vous qui nous suivez, je suis sur, avec une assiduité quasi religieuse, avez déjà du remarquer qu’il y a plusieurs mois, nous avions soulevé l’épineuse question de savoir s’il était préférable de développer une Application ou une WEB Application.

Pour ceux qui n’ont pas suivi, et parce que nous sommes dimanche et que je n’ai pas l’intention de tout vous ré-expliquer, voici un lien vers cet excellent article (cliquez ici).

Pour résumer notre position, exprimée, depuis lors, à plusieurs reprises d’ici de là, l’idée n’est pas de critiquer les Applications, mais juste de constater que leur succès, notamment du à un phénomène de mode qui a submergé le monde du marketing, est largement exagéré.

En effet, entre les contraintes de développement (langage Objective C, validation plus qu’aléatoire, car occulte des stores, référencement limité), les contraintes financières (les stores prennent leur % sur chaque transaction effectuée via l’Application), les Applications n’ont rien du produit mobile idéal que l’on a bien voulu nous vendre.

Encore une fois, les Applications sont de très bons logiciels utilisants à merveille les nombreuses fonctionnalités des téléphones sur lesquelles elles sont embarquées, mais une WEB Application, n’est-elle pas capable de faire aussi bien, pour ne pas dire mieux avec beaucoup moins de contraintes ?

En ce qui nous concerne, et depuis quelques temps déjà, la réponse est sans appel : OUI, une WEB Application peut faire largement aussi bien qu’une Application avec les contraintes, brièvement rappelées ci-dessus, en moins.

Etant des gens de convictions et qui ne se contentent pas de donner leur point de vue sans agir, nous avons aussitôt crée “La WEBAPP Agency” première agence dédiée à la création de WEB Applications pour mettre en pratique notre discours.

Alors qu’elle n’est pas ma joie quand je lis que pour le vice-président de Google, les navigateurs (mobiles) sont l’avenir des applications mobiles.

C’est au cours de la conférence MobileBeat de San-Francisco que Vic Gundotra a lancé “Le WEB a gagné, les navigateurs seront l’avenir des applications mobiles…”

Vic Gundotra va même jusqu’à s’appuyer sur Steve Jobs pour étayer sa thèse (ce qui est assez fort quand même !) en expliquant que le créateur d’Apple avait dès le début compris qu’il fallait développer pour le WEB, mais que pour des raisons de timing, il a préféré choisir la voie des Applications à télécharger sur son téléphone. De là à dire que Steve Jobs avait raison, mais trop tôt, il n’y a qu’un pas.

Le Vice-Président de Google s’est expliqué en constatant que les navigateurs pour mobiles devenaient de plus en plus puissants, et que ce n’était qu’un début.

Une fois n’est pas coutume, c’est encore grâce à Apple qu’il va étayer ses propos. Le navigateur de l’iPhone a intégré en juin seulement, la géolocalisation, à l’occasion de l’O.S 3. Google n’a pas tardé à réagir en intégrant dans la home de sa WEB Application (pour ceux du dernier rang, c’est la version iPhone du moteur de recherche) cette fonctionnalité, qui comme vous pouvez l’imaginer, est bien utile sur un site comme Google.

Alors concrètement, que va t-il se passer ?

Si on en croit mon nouveau meilleur ami Vic, les navigateurs des smartphones (présents et futurs), grâce à leur puissance, vont pousser l’explosion du WEB mobile. Les applications mobiles existeront toujours, mais seront développées dans les langages du WEB, (pour la petite info, PALM avec son webOS a déjà tout misé sur le WEB) et seront accessibles via l’internet mobile et référencés dans les moteurs de recherche que l’on connaît bien comme Google, Yahoo …

Cela veut donc dire que les utilisateurs n’iront plus sur les AppStore et consors, mais tout simplement sur leur navigateur WEB pour surfer sur des WEB Applications.

C’est en tout cas la vision de Google que nous nous plaisons à partager, et cela vaut bien que je prenne le temps, même un dimanche, de vous poster un petit article à ce sujet.

Débat iPhone : Application ou Web Application ?

Quelques heures après la présentation du nouvel iPhone 3 GS par Apple, retour sur un débat agitant le monde du Marketing Mobile quand on parle d’iPhone : vaut il mieux faire développer une Application, ou une WebApplication ?

Alors même qu’Apple a longuement vanté les avantages des nouvelles applications lors de la keynote d’hier , les nouveautés présentées dans le nouvel OS 3.0 vont également permettre d’aller plus loin avec les Web Applications.

Pour preuve, l’abandon par Google de son Application Latitude pour la remplacer par une Web Application (notre article), grâce à la prise en compte maintenant possible du GPS à travers le navigateur de l’iPhone.

L’article ci dessous est une version mise à jour de la tribune Bemobee publiée sur le Journal du Net .

Petit rappel des faits, si vous ne savez pas très bien quelle est la différence entre les 2 (car vous êtes entourés de conseillers qui vous vendent des applications d’office les bougres !!) :

1. Une application (le st graal du marketing mobile n’est ce pas depuis quelques mois) est un petit logiciel, sur le modèle des widgets que l’on trouvait sur ordinateur, à installer sur son iphone, après l’avoir téléchargé sur l’AppStore, le magasin en ligne d’applications d’Apple.
2. Une webapp, est un site internet parfaitement adapté à l’iPhone (oui, on peut également utiliser le terme site internet mobile, mais que voulez vous c’est moins glamour).

Présenté ainsi, on se dit rapidement que le débat va vite être clos : l’expérience offerte par une application est tellement forte que jamais, au grand jamais, nous ne saurions la retrouver avec un site internet mobile ! (la déroute du WAP est passée par là)

Et pourtant.

Il suffit de regarder la web app Gmail et l’application Gmail pour ne plus jamais toucher à l’application. Plus simple, plus rapide, plus belle, et plus fonctionnelle, la web app écrase l’application, qui peine à se mettre à niveau aussi rapidement.

Car c’est là la principale différence : alors qu’une application est développée en Objective C, une web app est basée sur le HTML (pour simplifier) des familles, au coût de développement largement moindre, et surtout, déjà utilisé sur le WEB (vous connaissez ? un petit réseau sympa)

Du coup, il est plus facile de faire des modifications sur une web app que sur une application.

En résumé,

* une application est un formidable outil de buzz, au potentiel graphique/wahoo effect très important, parfaite pour une vitrine spectaculaire de votre activité. Inconvénients : un développement onéreux dans un environnement totalement fermé et totalement contrôlé par Apple.

* une web app permet un développement rapide et souple, pour des capacités graphiques très intéressantes - une réflexion plus globale peut de plus la rendre compatible avec les 99 % de téléphones du marché restants (et surtout, les smartphones type Blackberry ou Androïd)- pour une accessibilité maximale via les outils de recherche web classique. Et qui vous permet de maîtriser totalement votre image, et de garder l’essentiel des revenus générés pour vous. Inconvénient : difficile de faire un jeu 3D en web application.

Au niveau du service (et non du divertissement, la nuance est de taille) apporté au client , bien souvent le recours aux applications est abusif.

En prenant un exemple volontairement excessif, proposer à des lecteurs d’un magazine une application au lieu d’une web application , reviendrait ( si l’on transpose l’exemple sur un ordinateur) à leur demander d’aller acheter un logiciel à installer sur leur pc pour accéder au contenu en ligne, au lieu de leur proposer de se connecter au web, tout simplement.

A vous de juger quels sont vos besoins, et surtout à quel dispositif votre cible sera-t-elle plus réceptive.

Mais force est de constater que bon nombre d’applications lancées ces derniers mois (infos ou présentation de produit) auraient pu être réalisées en Web Application.

Rédigé le 9 juin 2009
par BEEMOBEE.com

10 juil. 2009

Marketing mobile : Comment référencer et générer du trafic sur un site internet mobile?

Le référencement d’un site internet mobile et le trafic généré constituent des facteurs importants de succès.

Les leviers du marketing mobile pour bâtir et construire une audience sur un site internet mobile.

De la logique du référencement sur l’Internet mobile… Trois canaux peuvent être utilisés dans le cadre d’une stratégie marketing mobile pour référencer un site internet: chez l’opérateur (On portal), sur les moteurs de recherche (Off portal) et le référencement chez le trio-opérateur Gallery.

* On portal ou référencement chez l’opérateur

Chaque opérateur mobile propose aujourd’hui à ses clients une offre de services multimédia mobile spécifique : par exemple, i-modeTM de Bouygues Telecom, Orange World d’Orange France, Vodafone Live! de SFR. La page d’accueil par défaut de chaque opérateur constitue la principale porte d’entrée de mobinautes sur le site mobile.

* Off portal ou référencement sur les moteurs de recherche

En marketing mobile, le principe du off portal renvoie aux moyens d’accès
Le moteur de recherche développe des applications pour accélérer l'internet mobile

Le moteur de recherche développe des applications pour accélérer l'internet mobile

par l’internet, en dehors des portails des opérateurs. Les moteurs de recherche comme Google, Yahoo, en sont des exemples. Par le canal de ces outils, vos cibles accèdent à votre site mobile en tapant directement l’url. De plus, Google, le moteur recherche américain, propose depuis quelques jours le service de liens sponsorisés sur les sites mobiles. Un service qui comme son équivalent sur le web constitue une source de trafic sur un site.

* Référencement chez le tri-opérateur Gallery


Gallery: moteur de recherche de l'internet mobile

Gallery est une offre commune aux principaux opérateurs. C’est un kiosque de services multimédia mobile, accessible dans par tous les clients équipés d’un mobile compatible, quelque soit leur opérateur. L’accès aux services Gallery se fait de plusieurs manières:

- Le moteur de recherche Gallery
Il permet d’accéder à un service en fonction de son nom ou de mots clés associés au service

- Le 30130
Le 30130 est une fonction qui permet d’accéder au moteur de recherche Gallery via SMS. Le mobinaute Envoie par SMS un nom de service, une catégorie, au numéro 30130 et reçoit en retour un SMS porteur d’un lien cliquable vers le ou les services Gallery correspondant à sa recherche.

- L’achat de mots clés
Mots Clés: Pour chaque service, l’éditeur choisi 2 à5 mots clés gratuits en rapport avec sa marque, son contenu ou son service qui permettront de l’identifier sur le moteur de recherche.(option mot clés payants jusqu’à20).

- Web to Gallery
A partir d’un site web, l’internaute peut entrer son numéro de mobile pour recevoir sur son téléphone mobile un message avec un lien cliquable le redirigeant vers la page d’accueil du site mobile Gallery associé Des moyens d’accès qui s’appuient sur des services mobiles.

En dehors des services des opérateurs et de Gallery, d’autres moyens pour générer du trafic sur un site internet mobile existent:

- Mettre en œuvre une campagne avec lien cliquable de sms , Push Mail, MMS mixte, wap push vers une base de données opt-in.

- L’envoi de sms de requête: (envoyer “Parfum” à un numéro)

- Le Web to mobile (faire connaître son site mobile à partir de votre site web). Le web to mobile qui consiste à saisir son numéro de GSM sur un espace pourvu à cet effet sur le site de la marque. Ensuite et après avoir cliqué sur un «bouton » vous recevez un SMS encapsulant un lien cliquable permettant d’installer l’application

- Le code barre 2D: pour l’utilisation sur des supports d’affichage. Les codes 2D offrent la possibilité de stocker des informations ou un lien caché par lequel vos cibles accèdent à votre site mobile.

- Le Widget qui est une application embarquée qui permet au mobinaute d’avoir un accès fluide à un site mobile. C’est une forme de raccourci d’accès à votre site mobile.

- La complémentarité des médias (off line, online et mobile) garantie une plus grande efficacité de votre projet. Par le biais de promotion, animation et publicité sur l’internet ou à travers les médias classiques vous contribuez à placer le mobile dans une stratégie multi canal et augmenter ainsi vos chances de réussite.

- Par une approche de personnalisation de message, plus adaptés au profil de vos cibles, vous vous donnez les moyens de les attirer encore plus.

28 février 2009 par Le blog du marketing mobile

4 juil. 2009

Le canal mobile, une solution marketing efficace et économique à privilégier en temps de crise

Le difficile contexte économique que les entreprises traversent aujourd’hui doit, comme toute période de crise, inciter les acteurs à développer de nouveaux schémas de pensée, et pour ce qui est de la communication, à imaginer de nouvelles solutions d’adressage et de séduction, avec la préoccupation bien naturelle de l’optimisation des investissements. Les canaux traditionnels de communication ne sont bien entendu pas remis en cause, mais il parait pertinent d’étudier de nouvelles alternatives pour répondre à leurs objectifs.
Dans de telles circonstances, les entreprises doivent pouvoir trouver dans le canal mobile une solution précise, parce que personnalisée, et accessible, parce que présentant des tickets d’entrée très abordables, qui font émerger de très beaux atouts dans l’univers des moyens de communication.

Avec une pénétration de 90% de la population française et des usages très personnels, le mobile a désormais un rayonnement qui permet de le considérer comme le seul canal de mass marketing individuel. A ce titre, il mérite qu’on lui accorde la même attention que les canaux de communication plus traditionnellement utilisés par les entreprises pour lui donner les moyens de participer à tous types d’objectifs marketing ou de communication.

Or malgré de tels chiffres, les entreprises n’ont pas encore conscience des atouts prépondérants du mobile pour accompagner le développement de leur activité :

* personnalisation :
le mobile permet de diffuser une information ciblée et impliquante grâce à l’attachement que les usagers ont pour leur téléphone.

* instantanéité
continuellement connecté (peut-on parler de dépendance…), le mobile permet une relation Marque-Consommateur à tout moment et en tout lieu !

* praticité et d’utilité
L’objectif premier du mobile est de rendre service à l’usager. Une telle fonction, grâce au développement des technologies, s’exploite parfaitement aujourd’hui commercialement, que ces solutions soient Internet mobiles pour trouver un produit, ou bien de géolocalisation pour se rendre dans un magasin, ou encore promotionnelles pour profiter d’une offre.


Le mobile possède une capacité unique d’interaction avec le consommateur final. Il peut intervenir dans le cycle de vie d’une marque (lancement, recrutement, trafic, fidélisation, promotion, satisfaction, vente…) dans la mesure où la stratégie mise en œuvre est adaptée aux habitudes d’usages et aux conditions d’équipement des cibles, et surtout, quand le canal mobile est envisagé dès l’amont des réflexions : pour que l’utilisation du canal mobile soit efficace, les entreprises doivent définir avec précision ses objectifs et son périmètre. En effet, ses caractéristiques très personnelles, voire intimes, font du mobile un « outil » efficace dès qu’il permet de répondre à une attente et/ou à un besoin : cela s’anticipe et se construit. Si le mobile est utilisé de manière appropriée, il peut devenir un canal très performant de fidélisation du client en créant un climat de confiance et de considération avec la marque.

Dans une stratégie de communication, l’exploitation d’outils associés aux services mobiles tels que le SMS ou le MMS, le Flashcode, le Bluetooth propose des prolongements d’action vers le consommateur final inégalées. Sans prétendre devenir un canal de substitution, le mobile doit pouvoir être appréhendé comme relai de campagnes medias réalisées. il s’en construira ainsi un lien entre la Marque et le consommateur final, souvent à l’initiative de ce dernier, qui en fera un formidable levier de réactivité instantanée, puis dans la durée si la relation est entretenue…

Le canal mobile constitue donc une solution très pertinente pour entretenir et développer la relation avec le consommateur. Dans le contexte économique actuel, il présente l’avantage d’afficher des arguments déterminants dans la stratégie des entreprises.

Ces bénéfices reposent sur 3 facteurs clés :

* des « tickets d’entrée » très accessibles

* une exploitation ROIste forte grâce à des capacités de tracking importantes.

* des coûts de réalisation de campagne très compétitifs

L’intérêt des annonceurs pour le canal commence à se révéler. Mais à l’heure où les entreprises avouent des difficultés à entrer en contact avec leurs consommateurs, le mobile leur donne la possibilité de pénétrer, et d’exister, dans la poche de leurs clients et de leurs prospects. Il devient donc opportun de transformer cette « curiosité » en « solution » !

Mercredi 13 Mai 2009
Par Pierre Gaymard, Président Directeur Général de WAYMA
Magento's iPhone Theme: Mobile Commerce for the Masses?

Magento Commerce, an open source ecommerce platform, has introduced an Apple iPhone specific theme that is potentially the first step toward leveling the playing field for small online retailers who want to compete in the lucrative and booming mobile ecommerce market.Magento's iPhone theme is optimized for the popular phone's browser.
Mobile eCommerce Has Massive Potential

Mobile ecommerce (often call m-commerce) is coming; 9 million Americans have already made a purchase from a mobile device, and perhaps half of the United States' 250 million odd mobile handset users are willing to make a purchase in the near future, according to a recent study from The Nielsen Company, New York, N.Y. All of those U.S. users plus the billions of consumers in Asia, Africa, and India, where a mobile handset may serve as phone, mobile TV, and primary point of Internet access, make m-commerce very attractive to e-retailers large and small.

But mobile browsing experiences can be frustrating for customers, and developing ecommerce websites that are functional, legible, and compelling for mobile device users has been the realm of moneyed and massive e-retailers like Amazon.com.

The Apple iPhone actually does an excellent job of rendering websites already, but there are still problems. Most online stores are designed to look good on a modern, flat-panel monitor which may be 19 inches in diagonal. While these sites are rendered properly on the iPhone, they take on diminutive dimensions, requiring an iPhone owner to zoom in, zoom out, and scroll in all directions. Bandwidth can also be a problem. iPhones use WiFi connections (802.11n standard), Bluetooth (radio), fast 3G cellular networks, or older and slower cellular networks depending on what sort of connection is available at a given time. Browsing on WiFi or a speedy 3G network might be no problem, but uploading an online store over older cellular networks can be painfully slow.

An example of Magento's iPhone theme for a product detail page. To address this, Magento developed a special theme or combination of layout, template, and presentation files that are optimized for an iPhone's browser. This theme still offers great looking graphics, full functionality, and the same payment gateways, but in proportions and layouts that make a store attractive and easy to use on an iPhone's palm-sized LCD screen.
Equalizing m-Commerce

Magento's new iPhone theme is an important (if small) step, giving independent e-retailers an easy way to tap m-commerce's amazing potential. Varien, a Los Angeles, Calif.-based ecommerce developer and consultancy, created Magento Commerce and then unleashed the platform, turning it over to a vibrant community of perhaps 400,000 users (store owners and developers), while staying intimately involved in the platform's development and expansion. The new theme makes it easier for iPhone users to browse and shop Magento-powered sites with ease. Basically, Magento utilizes "the iPhone's inherent navigation methods and offer[s] quick catalog browsing, global site search, customer accounts, and a shopping cart with a complete checkout process," Varien said, "The iPhone extension delivers a user experience that supports the iPhone's touch-screen functionality, taking users on a clearly defined path from browsing to purchasing."
The iPhone is Just a Drop in the Bucket

Unfortunately, as awesome, cool, and fantastic as the iPhone may or may not be, it represents a very tiny percentage of the total mobile handset universe. By some estimates, leading mobile phone makers Nokia, Motorola, Samsung, LG, Sony-Ericsson, BlackBerry, and the like, build between 700 million and 1 billion new mobile handsets each year. While something like 8 million to 10 million iPhones have sold worldwide based on Steve Jobs 2008 MacWorld keynote speech and estimates for the iPhone 3G. So the new Magento iPhone theme only scratches the m-commerce surface. On the other hand, what e-retailer wouldn't want to reach as many as 10 million or so potential customers all of whom represent the iPhone's decidedly upscale user base.
Using the iPhone Theme to Gain a Competitive Advantage.

m-Commerce is here to stay, and retailers who implement a mobile solution like Magento's iPhone extension will gain a competitive advantage over other ecommerce sites that are slower to adopt a mobile-specific platform. And there is still hope that Varien or other ecommerce developers will address the mobile mass market soon.

“We are looking to expand the capabilities of Magento to target additional mobile browsers in the future, but the iPhone, with its smart usability, market share and passionate audience was a natural place to start,” said Chris Marshall, a Varien spokesman.

The Magento Commerce iPhone extension and the Magento eCommerce Platform are available for free download at Magentocommerce.com.


September 24, 2008 · by Armando Roggio

Mobile Commerce: 800 Million Untapped Users

Web-capable mobile handsets and their nearly 800 million users worldwide represent a significant and largely untapped market for ecommerce retailers.

ALTSelling by phone is a concept almost as old as Alexander Graham Bell, but in the 21st century mobile commerce (m-commerce) might be more about ecommerce than telemarketing. Consider that nine million Americans have already made at least one m-commerce purchase and some 125 million Americans told The Nielsen Company, during a recent study, that they were willing to make a purchase in the near future.

“In short,” said Debra Aho Williamson, senior analyst at the New York research firm eMarketer.com, “the more readily available [these phones] become, the more likely that people will be conducting ecommerce on their mobile phones in place of, or in addition to, their desktop.”
Mobile Site Conversion

To address the m-commerce market, stores must ensure that their site renders well on a mobile handset’s tiny LCD display, doesn’t overwhelm the phone’s bandwidth, and doesn’t make navigating the site too difficult.

First, there is some good news. At the April 2008 MacWorld tradeshow, Apple claimed its Safari browser, which can be found on iPhones, was the most used mobile browser in the United States. This is good for ecommerce merchants since Safari renders web pages for mobile phones exactly as it renders pages for laptop or desktop computers. Furthermore, virtually every major mobile handset manufacturer has recently introduced a phone that offers a PC-like web surfing experience. Especially noteworthy was T-Mobile’s Android-powered G1 that was released on September 23, 2008. Android is Google’s mobile operating system that also renders web pages very well.

Of course, having a web page show up on a 3-inch LCD just like it does on a 17-inch monitor is still not the best way to promote m-commerce, since users must zoom in and out and endlessly scroll to make the site’s content large enough to read. Mobile handsets may also lack the required bandwidth to download graphics or pages as quickly as a desktop.

Ecommerce merchants have several options, including developing new mobile designs for their websites using cascading style sheets (CSS) or implementing mobile themes in their shopping carts or ecommerce platforms.

If a retailer is still evaluating m-commerce’s potential for its market, it might also consider quick conversion tools like those offered at Mobisitegalore.com that help e-merchants produce mobile-friendly text and image pages on a separate domain. M-commerce shoppers who visit a store’s home page and primary domain will be redirected to the Mobisitegalore.com version of the page.
Mobile Payments

Just because newer handsets like the iPhone, Verizon’s LG Dare, Samsung’s Instinct, and hundreds of others all support shopping carts just as a desktop or laptop would, it doesn’t mean that merchants should not still be concerned about how their payment pipeline works on a mobile device.

“Presenting a payment page on a cell phone is a lot different than on a PC,” says Adam Kerry, vice president of North American operations for Bango.com, a mobile payment set-up company based in Europe. “Merchants who don’t want to invest in a payment page that adapts to the size and browser of each cell phone will go with something like Bango.”

When mobile shoppers click on a participating merchant’s buy-now link, it transfers shoppers to a payment page hosted on Bango’s secure server. Choices through Bango are mobile-phone billing, PayPal Mobile or real-time card-not-present credit card authorization.

“Mobile phone orders aren’t differentiated as ‘mobile,’” Kerry says. “So even though we work with our own third-party processor, e-merchants could work with any payment processor they already have.”

Outside of Bango, mobile e-merchants can go with Google Checkout Mobile (starting at 2 percent of the order total, plus a 20-cent transaction fee) and direct payment gateways such as First Data. However, mobile phone order encryption is a particular challenge for merchants; it requires Wireless Transport Layer Security encryption. The above payment processors provide this encryption as part of their services. Separate certification providers like Entrust, a Texas-based digital security firm with 15 global offices, charge a whopping $1,199 for one year of WTLS encryption.

Meanwhile, the obvious payment solution for mobile purchases — billing for services via the shopper’s mobile phone bill — is still a long way from practical in the U.S.

“If we charge you through the cell phone company, it’s a real-time authorization with the carrier’s billing platform, and the international carriers now take only 15 percent or so of every dollar,” Kerry says. “The U.S. has yet to catch up: Merchants there [in the U.S.] get only 50 to 55 percent of every dollar a shopper spends and bills to their mobile phone bill.”

Is The Mobile Web Right For Your Ecommerce Business?

Among the topics of conversation for those who make 2007 business technology predictions is the extent to which the "mobile web" — cell phones and other devices that access the Internet for information and ecommerce — will gain traction in the United States.

In parts of Europe and Asia, devices with mobile Internet capability, such as cell phones and personal digital assistants (PDAs), actually outnumber desktop PCs and laptops. However, in America, the mobile web has been limited until now to communication among tweens, teens and twentysomethings. They text message each other, take photos and use phones, PDAs and hybrid devices for email, much like the rest of us leveraged our PCs back in the mid-1990s.

Don Dodge, currently the director of business development for Microsoft's Emerging Business Team, writes on his blog regarding his Top Five Hot Technology Predictions for 2007, "Mobile applications are hot, going far beyond ring tones."

Ross Dunn, the CEO of StepForth Placement Inc., a Canadian search-engine marketing company, wrote in an article for the Internet Search Engine Database, that the mobile "marketplace will see significant growth this year as Internet marketing companies jump into the fray and begin offering mobile site creation, promotion and optimization."
Progress: dotMobi

Investments made into the progress of mobile Internet technology by traditional web giants like Microsoft and Google is the source of excitement voiced by pundits like Dodge and Dunn. Toward the end of 2006, a construct called dotMobi was made available to the business public, allowing companies — from entrepreneurships to conglomerates — to buy top-level domains "dedicated to delivering the Internet to mobile devices," according to the dotMobi website.

Investors into this effort (which got started way back in 2000) include players like Ericsson, Google, GSM Association, Hutchison, Microsoft, Nokia, Orascom Telecom, Samsung Electronics, Syniverse, T-Mobile, Telefónica Móviles, TIM and Vodafone.

There is no requirement that business owners endeavoring to take their ebusinesses into the mobile environment sign up for a .mobi domain. However, the upside to having a .mobi domain is that savvy mobile consumers will know your mobile site complies to dotMobi organizational standards, which require your mobile site to work across a multitude of devices.
Is It Time To Dive In?

However, does this mean small business owners should make room in their capital budgets for the creation, implementation and promotion of mobile ecommerce sites in 2007? Can't the mobile web wait just a bit?

"It hasn't been done a lot yet," acknowledges Rob Witman, the CEO of RiffWare, a California-based company providing mobile application and services development.

Witman's chief concerns about the mobile web for business echo the concerns users have had about mobile websites for years: frustrating site interfaces, development constraints and promotional difficulty.

"I'm very frustrated personally with the mobile Web experience," he said specifically directed toward business and ecommerce via mobile Web. "I don't see it being a big thing right now."
Two Ways to Go Mobile

Nevertheless, he and a multitude of other experts say it will be big soon. Witman said that for the business that's ready to dive into mobile waters, there is a two-pronged approach to selling goods and services on the mobile web.

Businesses could develop applications to be run on mobile devices that would allow customers to buy their goods or use their services. For example, RiffWare created an application for a service called WeatherBug, which, when installed on a mobile device, can be used to deliver real-time weather content to subscribers.

An example of a service that can be run on mobile devices to facilitate ecommerce is eBay Mobile, which allows buyers to search for items, view a simplified items listing and bid and buy on selected goods.

"They're able to provide you a much better user experience than by going through the mobile web," Witman said.

The second and perhaps most economical way to move from the traditional website to a mobile web presence, Witman said, is to recreate your site in such a way that it can be viewed on mobile devices. When Witman says that a business would need to recreate its website for delivery to mobile devices, that's exactly what he means.

"You almost have to go back and redesign the whole thing," he said.

For example, if your website features Flash, a lot of JavaScript coding or video, a separate website altogether is an imperative. Because of limited screen sizes, browser resolutions and the differences imposed by the wide variety of devices from phones to PDAs, you'll likely want to start from scratch with a mobile website regardless.

"It really is a custom environment," he said.

Simplicity is paramount when designing a mobile website. Not only are you limited graphically, it's important that your site be organized in such a way that information can be accessed with a minimal number of clicks and a minimal amount of typing. However, businesses that want to build mobile websites can pick from an array of tools that will equip them to do so in a matter of minutes.

A service available on Mobisitegalore.com will help build your mobile website in a click-and-choose fashion with no technical knowledge required. It's free, although the service does accept donations. This option claims to be standards compliant.

Standards compliancy is important when developing sites for the mobile web — it ensures that your eSite can be viewed in a consistently acceptable fashion over a range of devices. To that end, the World Wide Web Consortium (W3.org), an international coalition working to develop universal web standards, approved a markup language in 2006 to make that possible. It's called the Device Independent Authoring Language (DIAL). It's similar to HTML in its structure, yet different in syntax.

In terms of hosting, mobile sites can be stored on the same server that houses a conventional website. Most hosting providers allow developers to create subdomains that point to folders on the server. In such an arrangement, a subdomain for yoursite.com could point to a folder on the server housing the related mobile web pages.
Taking Mobile from a Communication Tool to a Transactional Device

According to Witman, the processes and technologies by which consumers buy products over the mobile web are the same as for transactions conducted via the traditional Internet. For example, he noted that a typical ecommerce merchant account should work fine when accessed via a mobile website.

Nevertheless, the concern remains that it's necessary to develop an online store in such a way that it displays properly on mobile devices. Also, ecommerce stores should be organized in such a way that mobile consumers are required to do only a minimal amount of clicking and typing.

Meanwhile, companies like PayPal have begun to establish mobile-specific payment mechanisms, such as PayPal Mobile, which allows PayPal account holders to send money to other mobile consumers. The transactions are protected via a PIN number, and according to the company's website, mobile transactions are protected under the same policies that guide online purchases. PayPal even has a text-to-buy feature in which consumers can purchase goods via their mobile device with a single click.
Security Concerns

Conventional websites utilize SSL certificates to encrypt information going from buyer to seller. Savvy web users know to look for the https:// protocol as well as the closed lock at the bottom of the browser window to know whether the SSL certificate is in place before finalizing a purchase.

Mobile websites utilize something called Wireless Transport Layer Security (WTLS) encryption between "mobile devices, micro-browsers and servers that support the WTLS protocol," according to the Entrust certificate services web page. A one-year server certificate from Entrust costs $1,199. Businesses can purchase a two-year certificate for $1,999.
Promoting Your Mobile Biz

Let's say your mobile site is up, and it works across most all mobile devices. Now, how do you get people to visit?

"The difficulty for a small business is going to be in driving people to that place," Witman said.

Both Yahoo! and Google have invested significant money and energy into mobile search, which by some estimates could be a $10 billion industry by 2010. Therefore, optimizing your mobile site for mobile search is a must for the mobile business. Shari Thurow at Searchenginewatch.com recommended in a Dec. 26 article that site builders keep content relevant but short and that they adhere to standards.

However, a smart mobile-search strategy for 2007 might include a simple communication to existing customers that your online website can be accessed via mobile devices. Let them know that they can take you with them wherever they go.
Conclusion

While prognosticators suggest 2007 is finally the year mobile web will break out in the United States, from an ecommerce perspective, it's not such a sure thing. Mobile web usability headaches and promotional limitations make it difficult for small businesses to consider an immediate investment.

However, efforts such as dotMobi and standards such as DIAL make it clear that big business is intent on making the mobile web a significant ecommerce player in America soon. That means 2007 might be a great year to analyze what mobility means for your small business and how you can take advantage of it to gain a competitive edge.

Les cybermarchands à l'heure du m-commerce

La France compte plus de 15 millions de mobinautes, selon les chiffres de l'Arcep du 30 septembre 2007. Soit environ la moitié du parc d'internautes. Pour autant, les usages commerciaux de ce média tardent à décoller : le marché de la publicité sur mobile est aujourd'hui encore embryonnaire tandis que le marché du m-commerce reste limité aux biens digitaux à faible valeur monétaire (logos et sonneries principalement).

Un petit nombre de cybermarchands, cependant, a fait le choix d'être présent sur le mobile : d'aucuns pour compléter leur stratégie multi-canal et être dans les starting-blocks quand le m-commerce décollera, d'autres, véritables pionniers, défrichent le marché.

Découvrez, en cette période de soldes, sur quels sites bénéficier de bonnes affaires et acheter en toute sérénité depuis un téléphone mobile.

Le service de comparaison de prix sur mobile de PriceMinister

» Date de lancement : juin 2007

» Objectifs et ambitions de PriceMinister sur le mobile : "Pour le moment, il s'agit uniquement d'un service de consultation et de comparaison de prix quand on est dans un magasin, explique Pierre Kosciusko-Morizet, PDG de PriceMinister. Un jour, le mobile représentera une part importante des ventes de PriceMinister, mais pas à court terme. Le jour où le m-commerce sera devenu une réalité en France, nous serons présents."

» Fonctionnalités et contenus : Pricemini.mobi permet aux consommateurs de consulter depuis leur mobile les meilleurs prix proposés par les vendeurs PriceMinister parmi les 45 millions de produits culturels disponibles sur le site. Seuls les produits culturels sont disponibles car le service nécessite d'entrer dans le moteur de recherche le code barre du produit, son titre ou son auteur. Apparaissent alors la photo du produit et toutes les informations sur les meilleures offres des vendeurs.
Le mobinaute peut, s'il le souhaite, entrer son e-mail pour recevoir les résultats de sa recherche et poursuivre la relation une fois devant son ordinateur.

» Accès : Pricemini.mobi est accessible depuis tout téléphone équipé de l'Internet mobile, en entrant l'adresse dans le navigateur.

» Audience : plusieurs milliers de requêtes par mois.

» Projets pour 2008 : créer un compte utilisateur et possibilité de payer directement sur le mobile.


Le site de Kelkoo sur mobile

» Date de lancement : 20 novembre 2007, après deux semaines de bêta test.

» Objectifs et ambitions de Kelkoo sur le mobile : "Notre idée est d'être présent sur le mobile face au constat du développement de l'Internet mobile, et notamment du e-commerce sur mobile, indique Benoît Parizot, responsable produit Kelkoo chez Yahoo. La nouvelle offre Kelkoo Mobile s'inscrit dans la stratégie de Yahoo de développement de services sur mobile, qui a pour objectif de répondre toujours au plus près aux nouveaux besoins de ses utilisateurs."

» Fonctionnalités et contenus : Kelkoo Mobile permet au mobinaute, avant d'acheter un produit en magasin, de comparer les prix et d'obtenir des informations détaillées (fiches techniques, prix, disponibilité des produits et délais de livraison ainsi que les avis des internautes) sur plus de 6 millions de produits chez plus de 2.000 marchands du Web.

» Accès : sur tous les terminaux mobiles dotés d'un accès à Internet, l'iPhone inclus via une version dédiée, en saisissant dans le navigateur de son téléphone l'adresse m.kelkoo.fr.

» Modèle économique : Kelkoo Mobile repose sur le même système de facturation au clic des marchands que son grand frère Kelkoo Web.

» Audience : Entre 500 et 1.000 visiteurs uniques par jour.

» Projets pour 2008 : lancement dans d'autres pays européens où Kelkoo est présent ; intégration plus poussée des marchands pure players mobiles et proposition éventuelle du service et de la plate-forme en marque blanche.